Le vin des ronces

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SCÈNE 1

Dans le salon du bon goût, sous la tête de cerf.

Le Sri Lanka... Avec tout ce que j'ai appris pourquoi je continue ? Celui qui obtient le pouvoir, finit par faire face au désir de vouloir plus ténébreux encore.
" Ils se rassemblent de nouveau monsieur.
- Qui ça ?
- Les grands méchants voyons.
- Sont-ils au Sri Lanka ?
- Hum, très peu probable major.
- Je vais au Sri Lanka.
- Comment ? Vous abandonnez les défenses de la sorte ?
- Ils ont toujours sous-armé leur défense sur cet océan mon ami et je sais aussi qu'il y a le Sri Lanka dans mon océan. "

SCÈNE 2

La tension souffle au centre d'une rose des vents lumineuse, qui a rallié les quatre point cardinaux. Égaré loin de celle-ci, on tape dans la pièce à paperasse.

Ils étaient bien au Sri Lanka et le major c'était attiré des ennemis plus dangereux, plus tôt que prévu. Notament cause de l'organisation de ce fichu gribouilleur, qui pouvait suivre les mouvements de l'œil de l'araignée.

" Colonel Boucher, quelle belle surprise !
- Qui est cet homme ? Je suis le Tsar.
- Le juge l'a compris lui.
- Un intrus ? Ça ne peut-être que l'ingénieur. On ne vous attendez pas de si tôt. Ravi de ne pas être le dernier arrivé. Docteur, merci pour l'invitation.
- Quel imbécile, vous devriez arrêter de changer de tête pour qu'on vous reconnaisse enfin major Col.
- Le major Col !
- L'araignée, le pion hors de l'échiquier.
- Messieurs... Pourquoi, comment, dans quel projet ? "

" Qui a gagné ?
- Veux-tu bien arrêter d'interrompre mon histoire petit homme et tant que tu y es, descendre de ta poutre et fiche la paix à cette chèvre une fois pour toute ? Stephane ! "

Jkpa en fait c'est elle qui a réuni tout le monde là-bas, moi, la secrétaire de Kréoli Mage comprise.
Le boucher, c'est pas lui qui a gagné, mais de toute façon personne l'approchera plus.

SCÈNE 3

Dans la même rose des vents, à l'heure où tout rougit.

Le colonel Boucher était attaché à sa hache, elle tuerait par la maladie si la rage et la fourberie des mains de ce roi ne suffisaient pas.

Le Gribouilleur dit ouvertement qu'il voit trop de visage. Ce doit être vrai, pour qu'il se soit laissé approcher si facilement par toutes les hyènes qui l'ont toujours entourées, pendant qu'il avait les yeux sur sa figurine fétiche.

Le Juge avait toutes les cartes en main, sauf qu'à force de les avoir toutes à l'œil, on s'est joué de lui par-derrière. La chance devait siroter une tasse de thé sur une table à côté de lui lorsqu'il a suffoqué. Enfin, ça c'est ce que croyaient les autres, comme le Boucher lorsqu'il en a parlé au major par exemple.
" Vous êtes, une femme. Ce n'est pas vous qui avez tué le Juge.
- Vous baissez votre garde bien facilement, si vous êtes choqué pour ci peu, je doute de vos compétences pour en être arrivé où vous êtes colonel.
- Vous allez tout arrêter major. La voix rare du gribouilleur. "

Des explosions hollywoodiennes, une pluie impossible, un désordre tonitruant et des hurlements qui appartiennent à la guerre, la rencontre flamboyante entre les piliers du vice a laisser des centaines de corps dans une boue qui respirait le sang. Tout allait très vite, les tirs et les grenades des soldats se croisaient, mais cette femme restait là. Même si son anneau en or faisait d'elle une cible facile, même si son gardien voulait la sauver elle et garder les yeux ailleurs la fois, elle aimait l'odeur, danser là dans sa surdité et finalement disparaître dans la brume. Ce genre de désordre qui a libéré les animaux du docteur.

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