Chapitre 82 Titre – la promesse de Pierre.

11 minutes de lecture

### Pierre ###

Enfin de retour à la maison ! Aussitôt que Zakpa fut parti pour rentrer chez lui, les filles timides jusque-là, se défoulèrent par des cris et des rires !

– Bonne arrivée Patron ! me dit Ninah tandis que Benjamin ouvrit la porte d’entrée.

Elle me paraissait en pleine forme, et de plus elle arborait un top tout neuf avec un décolleté vertigineux ! Je vis les rondeurs de ses seins dont seulement les aréoles étaient couvertes. Mais le tissu était tellement serré que ses tétons habituellement dressés perçaient littéralement le tissu !

Amina, laissa sa « petite sœur » exprimer sa joie avant de venir dans mes bras. Elle aussi avait renouvelé sa garde-robe et affichait ses seins sans retenue ! En fait un bouton de son top s’était détaché et je reçus un choc devant ce déshabillage intentionnel. De plus, elle nota immédiatement que ma lance était en position de guerre et j’eus bientôt quatre mains qui rivalisèrent en caresses pour ouvrir mon pantalon !

– Hé, les filles laissez-moi entrer avant de me violer !

– Non Pierre, cela fait plus d’une semaine d’absence et tous les soirs Ninah et moi, imaginions comment t’accueillir et quelles caresses tu allais nous prodiguer pour nous faire jouir !

Ninah, écarta même les bords de son col pour me prendre la tête et me serrer contre ses seins !

– Oui, Pierre profites-en ! Regarde comme mes tétons sont durs et tendus.

Les filles étaient déchaînées et je me retrouvais très rapidement assis dans le divan avec Ninah assise à califourchon sur mes genoux. Avec une jambe de chaque côté, sa minijupe remonta et révélait son intimité brillante de cyprine !

Très rapidement elle prit ma verge et l’introduisit dans son antre avec un soupir de satisfaction.

– Ne bouge pas ! me dit-elle, laisse-moi profiter de ta verge bien dure !

Amina, glissa une main vers mes testicules et les caressait tout en douceur.

– Pierre, je suppose qu’aujourd’hui et demain tu n‘iras pas au bureau et moi j’ai pris une journée de congé, je te désire au-delà du raisonnable et tu ne quitteras pas notre lit. Ninah a préparé des petits plats qu’on te servira au lit. Tu recevras aussi une dose de fortifiant car on veut te voir bander sans interruption jusqu’à demain soir !

– Non, dis-je ne faites pas cela, soyez raisonnables !

– Ne t’inquiète pas, c’est juste une dose comme tu en as déjà reçu dans le passé. À propos Marie est passée en semaine, pour m’examiner. Elle m’a rassurée, je peux maintenant avoir des rapports avec toi sans soucis ! Elle a aussi enlevé les fils et je ne garderai que deux cicatrices qui s’estomperont progressivement. Elle m’a raconté que Tsela a ramené son mari, Kasongo, que tu l’as libéré de sa prison. Son père a finalement accepté de lever sa punition. C’est vrai qu’il n’est pas son frère ?

– Oui, il est le fils de la sœur de la mère de Tsela ! Elle l’avait adopté car sa sœur était décédée après l’accouchement. Et tout le monde croyait que c’était son fils !

– Finalement, tu as couché avec Tsela ? demanda Amina.

Je ne voulus pas mentir :

– Oui, nous avons couché ensemble ! Mais avons juré de ne pas en parler. Vous garderez le secret. Elle était vraiment stressée, c’était juste du sexe sans amour.

– C’était comment ? Elle baise mieux que nous ?

– Non, il n’y a pas de comparaison ! Avec vous c’est du sexe avec de l’amour. Amina tu sais comme Tsela est impulsive ! Déjà au bureau tu m’as raconté qu’elle n’hésitait pas à se masturber par jalousie. Après l’attaque sur la route où elle a échappé de peu au viol, elle était dans le même état qu’après la tentative de viol par son frère et elle a cherché un exécutoire.

– Mais tu as eu du plaisir ?

– Oui, bien sûr, comme toi Ninah lorsque vous dormiez ensemble.

– Oui, mais c’était pour l’empêcher de venir dans ta chambre !

– Ce qui montre bien qu’elle voulait du plaisir avec moi. Maintenant elle a pris son « frère » comme mari suivant la tradition lulua et lui a fait l’amour tous les jours. Leurs cris ont même réveillé les désirs de sa belle-mère qui voulait coucher avec moi. Mais rassurez-vous, j’ai refusé, je ne voulais pas me retrouver avec une nouvelle Lysa ! À propos comment va ta maman ?

– Maman et Jaspar vont très bien, Maman lui applique régulièrement le remède et il paraît qu’il bande mieux que toi ! d’après maman. me dit-elle en riant.

– De toutes façons Amina, après-demain tu viendras au bureau avec moi, tu verras que Tsela s’est sérieusement calmée, maintenant qu’elle a son jouet de sexe personnel. Mais ne lui dit pas que tu es au courant ! Si elle t’en parle tant mieux sinon vous resterez collègues et amies ?

– Oui Pierre, elle restera encore longtemps à Kin ?

– Encore six mois au moins, pour qu’elle puisse terminer l’étude du café et ainsi achever sa formation de gestion. Sa grande sœur Marie leur a trouvé un logement et son mari travaillera à la brasserie. La fin de son stage correspondra à mon retour chez son père, mais cette fois vous viendrez toutes les deux avec moi, pour me « protéger » des assauts d’Eva, sa belle-mère. Après le couple reprendra progressivement les plantations familiales.

– Merci de ne pas m’oublier dans tes missions, Pierre ! En attendant je sens ton sexe qui gonfle encore dans mon corps ! J’avais oublié un peu comme c’est bon de te sentir dans mon corps.

Elle défit entièrement son top et empauma ses seins pour me les présenter devant ma bouche.

– Suce-moi Pierre, pendant ton absence Amina et moi on s’est souvent calmées ensemble, mais aujourd’hui nous te voulons sentir dans notre corps.

– Pierre, dit Amina, quand te décideras-tu de me prendre pour femme ?

– Demain je compte aller voir Lysa pour demander très officiellement ta main. On pourra se marier dans un ou deux mois ! suivant les disponibilités de ta maman.

– C’est vrai Pierre ?

– Oui, ma grande et tu seras ma femme !

– Embrasse-moi mon amour ! Je te garantis que tu seras heureux avec nous !

– Je suis déjà heureux Amina, toi et Ninah vous comblez mes envies et mes désirs, de plus j’adore vous voir vous caresser et vous aimer entre vous ! Pour quoi irais-je chercher ailleurs. Ce sont les autres femmes qui sont attirées par ma peau, mon argent et le désir de baiser un blanc.

– Oh, oui dit Ninah, c’est vrai que tu crées des envies mais tant que tu es dans mon vagin, donne-moi du plaisir et toi aussi Amina donne-moi tes seins à sucer puis donne-les à Pierre.

– Tu as raison Ninah, Pierre parviendra peut-être à me faire jouir comme il le faisait avec Brigitte qui eut des orgasmes rien qu’au toucher de ses seins !

Faire allusion à Brigitte amplifia encore mon érection, non pas que je la regrettai, mais elle avait initié Ninah et plus tard Amina à l’amour du sexe et en pensée je lui fus reconnaissant.

Amina approcha ses tétons de ma bouche pour les retirer au moment où mes lèvres étaient tout près. Elle riait de plaisir en voyant ma déception, puis recommença jusqu’au moment où je pus saisir enfin ses tétons entre mes lèvres.

– Oui Pierre cria-t-elle j’adore, tu peux me mordre doucement, cela donne des frissons dans mon ventre.

Mais moi je ne parvins plus à maîtriser la montée de mon sperme et je criai mon orgasme. Ninah, elle n’était pas encore au climax et accéléra ses mouvements faisant danser ses seins devant mes yeux. Amina comprit que Ninah avait besoin d’assistance et glissa des doigts dans son vagin en serrant entre son bijou et ma verge ce qui immanquablement augmenta notre plaisir et son orgasme fut violent, me donnant une deuxième jouissance par les contractions de son ventre.

Ninah se dégagea, laissant ma lance toujours dressée qui fut happée par Amina qui suça les dernières gouttes de sperme.

– Pierre, caresse-moi avec ta bouche ! Cela te donnera un peu de temps pour revigorer ta lance ! Ninah prend la crème pour masser ma rosette, je veux que Pierre me prenne par l’ouverture « alternative » !

Amina s’assit sur ma bouche, elle avait rasé fraîchement son pubis et je sentis que Ninah massait ses muscles pelviens et son anus. Ce massage combiné avec mes caresses linguales et les changements de position d’Amina, firent gémir celle-ci bien avant l’orgasme.

– Oh ouiii, continuez tous les deux, Oh Pierre, j’adore ! Je ne veux plus que tu partes sans moi ! Trop de femmes veulent baiser avec toi, Ma mère, Tsela, Eva et qui encore ! Déjà au bureau toutes ces femelles en chaleur qui veulent sentir la verge du blanc dans leur corps ! Non, tu es à nous ! Tu nous dois l’exclusivité !

– Voilà Pierre ! dit Ninah, la voie est ouverte !

Amina s’agenouilla la tête dans les coussins du divan pour m’offrir un accès aisé à mon gourdin qui avait retrouvé toute sa vigueur. Je la pénétrai en douceur, appréciant l’étroitesse de l’entrée. Dès que je fus à l’intérieur, Amina gémit de plaisir, d’autant plus que je pinçais ses tétons alternant avec des caresses sur ses aréoles. Ninah, elle introduisit ses doigts dans l’intimité de sa « grande sœur » jusqu’à son hymen pour caresser l’entrée de son vagin. Ninah avait appris cette technique de Brigitte qui l’avait mis en garde de ne pas pousser trop loin pour ne pas déflorer Amina.

Ayant passé son anneau anal, je pouvais la pilonner sans retenue, Amina ne fut pas longue à venir et cria son plaisir pendant que je tapissais son antre de tout le sperme disponible !

Il me sembla qu’Amina perdit conscience durant son orgasme et je la soulevais pour la porter dans ma chambre. Ninah m’accompagna et reprit le massage de ma verge aussitôt que nous fûmes couchés dans le lit. Elle coinça ma verge entre ses seins et débuta une cravate de notaire sans tarder. Je demandai un peu de repos ! Je voulus espacer le rythme de l’étreinte et demandai grâce d’un peu de temps.

Amina retrouva ses esprits et me gratifia d’un baiser et d’un duel de langues. Pendant que Ninah reprit le massage de ma verge entre ses seins, mais malgré ses efforts elle ne parvint pas à me donner un nouvel orgasme.

– Pierre, pas de problème reste avec Amina, je reviens dans quelques minutes.

Je voyais qu’Amina riait de plaisir et me caressa pendant qu’elle me mit un sein en bouche, m’invitant à titiller son téton. Puis Ninah revint avec un grand verre de jus orangé.

– Voilà Pierre, boit ce jus, il te fera le plus grand bien !

Elle ne me donna aucune explication et je me doutais bien que même si le goût du jus d’orange dominait, que ce breuvage avait un but précis ! Les deux femmes me couvrirent de baisers à tous les endroits de mon corps tout en caressant ma verge et mes bourses. Je sentis progressivement que mon désir devint de plus en plus fort et mon érection plus puissante.

– Regarde Amina, dit ma boyesse, le cobra du patron montre déjà sa tête et un peu de venin !

Je sus qu’elle fit allusion à mon sexe et sans doute aux gouttes de liquide pré-séminal. Les deux femmes me sucèrent de concert jusqu’à ce que je les prévienne que j’étais proche d’éjaculer. Elles rirent ensemble et ce fut Ninah qui me donna le coup de grâce. Jamais encore je n’eus un orgasme aussi puissant ! Je me vidais littéralement de tout mon sperme pendant que mon cerveau abandonna la gestion. J’eus encore juste le temps de voir qu’une autre bouche avait pris la relève pour recueillir cette salve de sperme qui continua sous mon cri animal de jouissance.

Au bout de quelque temps je perçus de voix et des rires dans le lointain puis ma vision s’éclaircit.

– Oh, mes amours, quelle jouissance ! Vous m’avez vidé ! Vous êtes deux sorcières du sexe. Jamais je n’ai joui aussi intensément !

– Ça va Pierre ? tu nous as fait peur ! Quels cris ! Ça fait quelques minutes qu’on t’appelle mais tu ne réagissais pas !

– Oui, Ninah, je vous entends à nouveau ! Je suis conscient que vous m’avez administré un breuvage de dynamite !

– Oui, dit Ninah, je t’avais prévenu qu’on allait te baiser toute la nuit ! Je t’ai apporté un peu de nourriture, tu as besoin de forces ! Non ce n’est pas de la dynamite, quoique tu aies vraiment explosé. Mais Pierre, rien n’a été détruit et ton sexe est toujours pointé vers le ciel !

Ninah prit mon sexe délicatement en bouche et je sus que j’étais encore loin de m’endormir ! Pendant que Ninah promenait sa bouche goulûment sur mon corps, Amina revint s’asseoir sur ma bouche me tournant le dos pour voir l’activité de son amie. Je n’eus pas besoin d’explication et glissai ma langue entre les lèvres de son intimité rasée. Amina fit jouer son corps sur ma langue pour exposer tous les endroits de son intimité qui étaient à ma portée. Sa crème de cyprine devint encore plus abondante et j’avalai avec délectation son jus en aspirant son clitoris au passage. J’entendis son râle qui fut encore amplifié par les caresses mutuelles des femmes. Je compris sans le voir qu’elles livraient une bataille de caresses et suçons sur les seins.

Ma verge était tenue par de nombreuses mains pendant que je me délectai du goût sauvage d’Amina. Puis le ventre d’Amina vibra par à-coups, je sus que son orgasme n’était plus très loin et redoubla la vitesse de ma langue contre son bijou.

– Ouiii, oh ! Pierre ! je vais mourir ! Ninah tiens moi, je n’en peux plus !

Je reçus une nouvelle giclée de cyprine dans ma bouche accompagnée d’un cri inhumain. Les vibrations continuèrent de longs moments avant qu’Amina se désengagea de ma bouche. Pour venir quémander le goût de son jus dans ma bouche en se couchant à mes côtés. Ce fut ce que Ninah attendait en reprenant l’initiative en s’empalant sur ma lance.

– Vas-y Pierre, laisse-toi aller vers ta jouissance, car je suis au bord d’exploser à mon tour ! Oui, pousse encore quelques fois ! Oui, Pièèèèèrre, c’est bon ! encore ! Oh mon Dieu merci…

Je n’entendis pas la fin de sa prière, car mon orgasme fut trop fort, je m’agrippai à ses flancs remontant à ses seins qui étaient secoués par les spasmes de son corps. Elle mit ses mains sur les miennes pour bloquer mes caresses. Mon corps sous la puissance de mon orgasme donna les derniers coups de boutoir sans que je ne commande mes gestes. Puis je sentis le poids de son corps contre le mien et il y eut un grand silence. Je ne perçus plus que le corps d’une chatte voluptueuse se pelotant dans mes bras avec une respiration encore haletante.

Amina épuisée s’endormit profondément alors que Ninah avait encore du désir. Sa main glissa de mon torse vers « l’objet du délit » et je sentis une exploration minutieuse de ma lance.

– Pardon Pierre, je crois que la potion était plus puissante que d’habitude, car ta verge est encore tendue et chaude au toucher. Je vais la masser doucement pour calmer le monstre !

NDA : La suite au prochain numéro ! La nuit n’est pas finie, mais les ébats sont terminés car les protagonistes méritent du repos ! On fera un inventaire au réveil ! Quelle soirée !

N’oubliez pas de cliquer sur « j’aime ». Merci !

N’hésitez pas à commenter si vous aimez !

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0