5. Olivier, un mystérieux gentil pervers

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Ils arrivent quelques minutes de marche plus tard, pendant lesquelles Dorine n’a pas cessé de se lover contre Olivier qui a pu lui caresser les fesses à loisir. Non seulement elle ne se plaignait pas, mais, excitée comme elle était, elle se collait encore plus à lui, le câlinant comme une petite chatte. Elle fait monter Olivier dans l’appartement de son cousin, qui heureusement n’est pas là de l’après-midi.

« Alors, ne perdons pas de temps, montre moi ta chambre pour qu’on te choisisse les tenues de la semaine… »

Dorine, toujours dans un état second, le conduit dans sa chambre et lui ouvre en grand son armoire. Il jette un œil dedans, et lance sur le lit de multiples jupes, robes, strings, tops, etc…

« Aller Dorine, déshabille toi et essaye quelques ensembles, commence par la série de string, que l’on voit ceux qui seront les mieux… Il en faudra six ! »

Dorine se met alors en tenue d’Eve sans honte, son minou est littéralement trempé, ses seins sont durs comme jamais, elle est en chaleur. Ce début de journée, mêlant honte, et excitation, l’a mise dans un état de « trans » comme jamais elle n’en a eu…

Olivier s’installe sur un fauteuil et la regarde, toute belle, à poil, ce corps de rêve offert à ses yeux…

Dorine enfile le premier string, un joli dessous jaune pâle, très échancré, de légères dentelles sur le bord. Olivier la fait défiler, tordre du cul, examine comment la ficelle se perd entre ses deux fesses cambrées.

« Bien, on le garde, suivant ! »

Dorine essaie ainsi une dizaine de strings, les plus sexy sont retenus, notamment, un string parfaitement transparent qu’il retient pour la journée du samedi.

Dorine perd peu à peu de son excitation, et se rend de plus en plus compte de ce qui se passe, surtout quand Olivier s’amuse à la faire défiler. Elle commence à être de moins en moins à l’aise mais se force à ne pas lui montrer.

Ensuite, il y a l’essayage des jupes, et voilà quatre jupes de choisies, après un défilé, quelques danses pour vérifier que tout cela virevolte bien. Toutes les quatre sont tailles basses.

Il y en a une en jean bien moulante, elle s’arrête mi-cuisses avec une grosse ceinture.

Deux autres jupes blanche et rose plissées un peu plus haut que mi cuisse, très légères ont été retenues. Ce sont sans doute ces jupes qui se soulèvent le plus facilement !

Enfin, la dernière est très serrée, en tissu très fin, raz le cul. Dorine n’a jamais osé la porter, un cadeau de l’un de ses premiers mecs… Cette jupe fait vraiment allumeuse. Olivier a décidé qu’elle devrait la porter le lendemain… Elle a le cœur qui bat à toute allure en pensant à la dégaine qu’elle va avoir dans cette tenue…

Pour les deux jours restants, il faut choisir deux robes. Olivier en choisit deux très légères, des robes d’été que Dorine a l’habitude de mettre en vacances pour aller sur la plage… Autant dire qu’avec un bikini, c’est superbe, mais en robe, ça ne cache plus grand-chose… La première est blanche, ultra courte, une ceinture en cordon à la taille, le devant est largement ouvert sans qu’aucun bouton ne soit là pour la fermer. La seconde est une robe bustier bleu pâle, très courte aussi, fendue sur le côté avec un décolleté superbe…

Cette séance d’essayage se termine avec les quatre tops qui complèteront les jupes… Dorine a fini par se résigner de ne plus rien cacher, de ne plus avoir aucune pudeur avec Olivier, se dénudant, restant seins nus, se penchant pour ramasser ses affaires sur le sol… Les quatre vêtements sont tous très courts pour laisser largement le joli ventre plat de Dorine visible, des bretelles ou de très courtes manches et enfin tous sont ultra moulants et assez décolletés.

L’un des hauts, celui qui sera de mise le lendemain est des plus sexys : un top très ample devant, faisant un décolleté très profond, et ne cachant absolument plus rien lorsqu’elle se penche un peu en avant. Ce top est noué dans la nuque et le dos est largement dénudé.

Déjà la fin de l’après-midi arrive, Olivier lui choisi une tenue adéquate pour la soirée qu’ils vont passer ensemble : une robe blanche très classe, très sexy…

« Dorine, ce soir, nous passerons la soirée chez moi, avec ton équipe de bizu, ca sera l’occasion de faire plus ample connaissance, de façon personnelle et intime, même s’il est vrai, j’ai pris un peu d’avance avec Pauline tout à l’heure… »

Il sourit, Dorine recommence à stresser en enfilant sa robe et son string, une petite pointe de jalousie pince même un peu son coeur… Elle repense ensuite à l’étreinte de David de ce midi… et si ce soir ils… ils profitaient… ils l’obligeaient à … Oh non… ça serait si… Tout devient flou dans son esprit, stress et en même temps une envie de se donner en regarde le regard brûlant d’Olivier… Cela fait si longtemps qu’elle n’a pas eu de contact charnel… Elle se mord les lèvres, honteuse de ce mélange de stress et d’envie. Olivier la voit qui ajuste sa robe, et sourit en la voyant perturbée.

« Ne t’inquiète pas, tout sera fait dans la bonne ambiance, sous forme de jeu… ca vous donnera un aperçu des prochaines journées… »

Dorine et Olivier arrivent à l’appartement, disons plutôt un studio : à chaque mur son utilité : à droite en arrivant, le « mur salle de bain » avec une douche à l’italienne dans le coin un lavabo et une cuvette de WC ; en face, le « mur bureau » avec les étagères remplies de cours en tout genre ; à gauche, le « mur cuisine » avec un petit évier, une table et un frigo ; et enfin, du côté de la porte d’entrée, le « mur chambre » avec un canapé lit. Tout à l’air nickel, bien rangé, sans doute a-t-il préparé son studio dans la perspective de cette soirée.

Une fois à l’intérieur, Olivier annonce à Dorine qu’elle doit commencer à préparer ce qui servira de dîner pour ce soir. Il lui montre la table de la cuisine sur laquelle il y a des petits apéros surgelés, des chips, des crudités… Dorine, sans broncher, obéit et va préparer les plats. Pendant ce temps, Olivier passe une commande d’une dizaine de pizzas.

« Dorine, dans 20 minutes, un livreur de pizza va apporter ma commande, bien entendu, il est hors de question de lui payer tout ça ! Je vais acheter quelques petites choses qui me manquent, je reviens dans une heure. Je veux que tu négocies avec le livreur pour ne pas payer, que tu coupes les pizzas en petits morceaux, que tout le repas soit prêt à mon retour, ok ? »

« Heu… mais 10 pizzas ! Il ne va jamais vouloir me les laisser gratuitement ! »

« A toi d’être persuasive, tu as tous les arguments nécessaires à ce petit défi ! Bien entendu, et je saurai m’en assurer, il est interdit de coucher avec lui petite coquine ! »

Olivier sort en prenant soin de prendre son portefeuille et de vérifier que Dorine n’ait pas d’argent. En fermant la porte, il appuie sur le bouton d’une petite télécommande, une petite lumière rouge s’allume alors, provenant d’un coin du studio, un petit coin discret que Dorine n’a pas remarqué…

Dorine est paniquée, se demande bien comment elle va faire… Olivier ne veut pas qu’elle couche ! Encore heureux ! il ne manquerait plus que ça ! Non mais, il l’a prise pour quoi ? Une pute ?? Dorine est vexée de la dernière remarque d’Olivier… Mais dans un second temps, elle se dit que ça aurait été en effet une solution qui aurait marché à coup sûr… Elle se secoue la tête pour s’enlever cette idée de la tête, une idée qui la répugne… offrir son corps pour payer des pizzas… Et en même temps…

Dorine se dépêche pour préparer tous les plats, les dresser sur la table de la plus jolie des manières. Elle a à peine terminé que voilà quelqu'un qui frappe à la porte…

Son cœur se met à battre à toute allure, ses mains tremblent quand elle ouvre la porte. Elle découvre alors le livreur, encore vêtu de son casque.

« 10 pizzas, c’est bien ici ? »

« Heu… oui… oui c’est ici… merci… »

Voyant Dorine, il retire son casque, et se découvre un joli minois, sûrement un petit lycéen qui fait ce boulot pour se faire un peu d’argent de poche. Un beau petit blondinet aux yeux bleus. Il la matte sans se gêner, sa robe est si courte, ça serait dommage de s’en priver !

« Bon, ça vous fera 125 euros »

« Oui… heu… attendez… »

Dorine fait semblant de chercher de l’argent dans une poche d’une veste d’Olivier.

« Mince… je n’ai rien ici… Mon copain est parti avec toute la monnaie ce matin… fait chier… on pourra vous payer demain ? »

Elle fait son plus beau sourire en le regardant droit dans les yeux.

« Non, désolé, ça sera pas possible, mon boss fait les comptes chaque soir, et s’il manque du fric, ça sera pour ma gueule ! T’es sur que t’as rien ?? »

« Non, désolée… Vous voulez quelque chose en échange ? J’ai cette bague si vous voulez... »

« Qu’est ce que j’irai faire de ta bague ! Par contre, T’as p’tèt qqch à me montrer qui pourrait me convaincre non ? »

Il ferme la porte derrière lui, pose son casque sur le canapé lit et regarde Dorine dans les yeux.

« Quoi ? Montrer quoi ? »

« Et bien, t’as une jolie carrosserie j’ai l’impression, non ? Je pourrai p’tèt faire un effort si tu te montrais »

Résignée et voyant l’heure tourner, elle finit par accepter, se disant qu’elle ne connait personne dans ce quartier, elle ne risque finalement pas grand-chose… et puis ce gamin, il ne risque pas de connaître quelqu’un de son entourage…

Elle le regarde alors, toujours tremblante, et fait tomber sa robe par terre, lui dévoilant ses jolis seins ronds et son string très échancré.

« Bah voila qui est pas mal du tout ! T’es vraiment bonne toi ! Vas-y, termine le travail ! »

Sans gêne, voilà ce péteux de livreur qui ouvre sa braguette et qui sort sa queue, pas très grande mais déjà assez dure et se branle en matant la pauvre étudiante.

Elle baisse alors le string et se retrouve à poil, devant cet inconnu la bite à l’air ! Quel supplice, quelle honte pour elle.

« Voilà, vous voyez ma carrosserie, ça sera bon pour les pizzas ? »

« Et puis quoi encore ? Tu crois que la seule vue de ton corps vaut 125 euros ??? En général, faut toucher la marchandise non ? T’es pas d’accord ? »

« Si bien sur, vous avez raison… »

Et elle s’approche de lui, lui offrant à porté de main sa poitrine ferme. Il ne se prive pas pour d’une main lui pétrir les seins, de l’autre continuer d'astiquer sa jeune queue maintenant bien dressée. Dorine éprouve une honte, une humiliation telle qu’elle ne l’a jamais ressenti, des larmes sont à la limite de couler sur ses joues. Et ce petit profiteur qui lui tire ses mamelons, qui passe ses doigts entre les lèvres intimes, qui lui pétrit son cul de belle black… Et au dela de la honte, son corps stimulé depuis ce matin, réagit si vite à ces attouchements, qu'elle se tortille déjà...

« Putain, t’es grave bonne, un putain de canon ! Une sacrée chienne toi ! Et tu te laisses faire en plus ! Belle salope ! »

Mais bien que l'excitation monte en flèche, ces paroles, ces mots, s’en est trop pour elle, elle tombe en sanglots, pleurant à chaude larmes de honte, tout en le laissant continuer de plus belle, il s’amuse à faire claquer son gros gland décalotté contre ses cuisses tremblantes…

« Vas-y ! Prend ma bite et branle moi pendant que je prend mon pied à te peloter ! »

Dorine, perdue, obéit toujours en sanglots, maudissant son parrain. Elle l'insulte intérieurement en prenant la petite queue du livreur. Et lorsque le visage d'Olivier remplit son esprit, son coeur s'emballe et elle astique plus fort encore le lycéeen, faisant attention de bien la saisir pour le faire jouir au plus vite. C’est d’ailleurs ce qui se produit assez rapidement, il n’a pas grande endurance et évacue sa semence sur Dorine, créant de belle giclures blanches sur son ventre si plat.

Le livreur range alors son sexe, reprend son casque et sort sans même lui dire un mot, en riant.

Dorine se laisse tomber par terre, reprenant petit à petit ses esprits. Cela fait bientôt 1 heure qu’Olivier est parti, et elle a réussi à avoir les pizzas gratuitement. Le défi est réussi ! Elle se nettoie, se rhabille et réajuste sa robe, sèche ses larmes et s’assoit sur le canapé après avoir découpé les pizzas.

Olivier ne se fait pas attendre longtemps, il entre en souriant

« Alors ces pizzas, elles sont prêtes ? »

« Oui Olivier, c’est bon, tout est bon... »

Olivier la félicite d’un baiser tendre dans le cou, tout en prenant un saladier pour y déposer ses achats : une vingtaine de capotes…

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