Vous pensez que presque tous les villageois sont des fermiers, à en juger par le nombre de granges jouxtant la plupart des habitations. Ah, quand même, vous repérez un fleuriste (« le pauvre homme, à en juger par la quantité de fleurs autour du village, comment fait-il ses affaires ?», vous demandez-vous), une couturière, une maison dont la porte est ornée d'une peinture de barreaux brisés (symbole de la liberté ? Homme d’Église, de loi ?), un viticulteur, une mairie, une apicultrice (bien sûr, la ruche est probablement très à l'écart du village), une fabrique de tissus où vous repérez deux personnes en plein travail, suant sang et eau, une école, et face à cette école, une maison avec une plaque dorée où est écrit : « Chez Blaise Pascal, casino de l'oye ». « Casino » est un mot inconnu pour vous. Vous pouvez, par curiosité, sonner à la porte de Blaise Pascal, en allant au 140. Ou bien, pourquoi pas chez le fleuriste, en allant au 135. Quand vous en aurez assez, vous pourrez retourner au paragraphe 93 ou bien au 134.