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« Oh merci, monsieur l'aide de camp, de votre indulgence. La prochaine fois, nous ferons bien attention à respecter vos lois. »
Vous payez ce qu'il réclame, même s'il est évident qu'il va en garder au moins la moitié dans sa poche. Pendant que vous comptez cinquante guinées, il vous semble entendre, dans l'autre navire, comme un bébé qui pleure. Voilà qui n'est pas tombé dans l'oreille (la vôtre) d'un sourd ! Nul besoin d'aller jusqu'à Narnia, puisque le nourrisson otage (et sans doute ses parents, la princesse, ou plutôt la reine SORILA, et son époux, que vous connaissiez peut-être sous le nom du duc de Lewis mais qui a certainement changé de nom maintenant qu'il est roi, même pris en otage), puisque ces trois personnes royales ne sont pas loin ! Puis le « douanier » s'en va en se frottant les mains.
Rendez-vous au paragraphe 278.

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