Nuit magique

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Nous suivîmes Elenwëe à travers le village pour gagner un petit sentier serpentant entre les arbres vers l’Ouest. Elle marchait en tête, suivie de Geralt et Rodric fermait la marche derrière-moi. Impossible de tenir de front tant la végétation était luxuriante tout autour de nous. J’avais laissé quelques mètres entre Geralt et moi pour éviter qu’il ne me bouche la vue avec sa grande carcasse.

J'observais les plantes qui poussaient de part et d’autre de ce chemin tracé par des passages successifs. Elles étaient vraiment extraordinaires : les fougères géantes se disputaient aux arbustes fleuris entrelacés autour des arbres pluri-centenaires qui déployaient leurs ramures au-dessus de nos têtes. La lune, filtrant à travers les feuillages, éclairait le tout de sa lumière argentée donnant à la scène un aspect irréel. Le mélange enivrant du parfum des fleurs et de l'humus venait compléter ce tableau enchanteur.

Geralt s’arrêta soudainement devant moi. N’y voyant plus rien, je me retournai vers Rodric qui me surplombait de pas loin de deux têtes. Il haussa les épaules : Elenwëe avait semblait-il disparu mais, Geralt apparaissant serein, nous ne nous inquiétâmes pas. Nous attendîmes ainsi quelques minutes en silence puis la marche reprit sans que je sache au juste ce qu’il s’était passé. J’entendis alors le chant de la source et bientôt nous débouchâmes dans une clairière.

Je ne pus retenir une exclamation de ravissement tant l’endroit apparaissait féérique : la source coulait d’un rocher en granit sur lequel poussait un immense arbre majestueux et moussu. Il était couvert de jeunes feuilles trilobées et de fleurs délicates que je devinais blanches ourlées de rose et dont le parfum extraordinaire m'envoûtait. Ses branches se déployaient démesurées au point que la forêt semblait lui avoir laissé cette enclave rien que pour lui, les arbres alentour formant un cercle quasiment parfait à plusieurs mètres de lui. L’eau ruisselait sur le granit aux inclusions scintillantes et s’écoulait dans des bassins à débordement successifs qui contournaient l'extraordinaire végétal pour ensuite se déverser en un ruisseau rieur. Une brume flottait au-dessus de ces bassins spacieux et invitants, indiquant la chaleur de l’eau qui s’y trouvait.

Comme pour ajouter à la magie du lieu, une multitude de lucioles voletait dans toute la clairière, mêlant leur lumière chaude à celle argentée de la lune. Des insectes stridulaient dans les herbes et un rossignol chantait. Mon cœur se gonfla de gratitude d’avoir la chance de poser mes yeux sur un endroit aussi merveilleux. Je saisis les mains d’Elenwëe pour la remercier chaleureusement de nous partager cet endroit. Elle rougit un peu, curieux à observer sur sa peau verte, puis m’offrit un sourire éclatant. Pas besoin de traducteur pour ce message-là.

Elle nous emmena dans une petite hutte végétale dissimulée en périphérie de la clairière, nous montrant qu’il y avait là de quoi s’essuyer après la baignade, prit ce dont elle avait besoin puis entraîna avec enthousiasme Geralt par la main pour le mener à l’un des bassins de l’autre côté de l'arbre. Bientôt nous les entendîmes glousser de concert, ce qui ne laissa aucun doute sur leur occupation.

Rodric et moi échangeâmes un regard amusé et gourmand. Mon excitation du matin, qui s’était un peu calmée, remonta de plus belle, me crispant délicieusement le bas-ventre dans une chaleur intense irradiant mon intimité. Je me mordis les lèvres, attendrie et pleine de désir, en regardant l’homme que j’aimais tenter péniblement, d’une main, de se déshabiller. Il avait joyeusement enlevé ses bottes, bataillé un instant avec sa ceinture pour faire tomber son pantalon sur ses chevilles et était en train de réfléchir à comment se débarrasser du haut sans se faire mal :

-Tu comptes rester à me regarder ou tu me files un coup de main ?

Je pris plaisir à défaire lentement les boutons de sa chemise, laissant glisser mes doigts sur sa poitrine velue. Il frissonna à mon contact. Les hématomes sur son abdomen musclé avaient presque disparu sous l’effet de la potion de Geralt. Les voir me réactiva la peur que j’avais eue de le perdre le matin même. Une vague d’émotion me submergea, me coupant le souffle. Les larmes me montèrent aux yeux. Rodric réagit aussitôt en m’attirant contre lui de son bras valide.

-Je suis en vie Gaëllianne… Je suis en vie et je ferai tout pour le rester. Je t’aime. Je ne veux plus perdre de temps à être en colère pour t’aimer. La vie est trop fragile pour ça… Allez, sèche tes larmes, ça va aller.

Je restai blottie un moment contre lui, sanglotant de tout mon saoule puis levai mes yeux vers lui pour me perdre dans son regard océan. Il posa sa grande main sur ma joue pour essuyer mes larmes de son pouce, puis vint me caresser les lèvres délicatement.

Cela m’avait fait du bien de pleurer, sentir son corps chaud et solide contre le mien aussi, sa main sur mon visage, la douceur de ses gestes et de ses mots. Ses lèvres remplacèrent son pouce. Je lui rendis son baiser avec douceur puis passion, glissant ma langue à la rencontre de la sienne. Ma tristesse et ma peur se calmèrent. Le désir reprenait le dessus accompagné de cette envie sauvage, impérieuse, de profiter pleinement de l'instant présent.

Je défis provisoirement l’écharpe, ne laissant que l'atèle, pour l’aider à se débarrasser de sa chemise et il fit un pas de côté pour achever de quitter son pantalon. Ses sous-vêtements ne cachaient rien de son état. J'avais envie de m'agenouiller devant lui mais il m'intercepta :

-Moi aussi j'en ai envie mais laisse moi te déshabiller d'abord. Je veux profiter du spectacle de ton corps nu devant moi.

Ses mots me firent frissonner. Je l'aidai à me débarrasser de la tunique fendue que je portais - j'avais définitivement renoncé aux robes depuis que j'avais goûté au confort et à l'aspect pratique des braies - et me retrouvai bientôt seins nus devant-lui. La fraîcheur de la nuit me donna la chair de poule, faisant pointer mes tétons. Son regard gourmand s'arrêta dessus. Sa main glissa sur ma peau, venant soupeser l'un puis l'autre de mes fruits, effleurant délicatement et délicieusement mes pointes sensibles. Je ne pus retenir un gémissement, ce qui ne dépareilla pas avec ceux d'Elenwëe à quelques mètres de la.

L'impatience me gagnait. Je me débarassai de mes braies pour être à égalité avec lui : vêtue uniquement de mon sous-vêtement. Je me défis alors de ce dernier repart à ma pudeur pour mieux m'attaquer au sien, déformé par son désir. Il rit de mon empressement puis gémit quand, sans plus attendre, je posai mes lèvres sur sa virilité brûlante. J'enroulai aussitôt ma langue autour de son gland avant de faire passionnément glisser ma bouche tout le long de sa verge pour l'accueillir toute entière. Je le regardai droit dans les yeux, savourant ses soupirs et ses expressions. Il ne put s'empêcher de fermer les siens selon mes mouvements et j'avais grand plaisir à le voir se mordre la lèvre en gémissant.

Je fis durer ce jeu un petit moment, alternant douceur et enthousiasme, succion, léchage et mordillements. Il avait posé sa main sur mes cheveux. Ses jambes semblaient flageoler de plus en plus au gré de mes mouvements de va et vient et de mes succions. Je sentais cette légère vibration dans son membre qui annonçait sa jouissance prochaine. Une de mes mains accompagnait le mouvement de ma bouche tandis que la seconde caressait ses bijoux de famille avec délicatesse et doigté. Ma langue tournoyait toujours et j'accentuai délicatement la succion, creusant mes joues pour son plaisir.

Les mouvements involontaires et irrépressibles de son bassin me confirmèrent que son plaisir allait exploser, je serrai alors fermement mes lèvres et calai ma langue contre son gland soyeux, ne laissant que mes mains en mouvement. Sa douce saveur emplit bientôt ma bouche dans un râle de plaisir. Je m'en délectai, récupérant chaque goutte de la pointe de ma langue gourmande, sous son regard comblé et amoureux.

Il m'enlaça. Je sentais son coeur battre fort dans sa poitrine, à l'unisson avec le mien. Je partageais avec lui ce délicieux état flottant qui suit le plaisir. Nous frissonnâmes de concert puis nous mîmes à glousser en réalisant qu'on avait fait ça debout dans le froid alors que de l'eau chaude n'attendait que nous à quelques mètres de là.

Nous nous dirigeâmes vers le bassin le plus proche. J'y trempai un orteil pour constater avec délice que l'eau y était très chaude, comme dans un bon bain. Avec un soupir de bien-être, je descendis prudemment dans le bassin, qui était profond d'une quarantaine de centimètres là où l'eau était la plus haute, puis Rodric suivit gardant son bras blessé contre sa poitrine. Une intense sensation de bien-être et d'énergie se propagea dans mon corps au contact de l'eau.

Le fond irrégulier offrait des sièges naturels permettant de s'immerger plus ou moins dans l'eau. Rodric m'attira contre lui, couvrant mes épaules, ma nuque et mon cou de petits baisers aussi brûlants que l'eau dans laquelle nous étions. Je frissonnais de désir, chaque baiser me faisant ressentir une délicieuse crispation assortie d'une décharge de plaisir au creux de mon intimité.

-Caresse-moi!

Je ne reconnus pas ma voix voilée par le désir. Il m'attira dos à lui, calant son bras blessé sur le bord du bassin, répondant à ma demande de sa main valide. Je fermai les yeux, la tête basculée en arrière pour mieux sentir sa main glisser sur mes seins, puis parcourir mon ventre, mes flancs, mes cuisses… Ses effleurements me provocaient une sensation entre la chatouille et le plaisir brut, tout mon corps s'enflammait peu à peu dans un plaisir qui semblait connecté directement à mon clitoris qui attendait désespérément ses attentions. Je ne pouvais m'empêcher de me cambrer de plus en plus, les genoux écartés, impudique, offerte, gémissante.

Ses caresses se firent plus appuyées, il vint pétrir avec délectation mes seins l'un après l'autre, vrillant délicieusement mes pointes entre ses doigts, les faisant rouler l'une après l'autre. Ce mélange de légère douleur et de plaisir me fit gémir de plus belle. J'avais envie de lui demander de glisser enfin sa main entre mes cuisses mais je me retenais : je savais que cette attente insoutenable déboucherait sur un plaisir d'autant plus grand.

Sa main partit pétrir mes fesses et mes cuisses, s'approchant toujours plus de mon intimité brûlante, je haletais et gémissais de plaisir et de désir, m'offrant toujours plus mais il se détourna une fois encore. Un cri de frustration m'échappa. Son rire y fit écho, suivit de sa bouche dans mon cou.

Je sentais son sexe chaud reprendre du volume contre mes fesses. Je voulu glisser une main entre nous mais il m'arrêta :

-Pas encore. Assieds-toi sur le bord.

Accompagnant ses mots, son doigt glissa tout le long de ma fente jusqu'à ma perle gonflée de désir. Cela me fit l'effet fugace et puissant d'une décharge. Je sursautai en laissant échapper un petit cri mais c'était déjà fini : il attendait que je réponde à son invitation. J'étais partagée entre l'envie de rester blottie contre son corps et la promesse du plaisir qui m'attendait.

J'avais les jambes en coton quand je réussi enfin à réunir l'énergie de me mettre debout. Les parties de mon corps qui étaient immergées réagirent à la fraîcheur de l'air mais je n'avais pas froid. La chaleur de l'eau continuait d'irradier le long de mes jambes pour se diffuser agréablement dans tout mon corps. Le bord du bassin était étroit, dur et chaud sous mes fesses, un relief dans le fond me permis de caler confortablement mes pieds. Je m'étais adossée au bassin supérieur et l'eau cascadait agréablement dans mon dos et ruisselait de chaque côté de mes seins et de mes cuisses entrouvertes.

Rodric me regarda longuement, se délectant du spectacle de mon corps offert. Je suivais le mouvement de son regard électrisant sur ma peau, j'y lisais fierté, désir et amour. Mon coeur se gonfla de joie : je retrouvais mon homme comme à nos débuts.

Enfin, il s'approcha pour s'agenouiller face à moi. Sa bouche vint cueillir la mienne et sa langue douce glissa contre la mienne tandis que sa main avait repris son voyage sur ma peau. Je gémis dans sa bouche quand elle remonta à la lisière de mes lèvres intimes. J'avais tellement envie qu'il me touche, me caresse, que mes cuisses s'étaient réouvertes sans même que j'en ai eu conscience. Il ne m'offrit à nouveau qu'un contact aussi jouissif que fugace, parfaitement frustrant. Cette fois je grognai :

-Tu comptes me torturer longtemps comme ça ?!

-Patience! Rétorqua-t-il avec un sourire ravis avant de m'embrasser à nouveau avec fougue. J'adore te voir à fleur de peau comme ça ! Tu en es toute frémissante ! Et terriblement humide ajouta-il en portant ses doigts à ses lèvres.

Sa bouche infernale entreprit alors d'explorer mon corps comme l'avait fait sa main. Il jouait avec mes nerfs, embrassant, léchant, suçotant et mordillant chaque parcelle de mon corps excepté la plus sensible. Il s'attarda longtemps sur mes seins, m'arrachant des gémissements de plaisir. Chaque contact résonnait entre mes jambes. Ma tension était si grande que je sentais pulser le sang dans ma perle sensible. J'en vins à le supplier.

-Je n'en peux plus ! Je t'en supplie, fais-moi jouir ! Avec ta bouche, ta main, ce que tu veux mais par pitié ne me laisse pas comme ça !

En réponse à ma supplication, sa langue glissa le long de mon ventre puis longea l'intérieur d'une cuisse et enfin glissa le long de ma fente. Je la sentis avec bonheur s'insinuer, avec délicatesse et passion, tantôt douce tantôt dure, dans mes replis intimes. La sensation était divine. Je gémissais sans retenue bénissant le soutien dans mon dos qui me permettait de m'abandonner au plaisir qu'il m'offrait. Il fit durer ce délicieux ballet un long moment avant de glisser deux doigts en moi, déclenchant une vague de plaisir intense.

Ses lèvres emprisonnèrent alors ma perle palpitante, sa langue la caressa au même rythme que ses doigts qui allaient et venaient en moi de plus en plus rapidement. Les vagues de plaisir gagnaient en intensité, irradiant tout mon corps depuis mon sexe offert. Mon cri de jouissance franchit mes lèvres. Ce plaisir à l'état brut était comme un embrasement de tous mes sens, violant, palpitant, renversant. Cet orgasme dura longtemps, accompagné par ses caresses qu'il n'arrêta qu'après la dernière réplique, le dernier spasme. Le calme revint.

Une fois encore, l'amulette s'activa, nous enveloppant tous deux de sa protection, mais je ne fus pas entraînée dans suelques projection astrale, à croire qu'elles n'étaient destinées qu'à nous réunir Rodric et moi.

Pour l'heure je ne me préoccupais pas de cela : j'étais sur mon nuage, hébétée, flottante, dans un état second… L'émotion me submergea et mon rire se mêla à mes larmes sous le regard amoureux et attendri de mon mari. Rodric me serra longuement contre lui le temps que j'atterrisse en douceur. Je savourai ce moment d'éternité.

Ce sont des gémissements rauques et suaves mêlées et rythmés qui me sortirent progressivement de la bulle dans laquelle je flottais, indolente. Je rouvris les yeux et retrouvais le regard gourmand de mon homme. La sensation de son érection brûlante contre ma cuisse me ramena à l'instant présent et raviva mon désir à son égard. Je n'étais pas encore repue! Je voulais faire corps avec lui, qu'il se fonde en moi, que nous soyons de nouveau unis…

Il me laissa prendre les chose en main, littéralement, s'installant semi-assis dans une zone peu profonde, calant son bras blessé contre sa poitrine pour l'immobiliser. Son regard accompagna chacun de mes mouvements tandis que, après l'avoir embrassé langoureusement, je m'empalais lentement sur lui en amazone. J'étais encore à fleur de peau suite à mon orgasme si intense et le sentir combler mon intimité sensible était délicieux. Son gémissement, quand mes fesses entrèrent en contact avec ses cuisses, me confirma que c'était bon pour lui aussi. Je restai immobile un petit moment pour profiter de la sensation de plénitude, de mon sexe palpitant enserrant le sien brûlant et réactif.

Sa main vint caresser mon visage, m'attirant à lui pour un baiser, glissant sur mes seins dans la foulée, c'était doux, c'était bon. Sans même m'en apercevoir, je commençai à me mettre en mouvement, coulissant en douceur sur son mât pour notre plaisir à l'un et à l'autre. Fermant un instant les yeux, je me concentrai pour chercher l'angle qui me procurerait les meilleures sensations pour nous conduire ensemble vers le nirvana.

Il me laissa imprimer mon rythme, mon amplitude, profitant des sensations offertes et de la vue de mes seins balançant en rythme - il essayait de les retenir mais bien trop de volume pour une seule main - de mes gémissements et de mon visage crispé par le plaisir.

Nos regards étaient à présent aimantés. J'avais pris appui sur ses épaules musclées pour mieux accélérer la cadence et l'amplitude. Je goûtais à nouveau à ce plaisir qui montait crescendo me poussant à vouloir toujours plus fort, toujours plus profond. Notre respiration haletante était entrecoupée de gémissements et de râles. J'étais sur le fil de la jouissance sans parvenir à basculer.

-Aide-moi! Lui lançai-je d'une voix rauque.

Il tendit le cou pour m'embrasser, m'agrippant le bassin tout en mobilisant le sien dans de solides coups de reins. Nos corps se percutaient avec une délicieuse violence, l'enfonçant toujours plus profondément en moi dans un plaisir qui résonnait jusque dans mes os me faisant couiner à chaque coup de boutoir. Je me sentis l'enserrer convulsivement au plus profond de moi, chaque spasme de plaisir contractant l'ensemble de mon corps pour mieux le relâcher. Il cria avec moi quand ma jouissance provoqua la sienne dans un tsunami de sensations puissantes et extatiques. Je me laissai tomber sur lui, la tête sur son épaule, essoufflée, comblée, repue.

-Je t'aime, souflâmes-nous d'une même voix avant d'en rire, attendris.

Nous restâmes ainsi un long moment avant de nous résoudre à quitter la chaleur du bassin. Le silence régnait alentours : nous devions être seuls depuis un moment, nous n'y avions pas prêté attention. J'étais bien. Je me sentais enfin de retour à ma juste place. Je le sentais dans mon coeur et le lisais dans les yeux de l'homme que j'aimais.

Le temps de nous sécher et de nous vêtir et nous étions rentrés au chariot, chez-nous, pour y dormir auprès de notre fille. C'est totalement en paix que je m'endormis cette nuit-là et je pense pouvoir dire sans me tromper que ce sentiment était partagé.

FantasyÉrotiquefanfiction
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Contenu sensible
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En réponse au défi

Plaisir en pleine nature

Lancé par Mezzgora

 Le beau temps me donne envie de balades en pleine nature. Et pourquoi pas, une balade coquine ???

 Les consignes pour ce défi seront, vous l’aurez surement compris, de rédiger un récit érotique avec un/des rapport(s) en pleine nature ! Pourquoi pas une forêt, un champ, le bord d’une rivière, la plage, une montagne …

 Pour le reste, vous avez carte blanche (ouai j’adore cette expression :D ) car il en faut pour tous les goûts sur ce site (dans le respect des CGU bien entendu !) :

 - hétéro/homo/bi/autre?

 - à 1/2/3 ou plus

 - couple/amis/inconnu

 - romantique/passionné/violent

 - réaliste ou pas (par exemple, les pantalons longs sont conseillés pour les balades dans les herbes hautes, mais c’est pas hyper sexy …)

 Comme vous le voulez, le rêvez, ou même comme vous vous en souvenez !

 Pour la longueur du texte, à vous de voir. Afin de motiver des auteurs à se lancer, je me suis prêté à l’exercice, avec un texte de 1700 mots environ. A vos plumes !

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