Sacrifice
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Jusqu’à mon dernier souffle, je crierai ton nom
Et mes amis les vents, au-delà des enfers,
Des paradis ou du néant, la belle affaire,
Par-delà les confins, les vents t’appelleront,
Car, tel un preste Orphée traversant l’Achéron,
Mon esprit sublimé, trouvera comment faire
Afin de t’arracher à la mort, à ses serres,
L’esprit revenu, âme et corps fusionneront.
Vaincue, la Camarde te rendra à la vie.
Moi, je serai perdu dans les limbes, tant pis,
Car la Parque, bien sûr n’accepte qu’un échange.
Mais mourir est préférable à la vie sans toi,
Car tu mérites cent fois de vivre mon ange,
Puisque je sais qu’en toi, mon souvenir vivra.
JI 31/05/21
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