Poeme

L'espace et si vaste.

Que je ne trouve plus ma place.

Dans tout ce qui se passe.

Je suis bloquer dans ce sas.

Malgrès cette tragédie, je m'en balance.

Je suis tel un fantome trouvant sont sens.

L'érrance mènera bien à l'exhumérance.

Et puis de toute évidence.

Je n'arrive pas à faire surface.

La bas, je n'ai plus de face.

Je joue à pile mais je perd sur face.

Aider moi à rejoindre l'espace.

L'essence même d'une mélancolie inouie.

Je n'ai plus d'energie ni même pu d'envie.

Je m'ennui alors j'écris.

J'ai envie de changer de vie.

Je ne vois que l'eau et la pluie.

Ici pas de soleil ni de magie.

Que le ciel tombe sous mes cris.

Juste un pincement au coeur.

Je ne compte pas sur l'âme soeur.

Malgrès que je meurt.

J'ai tendance à me morfondre de l'heure.

Quand trouverai-je le bonheur.

Le néant renait de ces cendre.

J'aimerai bien me pendre.

Mais ce n'est pas à attendre.

Que l'histoire commencera à m'apprendre.

Je réfléchie à une possibilité.

Bien que je soi exacerber.

Je me demande quand j'étais un bébé.

Si je me soucier de temps de beauté.

Je veux tout abandonner.

Je fume et bois pour oublier tant de cruauté.

La réalité est entrains de me rattraper.

Je veux m'allonger sur le canapé.

Aider moi à vivre sous un toit.

La où il existe encore des lois.

Je n'ai plus foi ni bientôt pu de foie.

Le nombre de fois ou j'ai bu trop de fois.

J'aimerais retrouver ma foi ce qui reste de moi.

Mon univers est à l'envers.

J'écris ces quelques vers.

Vers la sortie d'une nouvelle air.

Je vole et m'affolle.

La folie, mes écris et tout ce qui sens suis.

Je prends mon après midi à rester assie.

En pensant à toutes les péripetie que je vie.

Je suis la à écouter de la musique.

Je reste statique et non dynamique.

Dans la pratique, je devrais programmer.

Pour avancer et contemplé.

Je bois du café pour m'excité.

Préférable de boire du thé.

Je m'en vais à ricanner sur mon état de santé.

Je m'inflige des dégats.

Bientôt je n'aurai pu de bras.

J'avance selon mes pas.

Mon papa n'est pas fière de moi.

Je dors la journée.

Actif la nuit, je me met à pleuré.

Sur mon sort inégalé.

Je veux franchir la voie de ma destiné.

Je vois mon sang couler

Laisser moi souffler.

Je suis si triste à me piquer.

Soulagement mais insouciant.

Je reste sur pied mais perds mes répère.

J'espère que mes parents seront toujours vivant.

Je serres les dents prudament.

En voyant mon être étrangement permanant.

Je rêve de partir dorénavant.

Je n'ai plus d'espoir maintenant.

Absolument tout refaire

Je n'ai pu de flaire.

Tout pour plaire

Mais sans repère

Je vie à moitier dans une seconde sphère.

Je regrette mon passé.

Helas je dois avancer.

Crois moi, je suis invisible et indévisible.

Je suis dans la cible.

Avec moi tout s'en va

Ma projection s'estompera

Ma joie s'adouciera

Prends moi dans tes bras, je serais la.

Je déprime et m'affirme.

Tout ces centimes m'abime.

J'évite toute cette firme.

Au lieu de cela, je sublime.

Ce beau paysage qui se dessine.

Sous mes yeux ébaillie, je ris.

J'estime avoir suffisament grandi.

Alors, je suis dans mon lit.

Tout endormis.

Mon coeur bat et se bat.

Mon esprit me souris.

Avec lui, je ne fais qu'un.

Tristement sans testament.

J'emplois devant moi.

Une lois qui nous unira.

Avec elle, je serais libre.

Une nouvelle fois, je restera.

Vibrant comme un sentiment.

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Commentaires & Discussions

...Chapitre1 message | 2 ans

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