Le passage du train dans un tunnel me réveilla en sursaut. Nous étions désormais seul dans ce wagon mais j'avais du mal à savoir où nous nous en étions dans notre trajet. Enfin dans mon trajet pour Bordeaux.

Je sentis à ma plus grande surprise comme une caresse au niveau de mon sexe. Son pied était là sur mon sexe gonflé par la plaisir naissant. Elle me regardait avec des yeux pétillants sans rien dire mais avec également un sourire au lèvres. Je ne savais pas quoi faire, ni dire, j'étais comme tétaniser. Je ne connaissais rien d'elle ni même son prénom.

Elle posa un doigt sur ses lèvres pour me dire de ne rien dire. C'était à la fois frustrant et excitant. Une sensation que je n'avais jamais connu jusqu'à présent. Elle enleva un nouveau bouton de son chemisier et passa sa main sur son décollté. Je ne pouvais plus revenir en arrière. J'était beaucoup trop excité par cette inconnue.

Son soutien gorge en dentelle rouge portait sa magnifique poitrine. Elle me regardait fixamment avec une telle puissance. J'était comme paralysé. Elle se leva, contourna la table et vin s'asseoir à mes côtés. Sa main commença a débouter ma chemise bouton après bouton. Je sentais ses ongles parcourir la peau de mon torse. Elle enleva ma ceinture et ouvra mon pantlon. Peu de doute sur l'effet que me faisait cette situation plus qu'inhabituel pour moi. Elle glissa sa main dans mon caleçon et commença un va et vien sur ma queue qui se durcira instantanément. Elle fini par ôter complétement mon caleçon et sorti mon gland rouge de désir. Ses lèvres le frolèrenent et je puis sentir le souffle de sa respiration. Elle donna un petit coup de langue, me regarda droit dans les yeux et commença à me sucer. Je ne peux décrir cette sensation de plaisir intense. Je sentais sa gorge sur ma queue, en un va et vient intense. Je ne pouvais que savourer cet instant comme suspendu dans le temps. J'en oubliais presque que nous étions dans un train au milieu d'un wagon.

Toujours dans un silence si excitant elle commença à enlever complétement son chemisier, je pu lire sur un bracelet le prénom de Sarah, peut être le sien ou celui de sa fille. Ce rouge sur cette peau bronzée était d'une intensité rare. Elle pris l'initative de m'embrasser, ce qui me rassura il faut le dire. Son jean ne mis pas longtemps avant de n'être qu'un vêtement parmi d'autre sur le sol de ce wagon. Un string rouge complétement cette ensemble. Je repris le dessus et pris l'initiative de l'allonger sur les deux sièges. Peau contre peau avec seulement cette dentelle sublime pour seule barrière. Je parcourais son corps avec mes lèvres, sentant sa peau se tendre, sa respiration s'accelérrer. Elle dégrapha complètement son soutien gorge et dévola une poitrine aussi parfaite que possible. Assez imposante et lourde avec des tétons durcit par le plaisir de cette échange. Je commença à lecher et mordiller ces derniers. Un premier gemissement sorta de sa bouche. C'était probablement le premier son réel de notre conversation si silencieuse de part les mots.

J'attrappa un puis son deuxième seins et les lécha tendrement. Je sentis alors son coeur s'accélere et ses mains sur ma tête qui me poussaient vers son bassin. Elle écarta les jambes. Rasée complétement, je puis découvrir sa petite chatte. Humide de désir, ma langue s'enfonça dans cette antre du plaisir absolue. Je réalisais petit à petit ce qui se passait.

Elle repris le dessus et je me retrouvais assis sur ce siège confortable de TGV. Elle se mis sur moi et je sentis alors sa chatte descendre le long de ma queue. Ce fut comme une première gorgée fraiche d'une bonne bière après un effort. Quelque chose de savoureux, de revigorant. J'entendis une respiration sacadée de sa part comme si elle voulait profiter de cet instant le plus longtemps possible....