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Une minute de lecture

« Bruxelles ma belle, Je te rejoins bientôt aussitôt que Paris me trahit, Et je sens que son amour aigrit… » chantait Dick Annegarn.

Jusqu’à ce qu’on n’y arrive pas. On se relève. Un temps on peut avoir l’espoir de se relever, mais il viendra bien une fois où, il est impossible qu’il en soit autrement, qu’il ne se fasse pas, qu’une fois on ne se relève pas. J’ai aussi peur de ce jour que tu as peur aujourd’hui, si tu savais comme j’ai peur de ce jour, pour moi, pour les autres, si tu savais comme j’ai peur, et il n’y a que ta main, confiante, ta main dans la mienne, qui la croit solide, qui me tire hors de ma peur, si tu savais que c’est toi qui me tires hors de ma peur.

Je n’ai pas vraiment de solution, je n’ai que des questions, des myriades, des brassées, des envolées de questions, je n’ai à peu près rien compris, on fait tous comme si on était pleins de certitudes.

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