Promesse dans le sang

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- Pardonnez-moi !

Isyl s'excusa face au Lieutenant Iliyra, qui eut un petit sourire presque charmeur à l'encontre de l'ondine rougissant de gêne au fait d'avoir fait tomber le couteau au sol. Le militaire sursauta quand la morsure du métal lui entailla la paume de la main. La jeune femme s'épouvanta à la vue du sang et sortit un mouchoir pour essuyait la plaie pour l'observer de plus près, avant qu'un peu de magie fasse son œuvre. Le militaire observa les traits doux et enchanteurs de l'ondine s'occupant de sa plaie, puis un mouvement dans le coin de son œil, lui fit relever la tête.

Des yeux d'un gris-rosé étaient un océan glacé prêt à le tuer, et le lieutenant eut un sourire mauvais envers cet personne.

- Merci Isyl, cela va aller. Continuez à servir mes hommes.

- Très bien, Alanis. Sourit l'ondine en rangeant le mouchoir tâchait de sang.

Le militaire se leva avec son assiette et se dirigea vers l'arbre pour se caler contre le tronc en sentant toujours le regard noir du prisonnier sur lui. Isyl observa un petit moment la scène, avant de retourner à donner les assiettes pleines de l'omelette d'Elfa. Avec un grand sourire, elle donna celle avec la plus grosse part, au prêtre qui lui prit des mains, sèchement.

- Restaurez-vous bien ...

- Attendez ... ondine.

La voix sinistre de l'homme donna des frissons d'horreur à la jeune femme qui se retourna avec un visage faux-semblants.

- Oui, monseigneur ? Que puis-je encore pour vous ?

- Vous ne mangez pas avec votre ... compagne ?

L'homme avait craché le dernier mot comme si c'était le pire venin, et il était droit comme un arbre à surplomber l'ondine de toute sa hauteur et de son mépris.

- Nous avons fait avec ce plat avec nos mets les plus précieux, de magnifiques œufs de serpents – le prêtre lorgna son assiette rapidement avec un léger dégoût – et de champignons cueillis par ma compagne qui est experte en survie. Vous ne craignez rien, monseigneur. Nous mangerons de la viande séchés sans soucis. Je puis disposé ?

- Vous pouvez.

Isyl se retourna rapidement vers la maisonnette où Elfa l'attendit assise, avec sa viande séchés et doudou qui ronronnait à côté d'elle. Elle s'asseyait à ses côtés en soupirant d'être aux côtés de son amie, en sécurité.

- Que voulait-il, le vieux croûton ?

- ... juste savoir ce que nous allions manger.

Elfa ricana en mordant dans sa viande séchée.

- Pauvre vieux fou ... tu as tout de prêt ?

Isyl roula des yeux, mi-agacée et mi-tendue.

- Oui, tout est prêt.

- Parfait. Plus qu'à attendre ...

Isyl s'attendait à vivre une longue heure à voir des hommes dangereux se nourrir, pour ensuite les voir se tordre de douleur parterre, mais ce ne fut rien. Rapidement, les soldats fuirent dans les buissons dans la forêt pour se soulager, le prêtre tomba à terre en hurlant de douleur. Son assiette était vide. Isyl et Elfa se dirigèrent derrière la maisonnette pour prendre les affaires de l'ondine, un simple baluchon avec quelques vivres et affaires offertes et confectionné par la naine.

- Vous ... !

La voix tonitruante fit sursauter les deux femmes, et se tourner à moitié vers un homme furieux. Elles ne virent qu'un éclat brillant, puis Isyl ne vit que du rouge devant ses yeux, elle sentit des gouttes lui gicler sur le visage avant de fuir en faisant le tour de la maison. Son corps était en état de choc, et tremblait de la tête à ses pieds, qui n'arrêta pas de courir jusqu'à l'arbre ou le prisonnier l'observa lui tombait à genoux devant lui.

- Je ...

- Pleure.

Ce n'était pas un ordre, mais une simple demande que le corps de l'ondine accepta. Les larmes coula sur les joues de l'ondine, une main prit son menton délicatement et un pouce glissa sur les écailles. Les yeux océans s'écarquillèrent à la sensation froide venant de sa joue et de ses larmes. C'était de la magie, la sensation était grisante pour l'ondine qui continua à pleurer malgré que son corps s'était calmé.

- Je vous tiens, sorcière ! S'écria la voix essoufflé du Lieutenant, qui arriva en tanguant sur ses pieds.

Isyl et le prisonnier se sourirent d'un air entendu, avant que l'ondine se relevait pour se tenir droite devant le militaire.

- Attention ... ! S'écria le prisonnier, en voyant l'arme sanguinolente se diriger vers l'ondine qui ne bougea pas d'un pouce.

L'épée se stoppa à quelques centimètres de l'abdomen de l'ondine, qui avait une aura sombre, qui terrifia le soldat.

- Je devrais vous tuer pour avoir tuer mon amie ... mais je ne suis pas vous. Monstre. Déclara Isyl, avant de sursauter en sentant une main puissante empoignant son bras gauche.

Le prisonnier s'était libéré et s'approcha du militaire avec un grand sourire narquois. Le craquement fut sinistre aux oreilles de la jeune femme et le lieutenant lâcha un grognement de douleur quand ses doigts furent cassés pour relâcher son épée qui fut prise par le demi-ase.

- Combien de temps, il peut rester ainsi ?

- Le temps que je le regarde ensuite il sera libre de ses mouvements de nouveau.

- Très bien. Garde le contrôle, je reviens.

Isyl hocha la tête, et entendit des bruits de hennissements et de sabots fuyant loin les lieux, avant qu'un bras l'attrape par la taille et la fasse monter en amazone devant lui.

Le cheval partit au petit galop en s'enfonçant dans les marais, vers les montagnes, et quand elle perdu de vue le militaire, Isyl cacha son visage contre le torse nu de l'homme pour pleurer. - Pardonnez-moi !

Isyl s’excusa face au Lieutenant Iliyra, qui eut un petit sourire presque charmeur à l’encontre de l’ondine rougissant de gêne au fait d’avoir fait tomber le couteau au sol. Le militaire sursauta quand la morsure du métal lui entailla la paume de la main. La jeune femme s’épouvanta à la vue du sang et sortit un mouchoir pour essuyait la plaie pour l’observer de plus près, avant qu’un peu de magie fasse son œuvre. Le militaire observa les traits doux et enchanteurs de l’ondine s’occupant de sa plaie, puis un mouvement dans le coin de son œil, lui fit relever la tête.

Des yeux d’un gris-rosé étaient un océan glacé prêt à le tuer, et le lieutenant eut un sourire mauvais envers cet personne.

- Merci Isyl, cela va aller. Continuez à servir mes hommes.

- Très bien, Alanis. Sourit l’ondine en rangeant le mouchoir tâchait de sang.

Le militaire se leva avec son assiette et se dirigea vers l’arbre pour se caler contre le tronc en sentant toujours le regard noir du prisonnier sur lui. Isyl observa un petit moment la scène, avant de retourner à donner les assiettes pleines de l’omelette d’Elfa. Avec un grand sourire, elle donna celle avec la plus grosse part, au prêtre qui lui prit des mains, sèchement.

- Restaurez-vous bien …

- Attendez … ondine.

La voix sinistre de l’homme donna des frissons d’horreur à la jeune femme qui se retourna avec un visage faux-semblants.

- Oui, monseigneur ? Que puis-je encore pour vous ?

- Vous ne mangez pas avec votre … compagne ?

L’homme avait craché le dernier mot comme si c’était le pire venin, et il était droit comme un arbre à surplomber l’ondine de toute sa hauteur et de son mépris.

- Nous avons fait avec ce plat avec nos mets les plus précieux, de magnifiques œufs de serpents – le prêtre lorgna son assiette rapidement avec un léger dégoût – et de champignons cueillis par ma compagne qui est experte en survie. Vous ne craignez rien, monseigneur. Nous mangerons de la viande séchés sans soucis. Je puis disposé ?

- Vous pouvez.

Isyl se retourna rapidement vers la maisonnette où Elfa l’attendit assise, avec sa viande séchés et doudou qui ronronnait à côté d’elle. Elle s’asseyait à ses côtés en soupirant d’être aux côtés de son amie, en sécurité.

- Que voulait-il, le vieux croûton ?

- … juste savoir ce que nous allions manger.

Elfa ricana en mordant dans sa viande séchée.

- Pauvre vieux fou … tu as tout de prêt ?

Isyl roula des yeux, mi-agacée et mi-tendue.

- Oui, tout est prêt.

- Parfait. Plus qu’à attendre …

Isyl s’attendait à vivre de longue heure à voir des hommes dangereux se nourrir, pour ensuite les voir se tordre de douleur parterre, mais ce ne fut rien. Rapidement, les soldats fuirent dans les buissons dans la forêt pour se soulager, le prêtre tomba à terre en hurlant de douleur. Son assiette était vide. Isyl et Elfa se dirigèrent derrière la maisonnette pour prendre les affaires de l’ondine, un simple baluchon avec quelques vivres et affaires offertes et confectionné par la naine.

- Vous … !

La voix tonitruante fit sursauter les deux femmes, et se tourner à moitié vers un homme furieux. Elles ne virent qu’un éclat brillant, puis Isyl ne vit que du rouge devant ses yeux, elle sentit des gouttes lui gicler sur le visage avant de fuir en faisant le tour de la maison. Son corps était en état de choc, et tremblait de la tête à ses pieds, qui n’arrêta pas de courir jusqu’à l’arbre ou le prisonnier l’observa lui tombait à genoux devant lui.

- Je …

- Pleure.

Ce n’était pas un ordre, mais une simple demande que le corps de l’ondine accepta. Les larmes coula sur les joues de l’ondine, une main prit son menton délicatement et un pouce glissa sur les écailles. Les yeux océans s’écarquillèrent à la sensation froide venant de sa joue et de ses larmes. C’était de la magie, la sensation était grisante pour l’ondine qui continua à pleurer malgré que son corps s’était calmé.

- Je vous tiens, sorcière ! S’écria la voix essoufflé du Lieutenant, qui arriva en tanguant sur ses pieds.

Isyl et le prisonnier se sourirent d’un air entendu, avant que l’ondine se relevait pour se tenir droite devant le militaire.

- Attention … ! S’écria le prisonnier, en voyant l’arme sanguinolente se diriger vers l’ondine qui ne bougea pas d’un pouce.

L’épée se stoppa à quelques centimètres de l’abdomen de l’ondine, qui avait une aura sombre, qui terrifia le soldat.

- Je devrais vous tuer pour avoir tuer mon amie … mais je ne suis pas vous. Monstre. Déclara Isyl, avant de sursauter en sentant une main puissante empoignant son bras gauche.

Le prisonnier s’était libéré et s’approcha du militaire avec un grand sourire narquois. Le craquement fut sinistre aux oreilles de la jeune femme et le lieutenant lâcha un grognement de douleur quand ses doigts furent cassés pour relâché son épée qui fut prise par le demi-ase.

- Combien de temps, il peut rester ainsi ?

- Le temps que je le regarde ensuite il sera libre de ses mouvements de nouveau.

- Très bien. Garde le contrôle, je reviens.

Isyl hocha la tête, et entendit des bruits de hennissements et de sabots fuyant loin les lieux, avant qu’un bras l’attrape par la taille et la fasse monter en amazone devant lui.

Le cheval partit au petit galop en s’enfonçant dans les marais, vers les montagnes, et quand elle perdu de vue le militaire, Isyl cacha son visage contre le torse nu de l’homme pour pleurer.

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