9. La chaîne

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10h sonne, le jeu va pouvoir débuter, tout commence dans le grand hall, le juge, un petit brun à lunettes commence à énoncer les règles. Nos quatre compères observent leurs adversaires. Il y a de sacrées jolies nanas et de sacrés beaux-gosses. Mais certaines équipes ne sont pas gâtées, avec de bons laiderons ! Ils se regardent d’un air complice, ayant l’impression d’être l’équipe la mieux armée pour les épreuves…

Le top départ est lancé, sans se préoccuper des autres équipes, nos 4 bizuts, en moins de 5 minutes, et sans aucune gène, sont déjà à poil, en train d’étaler un à un leurs habits. Ils essayent d’étirer un maximum les strings, le pantalon, etc… Dorine jette de rapides coups d’œil sur le juge qui, de temps en temps, ne se prive pas pour mater le fessier cambré de Dorine. Elle fait en sorte d’être tout le temps dans son angle de vision, quitte à laisser ses collègues se débrouiller pour étaler au mieux les habits. Elle jette de petits regards, essayant d’avoir l’air timide, gênée, faisant semblant de se cacher les seins, mais en s’exhibant tout de même assez pour donner envie à ce juge corruptible à souhait. Il se laisse embarquer dans ce petit jeu en se rapprochant petit à petit de Dorine. D’autres bizus black participent aussi à cette épreuve, mais Dorine fait bien attention de capter, seule, son attention.

Certaines équipes ont beaucoup de mal à se déshabiller, ils n’ont visiblement pas été « briffés » de la même manière. Grégoire décrète qu’ils ne peuvent pas gagner plus de place que ça avec leurs propres habits, il fait alors signe à Dorine qui, comprenant le message, se précipite dans les bras du juge, feintant de trébucher pour s’écrouler sur lui. Surpris, son air devient plus sévère, s’apprête à hurler pour les disqualifier lorsque Dorine lui dit tout bas :

« Désolée, je n’ai pas fait exprès monsieur, je peux peut être me faire pardonner ? »

Elle le regarde l’air désolée, intimidée, mais toujours aussi nue, collée à lui. Elle joue son rôle à merveille. Olivier et ses collègues la regardent faire avec beaucoup de fierté, et sont amusés de la voir si entreprenante.

Dorine se frotte doucement au juge qui laisse sa main se balader sur les fesses ravissantes et cambrées de la p’tite black.

« Ça ira pour cette fois jeune fille, que viens tu faire ici ? »

« Et bien, mon équipe a terminé, il nous faudrait votre autorisation pour récupérer des habits ailleurs. »

« Et bien, comment me convaincre petite ? »

« Tout ce que vous voudrez monsieur… »

Elle se cambre, pour mettre en valeur ses seins fièrement dressés devant lui. »

Il les regarde alors, en prend un en main pour tester la réaction de la bizu si docile. Dorine ne bronche pas, continue de sourire en se mordant la lèvre. Il ne se gène pas alors pour le malaxer. Dorine lui fait une bise timide sur le coin de sa bouche.

« Allez, très bien, vous avez mon autorisation ! »

Pas si difficile à convaincre finalement se dit Dorine en allant voir son équipe pour leur annoncer la bonne nouvelle. Deux autres équipes s’empressent d’aller vers le juge, ils y vont tous ensemble, dans un brouhaha tel que le juge se bouche les oreilles. La vue des mecs de ces équipes, la bite à l’air ne lui plait pas beaucoup visiblement. Il aurait préféré que ce soit uniquement les filles qui viennent mendier son autorisation. Il essaie alors de discuter, mais les équipes sont nerveuses, n’écoutent pas vraiment… Il demande alors à voir chaque chaîne de vêtement pour s’assurer de la conformité. Ils protestent en disant que l’équipe de Dorine n’avait pas eu besoin de ça. Il disqualifie alors l’une des deux équipes pour « outrage sur juge ». L’autre équipe se calme alors… Ils se rendent vers la chaîne de vêtements.

Dorine, amusée, tente une ultime action pour voir à quel point son emprise est réelle sur ce juge. Elle approche alors que l’équipe est toujours en discussion avec le juge. Elle leur coupe la parole, et d’une voix douce et timide, resserrant ses gros seins entre ses bras, elle lui demande :

« Heu.. Monsieur le juge… J’aurai voulu… enfin je n’ose pas trop… »

Le juge reprend une voix toute douce et sourit à Dorine lui disant de ne pas hésiter à demander.

« Bah.. Pour notre chaîne… J’aurais vraiment voulu mettre votre veste… »

Il la regarde étonné…

« Mais je ne peux pas ! Va donc rejoindre ton équipe pour les aider ! »

Dorine, ne voulant pas revenir bredouille insiste.

« Monsieur le juge, il y a peut être quelque chose que je pourrai faire en échange… »

Le juge délaisse alors l’équipe avec qui il discutait pour emmener Dorine dans un bureau.

« Alors jeune black, tu as envie de ma veste ? T’es prête à offrir quoi en échange ? »

En disant ça, il sort sa verge déjà à moitié dure. Sans répondre, Dorine vient s’agenouiller devant lui et lui caresse les bourses en prenant son vit en bouche. Il durcit instantanément, remplissant la bouche de Dorine. Elle commence une pipe douce et rapide, ce qui amène ce juge très excité, rapidement à la jouissance. De puissants jets de sperme remplissent alors la bouche de Dorine qui les garde précieusement dans la bouche. Elle se relève ensuite, et le fixant du regard, elle avale doucement, souriant en même temps :

« Mmmh, vous avez très bon goût »

Le juge la regarde, son engin se ramollissant à vue d'œil. Dorine s’approche alors, lui enlève sa veste pour ensuite le laisser seul dans le bureau, encore sous le choc de cette fellation express rondement menée.

Dorine revient victorieuse vers son équipe, et ajoute à leur chaîne la veste du juge, un trophée dont elle n’est pas peu fière ! Les autres équipes la regardent avec un regard noir. Le juge refait son apparition et s’occupe des autres équipes, stoppées nettes dans leur épreuve attendant l’autorisation avant de pouvoir continuer en mendiant des vêtements. L’équipe de Dorine a pris une sérieuse avance. Entre les abandons et les disqualifications plus ou moins arbitraires, il ne reste que quatre équipes en lisse. Les 16 concurrents sont intégralement nus, exhibant à la centaine de spectateurs qui affluent de toute part leur corps.

Pendant que Dorine monopolisait le juge, son équipe n’a pas chômé ! Ils ont réussi à mendier pas mal de vêtements, ciblant les fringues prenant le plus de place au sol. Pauline a d’ailleurs dû à plusieurs reprises offrir son corps aux tripotages de certains étudiants, bien malins de monnayer les fringues.

Quelque temps après, l’écart s’est un peu réduit, laissant tout de même une bonne longueur d’avance à Dorine et son équipe. La chaîne est depuis longtemps sortie du hall pour se continuer dans la cours principale, les 16 bizuts nus comme des vers, courent, s’agitent, cherchent des vêtements sous les yeux ravis des étudiants, qui attendaient cette première épreuve avec impatience, pour pouvoir mater les p’tites nouvelles et les p’tits nouveaux dans leur plus simple appareil.

Après avoir fait une chaîne immense, rentrant dans des amphis, en ressortant, allant dans les cours secondaires, midi sonne, le verdict va tomber.

Les 16 bizuts sont alignés, nus, certains mecs bandent un peu d’ailleurs, on les sens assez gênés de devoir exhiber leur verges tendues. Ce n’est pas le cas de Tom et de Grégoire, qui ont leur sexe tranquillement au repos. Ils ont l’air beaucoup plus sûr d’eux, confiants. Le juge vérifie les longueurs, élimine les deux équipes dont la chaîne n’est pas assez longue. Reste donc l’équipe de Dorine et une autre équipe, au coude à coude sur la longueur. Dorine, regarde par intermittence le juge, de manière timide et mutine, mordant ses lèvres, se cambrant bien. Le juge n’est pas insensible à tout ça, et après avoir réfléchi longuement, finit par donner la victoire à nos quatre bizuts préférés !

Ils se prennent dans les bras, se congratulent, s’embrassent entre eux sans complexe, sous les applaudissements des étudiants.

Ils sont conviés à ramener chaque affaire à son propriétaire, ce qui leur vaut une fois encore quelques mains baladeuses, roulages de pelles ou tripotages intimes en tout genre. Une demi-heure après, les voilà dans le grand hall, pouvant enfin se rhabiller. Leurs parrains viennent les féliciter, tous se congratulent, félicitent Dorine pour son jeu parfait.

Olivier annonce :

« Ce soir, selon la règle de cette épreuve, vous serez félicités et récompensés dans le grand amphi. Nous sommes très fiers de vous, vous nous avez honorés par votre volonté et votre esprit d’équipe ! Mais ce n’est qu’un début ! Ne prenez pas la grosse tête ! »

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