Chapitre 45

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Assis sur le sable, les yeux vers l'horizon, Bastien réfléchissait. J'enleva mes sandales, et m'assieds prêt de lui, dans le bruit des vagues. Je le fixait, les bras croisé sur mes genoux, la tête sur ceux-ci. Sa peau blanche, ses cheveux noir, ses mains en arrière il prenait le vent, les yeux fermé. Pour moi il à été l'humain le plus beau, le plus gentil, et le plus fantastique que j'ai connu, je ne regrettais pas de l'avoir quitté, non! Mais je regrettais de laisser une t'elle personne, sans âme sœur. Puis, je toucha mon ventre en pensant, "Ci c'est une fille, j'espère qu'un jour, elle trouvera une personne comme lui." Je sais pertinemment que Bastien m'aurait rendu heureuse, mais sa ne fait pas tout.

- Tu vas arrêté de me regardé, et me dire ce que tu as? À moins que tu ne regrette déjà ton choix! Il souris.

- Excuse-moi. Et non, je ne regrette pas mon choix. Ce que je regrette, par contre, c'est de t'avoir brisé le cœur comme ça. Et aussi de t'avoir parler de la sorte hier soir.

- Ne regrette rien Loa. Je m'en remettrais surement tôt ou tard. Mais j'aurais aimer que tu sache une chose.

- Oui?

Il se redressa, prit une grande inspiration,

- Si tu étais à moi Loa, tu aurais été ma reine, je t'aurais aimé chaque jours que Dieu fait. Après quelque temps, je t'aurais demandé en mariage, tu m'aurais dis "oui", ça aurais été notre jour. Puis nous aurons emménager dans un petit appartement, et quand tu aurait attendu notre premier enfants, on aurais acheté notre maison. Toutes ces choses, je les imagines tout les jours Loa. C'est pour ça qu'il m'est difficile de t'oublier. À croire qu'être un ange te rends irrésistible! Depuis que tu à emménagé près de chez nous, j'ai eu le coup de foudre, et c'est à ce moment que j'aurais dût t'avouer mes sentiments. Peut-être que c'est moi que tu aurais choisis. Mais c'est la vie! Même si je ne regrette rien, de tout ça, il y à bien une chose que je ne veux pas regretter à l'avenir. Il se leva, je le suivais du regard, il prit mon visage, et m'embrassa langoureusement. J'étais stupéfaite par son cran.

- Au-revoir Loa.

Il s'en alla, sans regardé en arrière. J'ai toujours adoré sa façon de marcher. 

                                                                                                 ☆☽●☾☆

Dans notre chambre Azaël était à la fenêtre, assis, les bras croisés. Il m'attendait sortir de la douche.

- Tu sent bon! 

Il me prit par la taille, et m'embrassa. Ces lèvres délicate sur les miennes, ces mains sur mes hanches, je le désirais plus que quiconque. Me détaché de ces lèvres s'avère être un vrai supplice.

- Calme-toi. chuchota t-il. Ces yeux dans les miens.

- Je te désire. Embrasse moi encore.

Il me faisais languir, par ses caresses sur mon corps. Chaque baiser sonnaient comme une explosion. Son simple regard me faisait frissonné, et j'en voulais d'avantage... Il ouvrit la fenêtre et nos corps entremêlée ne fît plus qu'un dans la brise chaude du ciel. Comme seul habit nos ailes, qui nous cachaient dans nos ébats.

                                                                                            ☆☽●☾☆

Sa main dans la mienne, nous nous imaginions le physique de notre enfant,

- Si c'est un garçon, j'espère qu'il te ressemblera.

- Et si c'est une fille?

- Je veux qu'elle me ressemble. (rire) En tout cas, l'un ou l'autre il sera magnifique...

- Tu m'a dis vouloir vivre au paradis?! 

- Oui.

- Et que dirais-tu, de fondé notre propre monde?

- Notre monde? Comme un paradis rien qu'à nous?

- Pourquoi pas?!

- Et ton père? N'à t-il pas besoin de toi dans son paradis?

- Je ne te l'ai pas dit?

- Quoi?

- Maintenant que je suis un Dieu...

- Demi...

- Oui si tu veux. Il n'est plus nécessaire que je reste au prêt de lui...

Cette nouvelle incroyable me réjoui d'avantage. Que de bonne nouvelles! Et comme le paradis n'est plus d'actualité, je me rendis compte que nous pouvions vivre n'importe où, les Bahamas, Haïti, la Guadeloupe... Tous ces endroits où ciel et mer ne faisait qu'un. Avoir notre propre paradis est une idée qui m'aurais sans doute enchanté, mais quoi de plus beau que la terre?! Dieu avait fait un excellent travail en créant cela. Je ne pense pas que nous pourrions faire mieux. Et puis, je voudrais que mon enfant connaisse le monde, qu'il le respecte, je veux qu'il grandisse ici, sur terre.

- Et... Que dirais-tu de resté vivre ici?

- Hum... Je ne sais pas. Pourquoi la terre? Il y a tellement de danger.

- Et pourquoi pas? Notre enfants pourrait grandir plus fort, et il ne s'ennuierait pas ici.

- C'est ça qui t'inquiète? Au paradis il y à beaucoup de choses à faire.

- Comme quoi?

- Comme l'art de l'épée, aider les humains, se baigner dans les bassins d'eau douce...

- L'art de l'épée? Pour un enfant?

Mon regard eu assez pour le faire bégayer.

- Hum... Après tout c'est toi la mère. 

- Il faut que nous soyons d'accord!

- Très bien. Où veux-tu vivre?

- Ici sur terre, et toi?

- J'irais où tu iras. Je voudrais juste qu'il n'oublie pas ses origines, je voudrais qu'il se rende au paradis le plus souvent possible.

- Il en vas de soi!

- Où veux-tu partir? Et quand?

- Le temps de prévenir ma mère, et tout mes proches. Je ne veux pas perdre un seul instant pour vivre avec toi. Lui chuchotai-je à l'oreille, ce qui eu pour effet de l'excité.

Ma mère ne s'attend surement pas à cette nouvelle, et j'ai trop hâte de la lui annoncé. Et que va t-elle dire quand je vais lui dire dans la foulé que je part vivre ailleurs? J'espère qu'elle ne sera pas trop attristé! Il faut aussi que j'aille voir Sarah, et Bastien? Dois-je vraiment allé le voir? J'ai peur d'envenimé les choses. En ce qui s'agit de Bastien à chaque fois je suis perdu. 

- Tout vas bien?

- Je pense...

- Arrête de te prendre la tête pour lui.

- Lui qui?

- Tu sais bien. Il s'en remettra, je t'assure.

- Comment peux-tu en être si sur Azaël?!

- Parce que c'est comme ça que sa marche un humain.

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