Nature, Vivant et Non-vivant, tout un petit bazar
Dans un coin de l'univers,
Là où la vie prospère
Se trouve, petite et éphémère
La planète Terre.
Si fragile et minuscule,
Pourtant c'est là où tout se passe
Ou presque.
Car qui s'intéresserait au non-vivant ?
L'espace n'est qu'un trou
Rempli de cailloux
Et de métal ardent.
Il a fallu des siècles
Pour le trouver
Étonnant.
Le vivant, lui, est bien plus attrayant,
Du moins pour l'instant.
Comme le vent, il gémit
Comme le feu, il rugit
Comme l'eau, il est changeant
Comme la terre, il attend.
Et de l'arbre aux bras morts
Au soleil de l'aurore
Du bleu du ciel
Au vert de la terre
Règne la mère
De tout
Ou presque.
Elle se pare de mille couleurs,
Comme un paon des dieux.
Elle rayonne de sa splendeur,
On n'a trouvé plus merveilleux.
Et quand le vent gémit
Quand le feu rugit
Quand l'eau se modifie
Quand la terre sourit
La Nature, elle, vit.
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