Sur une idée du scribayen Romero, j’ai décidé de fournir une suggestion en anglais à l’IA. J’ai ensuite adapté le style anglais à celui français.

Les suggestions étaient « Écris-moi une histoire d'au moins 1000 mots avec du mystère, des rebondissements, des dialogues et des descriptions ».

Le détective John Smith est assis à son bureau, fixant la feuille blanche qui se trouve devant lui. Il travaillait sur cette affaire depuis des semaines, et n'avait toujours aucune piste. La victime, une jeune femme nommée Sarah Johnson, avait été retrouvée morte dans son appartement, et le seul indice était une seule rose rouge laissée sur son oreiller.

Smith se penche en arrière dans sa chaise et laisse échapper un soupir. Il savait que cette affaire allait être difficile, mais il était déterminé à trouver le tueur. Il se lève de son bureau et décide de faire une promenade pour s'éclaircir les idées. Alors qu'il marchait dans la rue, il n'arrivait pas à se défaire de l'impression qu'il était observé.

En tournant le coin d'une rue, il a vu une silhouette dans l'ombre. C'était un homme, habillé tout en noir, avec une capuche couvrant son visage. Smith a immédiatement su que c'était le tueur. Il a sorti son arme et a crié : « Pas un geste ! Police ! ».

L'homme s'est mis à courir, et Smith l'a poursuivi. Ils ont couru dans les rues, évitant les voitures et sautant par-dessus les clôtures. Smith se rapprochait de plus en plus, mais au moment où il allait attraper le tueur, celui-ci a disparu dans une ruelle voisine.

Smith l'a suivi, mais la ruelle était vide. Frustré, il a donné un coup de pied dans une poubelle et a poussé un juron. Il savait que le tueur était toujours là, et il ne pouvait pas se reposer avant de l'avoir attrapé.

De retour au poste, le partenaire de Smith, le détective James, examine les preuves. « Hé John, je pense que j'ai peut-être quelque chose, a-t-il dit. Nous avons trouvé des traces de peinture rouge sur l'oreiller de la victime. Cela correspond à la peinture utilisée sur une voiture qui a été déclarée volée le jour du meurtre.

— C'est ça ! s’exclama Smith. Nous devons trouver cette voiture. »

Ils ont retrouvé la voiture dans une casse à la périphérie de la ville. Alors qu'ils fouillaient parmi les voitures, ils ont entendu un bruit provenant d'un hangar voisin. Ils s'approchent prudemment, armes dégainées, et trouvent le tueur à l'intérieur, assis parmi les piles de pièces de voitures.

« Vous êtes en état d'arrestation », a dit Smith, en menottant le tueur.

Le tueur a juste souri et dit : « Vous ne saurez jamais la vérité. »

Smith et James étaient confus, mais ils n'ont pas eu le temps de l'interroger davantage car ils devaient l'amener au poste.

Au poste, le tueur, qui s'est révélé être un homme nommé Mark, a refusé de parler du meurtre. Smith et James sont désemparés, mais ils ne perdent pas espoir. Ils retournent à la casse pour enquêter davantage et tombent sur une clé cachée sous un tas de vieilles pièces de voiture.

Ils ont utilisé la clé pour ouvrir une porte verrouillée dans la remise, et à l'intérieur ils ont trouvé une pièce remplie de photos de Sarah, de coupures de journaux à son sujet, et un journal qui détaillait l'obsession de Mark pour elle. Ils ont finalement appris la vérité, à savoir que Mark harcelait Sarah depuis des mois et qu'il l'a tuée parce qu'elle refusait d'être avec lui.

Smith a ressenti un sentiment de satisfaction alors qu'ils ont finalement résolu l'affaire et traduit le tueur en justice. Il savait que cela ne ramènerait pas Sarah, mais au moins son assassin était hors des rues et ne pouvait plus faire de mal à personne.