Les deux "p'tits" loups et la prof

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Qu'est-ce que je fous là? Mais qu'est-ce qu'il m'a pris? Ces deux p'tits loups… Mais pourquoi j'ai cédé à leurs assauts??? Moi, Sophie, quarante-trois ans… C'est de la folie! Mais… mais pourquoi ? Me voilà, nue… entièrement nue et le froid caresse ma peau. LEURS yeux me caressent et je ne peux pas échapper à leur regard. Ce sont des p'tits loups, ils ont la dalle. Je suis une MILF, comme les jeunes disent. Je les excite, ils ont faim. Je suis immobile, ils tournent autour de moi. Je suis leur proie. Nous venons de baiser, et j'ai leur sperme dans mes cheveux et sur mon visage.

Je suis l'une de leurs profs à la fac et je les avais remarqués, ces deux lascars, Clément et Steven. Ils n'arrêtaient pas de me mater pendant mes cours. Je les soupçonnais d'être bien plus intéressés par mes tenues, mon maquillage et mon corps que par le contenu de mon enseignement. Et de fil en aiguille, mes soupçons se sont avérés justes au fur et à mesure que le semestre avançait. Moi! Sophie, la prof de fac, à quarante ans passés, je plaisais à deux jeunes étudiants. Je dois avouer que j'aimais ça et que je me suis laissée lentement jouer à ce jeu.

Je sais bien ce que l'on va me dire… Je ne suis pas dupe, je ne suis pas idiote, je suis tout sauf ça. Je savais les risques que je prenais. Mes études, ma carrière que j'ai construit jusqu'à présent, pierre par pierre, étape par étape. Je me brûlais les ailes. Je pouvais balayer d'un revers de main ce que j'ai bâti jusqu'à maintenant. Et pourtant… Moi, l'épouse fidèle, la maman aux petits soins pour sa fille, la femme à priori sévère, intransigeante… et coincée, certains diront. Je cachais bien plus de choses que je ne laissais en paraître. Et là, quand je voyais ces deux jeunes loups regarder ailleurs que le tableau, le vidéoprojecteur, mes diaporamas ou leur ordinateur, la vérité est venue me frapper en pleine face. Moi! Sophie! La quarantaine passée, la MILF… Il se trouvait que je pouvais plaire à des jeunes. Il se trouvait que j'étais «fraîche» comme les jeunes de maintenant disent. Mais ce n'était que là que je m'en étais rendue compte. Pendant toutes ces années, je m'étais considérée comme banale, potable, ordinaire. Une femme à qui l'on plaît un soir et que l'on épouse… et à qui l'on fait des enfants. En cette nouvelle année universitaire, la donne a changé du tout au tout. Je me suis laissée prendre au jeu. Mon mari ne me regardant plus de la même manière… plus prude… pipe, missionnaire, mes seins, éventuellement une levrette…

Clément: veste de costume noire, coupe en brosse à la gomina comme les GI's de l'armée américaine, jean slim bleu foncé, lunettes carrées, à priori premier de la classe…

Steven: crâne rasé et casquette en permanence, boucle d'oreille côté droit, bouc, veste en jean, l'air je-m'en-foutiste…

Tous les deux étaient pile au milieu de la classe, à mi-chemin entre les premiers rangs et le fond de la salle. SI je me souviens, je les avais pris sur le fait et je les avais interpellés une ou deux fois. Mal m'en a pris… À la fin du cours d'aujourd'hui, je leur ai demandé de m'accorder quelques minutes. Je croyais avoir le dessus. J'avais tort, vainement. Ils avaient plus d'un coup d'avance sur moi. Même si je suis relativement grande, je devais reconnaître qu'ils étaient plus grands que moi… et qu'ils étaient costauds, ces deux gaillards. Et là, je les avais pile en face de moi et pour être tout à fait honnête, je ne faisais pas la fière.

– Alors comme ça, Madame la gentille prof flique ses étudiants?

C'était Steven, le mec à la boucle d'oreille qui s'est adressé à moi. Sa voix était virile, éraillée par le tabac. Son corps dégageait une odeur purement masculine. Les mots et l'odeur m'ont coupée net le souffle. Mon coeur avait des ratés dans ma poitrine. Fort heureusement, hormis nous trois, il n'y avait personne dans la salle. J'avais beau me concentrer de toutes mes forces afin de rester digne, je dois avouer que ces deux gars m'impressionnaient. En fait… C'était vain. Je perdais de plus en plus les pédales. Ils me regardaient et je me sentais cernée. Il n'y avait aucune issue. Clément ouvrit son sac, prit un cahier, en arracha grossièrement une page. Steven en fit presque de même, s'empara d'un stylo rouge et griffonna une adresse.

– Tiens. C'est l'adresse de notre appart'. On est colocataires, lui et moi. Rendez-nous neuf heures, ce soir. Sans faute. Fais-toi aussi bonasse. Fais-nous bander. Il faut qu'on te montre qu'il faut pas jouer à ça avec nous…

Sur ces mots, les deux lascars ont rangé leurs affaires et refermé leurs sacs. Ils m'ont laissée seule dans la salle, sur le cul, le souffle coupé, avec ces mots et ce rendez-vous dans ma tête. Je réalisais que j'étais très mouillée.

Même si j'appréhende un peu et même si ces deux mecs m'ont intimidée tout à l'heure dans la salle de cours, je dois reconnaître que leur audace m'a excitée. Et là, alors que j'ai pénétré dans l'immeuble où ils vivent, j'essaie de maintenir ma fierté au plus haut bien que j'ai conscience que les minutes qui vont venir vont être chaudes et qu'un séisme de magnitude 9 sur l'échelle de Richter plane au-dessus de ma tête. Mais ça n'a pas d'importance. J'espère que je ne me dégonflerai pas au moment où je serai entre leurs mains et que je ne pourrai pas faire demi-tour. Je garde la tête haute, le corps droit et j'essaie de me détendre. Mes talons hauts, ma robe à fleurs au décolleté qui met en valeur mon 90A me donnent confiance. De plus, je dois avouer que les collants semi-opaques noirs que je porte et que j'ai achetés l'autre jour dans ce magasin de lingerie mettent mes jambes en évidence. J'espère que les deux p'tits loups aimeront…

Quatrième étage, première porte sur la droite. Très bien. Je monte les marches et je veille à ne pas trébucher avec mes talons hauts. Je me rends compte que mon pas est rapide. Et si, moi aussi, j'avais envie de prendre du bon temps avec deux types, qui plus est, bien plus jeunes que moi…? OH! Il semblerait bien… Et alors que je suis à leur porte et que je toque, l'idée me plaît… et m'excite, j'avoue. À l'autre bout, j'entends deux voix, des bruits de pas. Les bruits se rapprochent. Ils se font entendre. Ce sont des pas assurés. Je fais moins la fière. Mon coeur bat très fort. La porte s'ouvre soudain. Je manque de faire une attaque. L'homme a un rictus narquois, suffisant aux lèvres.

– Ah c'est toi. Tu t'es donc pas dégonflée. Intéressant.

C'est Steven, le gars à la boucle d'oreille. Il a un regard dur, menaçant. Un regard de tueur. Et pourtant… Ses pupilles sont dilatées. C'est électrique.

– Clém'! La prof bonasse est arrivée. Ramène-toi.

Je frissonne, je suis choquée. J'ai rêvé ou bien c'est de moi dont il vient de parler comme ça? Pas de doute possible, je suis seule sur le seuil de la porte. Je suis leur prof mais ils me trouvent «bonne».

– Allez, amène-toi! On va pas y passer le réveillon.

Il n'y va pas par quatre chemins: il me prend fermement par le bras et m'attire à l'intérieur de l'appartement. Un appart' de mecs, ni plus, ni moins. Tout en désordre, rien de rangé. Une fée du logis serait la bienvenue. Mais voilà… Ce n'est pas du tout pour ça que je suis là. Je suis là pour m'offrir à ces deux «p'tits mecs» qui ont faim. Et quand j'observe Steven, le gros dur, je sais que j'ai raison.

– Hé Clém'! Qu'est-ce que tu fous? Viens voir la MILF un peu...

Ces mots… Ça me donne l'impression d'être une bête de foire exposée ouvertement, impudiquement.

– Écoute. On s'est bat les couilles des cours, là. Nous, ce qu'on veut, c'est te baiser un bon coup. Point barre.

Bon… O… kay… Les choses sont claires. Moi, Sophie, plan cul.

– Qu'est-ce que tu attends? Magne-toi. On n'a pas que ça à faire.

Qu'est-ce qu'il peut être direct, lui, dès qu'il s'y met! Oh la la… S'il croit que c'est suffisant de me parler comme ça pour me mener à la baguette...

– T'as entendu ce qu'il t'a dit, Steve'? Amène ton cul de salope!

La voix qui s'adresse à moi à présent est celle de l'autre garçon, Clément. Elle est nasillarde, traînante. Quand il parle, on dirait un ado en plein dans sa mue et qu'il rigole de choses idiote avec ses copains. Ça lui donne l'air bêta. Du moins… c'est ce que moi, je pense. Et pourtant… vu comment ils me parlent, les deux, je ne devrais pas faire la fière. Et si leurs gestes étaient comme leurs mots…?

– Clém'!Té-ma la MILF! Elle porte une robe et des collants! Une sa-lope! Elle ne réclame que nos queues, c'est sûr! Elle a le cul chaud comme une baraque à frites!

Même si leur attitude et leurs paroles sont crues, grossières, je dois avouer que… ça m'excite. Oh… oui.

– T'es pas mal du tout, tout compte fait, toi! On va bien s'amuser!

Et là, Steven s'approche plus près de moi et il me saisit d'un coup et brutalement par les cheveux. J'en ai les larmes aux yeux. Je ne suis pas du tout habituée à ces «attouchements». Lui, c'est un jeune loup qui sait ce qu'il veut.

– Qu'est-ce que tu fous, poto? Viens! Tu te branles? Elle est là!

– Je termine ma clope et je me ramène, Steve'. Je bande!

Comme d'un fait exprès, Steven abaisse les bretelles de ma robe. Je me retrouve seins nus.

– Hé mec! Tu rates quelque chose, là! Té-ma ses petits nibards!

C'est comme si l'on m'avait placée sur un podium et que tous les regards étaient braqués sur moi. Je ne peux pas m'échapper. J'entends des pas qui se rapprochent. Ces pas sont moins bruyants, moins… déterminés que ceux du jeune homme qui est à côté de moi. Je retiens mon souffle. Un frisson s'empare de moi. En conséquence, mes tétons pointent de plus belle. Trahison mammaire.

– C'est pas des cracs que t'as dits, gros! Ils sont beaux! Bandante, va!

J'écoute avec attention ces mots. Comme ils sont… salaces… Je ne suis pas la maman. Je ne suis pas l'épouse. Je suis une femme voluptueuse. On me désire. Je comprends tout ça. On me regarde. On m'observe. Ce sont de jeunes loups. Je n'ai pas oublié ça. Je n'ai pas oublié ce pourquoi je suis là. J'ai peur de les décevoir. Je me suis faite jolie. Là. Pour ce moment. Du baume à lèvres à la vanille… De la dentelle… Du rimmel… Quoi qu'il arrive...

– Steve'! T'as pas blagué, frérot! J'ai la queue dure! Pipe, là, tu crois pas?

Je me sens cernée. Je me sens… effrontée. Je veux oser. Leurs lèvres se posent sur mes tétons. Je suis assaillie de toutes parts. L'assaut… a… lieu. Leurs lèvres sur mes petits seins… Nos trois âmes, rapprochées, complices d'un jour… Ça efface mes peurs. J'ai confiance. Je… me… livre. Je regarde l'un. Je regarde l'autre. C'est irréel. Des lèvres sur un téton. Des lèvres sur l'autre. Voilà. Mes fantasmes les plus inavouables deviennent réalité. C'est… Mmmh… Un mamelon pour l'un, un mamelon pour l'autre. Leurs lèvres sont mouillées. Elles sont avides, affamées. Et même si leurs caresses sont plutôt brutales, j'avoue que les sensations sont agréables. Les deux gars tètent mes seins avec ardeur. Un coup, leurs lèvres encerclent mes tétons: ils les sucent, ils les mordillent. Un coup, ce sont leurs langues que je sens sur ma poitrine : ils titillent et ils agacent mes pointes. Mes petites aréoles sont recouvertes de salive. Je fonds malgré l'impatience et la dureté de leurs caresses. Elles me font mal mais dans le même temps… vu que ce sont des attouchements auxquels je ne suis pas habituée… j'ai bien envie d'en faire l'expérience. Les deux «p'tits loups» me bouffent. Je vois ma robe qui est pêle-même, en boule, sur le sol.

– Ils sont bons, ses seins, à la prof, hein, mon pote? Hmmmm...

Si j'allaitais encore, ils n'auraient aucun mal à me téter jusqu'à avoir mon lait en bouche. Ils me dévorent littéralement les seins. J'ai mal mais j'aime ça.

Tout d'un coup, Clém', le plus «taiseux» des deux, s'écarte un peu de moi et s'agenouille. Il prend mes fesses à pleines mains et les caresse. Il écarte un peu ma culotte pour avoir accès à mon sexe. Il embrasse mon cul, il le mord. Je gémis pour toute réponse. Je subis avec délectation ce double assaut. Brutal… mais exquis. Le temps semble s'arrêter. Je suis cernée par les deux jeunes hommes et je pense seulement à eux, là. L'un ne lâche pas mes seins d'une semelle, l'autre a sa tête enfouie dans mon derrière et me lèche le sexe avidement, inexorablement. Je coule littéralement. En y repensant… Je ne me souviens pas d'avoir été autant mouillée de ma vie. Steven arrête de me torturer les seins. Il ouvre le bouton de son pantalon ainsi que sa braguette. Son sexe gonflé de désir jaillit tel un diablotin qui sort d'une petite boîte.

– Fais ce que tu as à faire. Tu vas me pomper jusqu'à ce que je gicle.

Il n'y a pas à chercher midi à quatorze heures. C'est clair, ce qu'il vient de dire. Je me mets à genoux. Je m'empare de son membre avec la main droite et je le branle doucement d'abord. Ses doigts fermes enfoncés dans mes cheveux me font rapidement accélérer le rythme. Je me dis que je le masturbe comme il aime ça. Ça me donne confiance et je me suis alors aussi à le sucer. Son sexe a un goût fort, un parfum viril, comme son corps. Je m'abandonne. Je me mets au service de ces deux jeunes… et de leur plaisir. Je branle et je suce l'un, l'autre me bouffe la chatte par-derrière. Je suis prise des deux côtés… et j'aime ça. OH!

– Elle aime ça, se faire bouffer le cul, en plus! J'en peux plus… J'ai trop envie…

Il ne me lâche pas pour autant. Non… À son tour, il se déshabille. J'entends la fermeture éclair qui descend, le bouton du jean qu'on ouvre. Je l'entends éclater de rire bêtement.

– Oh putain, mec! Elle me fait graver bander, la salope!

– Bah vas-y, mon pote! Te prives pas! Qu'est-ce que tu attends?! Moi, elle me suce et elle s'y connaît en matière de pipes, je peux te le dire!

Je prends le sexe de l'un dans la bouche… et j'aime ça. L'autre est collé à mes fesses, la queue au garde-à-vous. C'est une question de temps avant qu'il ne me pénètre. Je le sais. Pour le moment, je sens ses doigts me caresser à l'extérieur, me pénétrer et me fouiller à l'intérieur. Être prise comme ça… ça… m'excite.

Tout d'un coup, je suis poussée vers l'avant. Je crie. Ça y est. Clément est en moi.

J'ose à peine imaginer de quoi j'ai l'air, en ce moment… Je suis nue mais je porte encore mes collants semi-opaques. Je suis à quatre pattes sur ce canapé clic-clac bon marché. J'ai un sexe dans la bouche ET un autre dans la chatte. Clément me pilonne. Sa queue est longue même si elle n'est pas bien épaisse. Cependant, ses coups de reins me font vibrer et je me sens malmenée. J'ai en revanche des difficultés à pomper Steven comme je le voudrais, la faute à sa pine qui est longue ET grosse. Et comme si ça ne suffit pas, sa main est dans mes cheveux et il me les tire. J'ai du mal à respirer. Pourtant… je m'applique. Je veux son plaisir.

Les mains de Clément sont fermement posées sur mon bassin et ses va-et-vient sont rapides, profonds ET dévastateurs.

– C'est qu'elle aime ça, la quéquette, cette te-pu! Haaan… Oui!

Les deux mecs soupirent, gémissent. Ils prennent leur pied. C'est tellement intense. J'ai chaud. Je suis en sueur. J'ai l'impression que le peu de maquillage que je me suis mis sur le visage coule. Je prends mon pied.

– Désolé, mec… Elle est tellement bonne… Je vais pas pouvoir me retenir...

– Bah vas-y, gros! Jutes! Elle est là pour ça! Je suis sûr qu'elle aime ça en plus, le foutre. Haaan… Oh oui!

Les garçons geignent. Ils ne vont pas pouvoir tenir très longtemps encore.

Clément se retire d'un coup de mon vagin et ça me fait gémir.

Steven en fait autant. La pipe que je lui faisais était goulue, baveuse. Un filet de bave me coule sur le menton et atterrit sur ma poitrine.

Chacun me saisit par un bras et je me retrouve assise sur le canapé. Je n'ai pas le temps de réfléchir…. Deux sexes s'agitent juste devant mon visage.

Les deux «p'tits loups» ont les yeux fermés. Leurs mains vont et viennent rapidement. Leurs glands brillent. J'écoute ça avec attention. C'est obscène mais c'est tellement excitant. Je n'ai pas joui. Eux, oui… bientôt. Mon coeur pulse violemment.

– Ne bouge pas. Je viens, je viens! Oh… Pu… tain!

Clément pousse un cri de tous les diables. Son sperme gicle. Il m'arrose. Je n'ai même pas le temps de réagir. J'ai du foutre sur le visage et ça me coule aussitôt le long des joues. Je suis souillée mais curieusement… j'aime ça. Quelques gouttes atteignent ma bouche. J'avale. Là encore, ça a un goût fort. C'est âcre. Mais tellement masculin… J'aime.

Mon… dieu… Quelle image suis-je en train de renvoyer à mes deux étudiants? Là, c'est sûr. Ils ne vont plus me voir de la même manière. Je suis désormais une MILF, une salope à la recherche de coups de queues. Rien d'autre n'a d'importance.

C'est au tour de Steven de geindre et de crier. Il crie, il hurle… comme un acteur porno qui jouit. Pour la deuxième fois, le sperme jaillit et j'en prends plein la figure. Steven ne me rate pas, c'est le moins que l'on puisse dire. Les cheveux… Le front… Le nez… Les joues… La bouche… Le menton…

Nous reprenons tous les trois notre souffle. Le calme revient après la tempête. Le sexe a été intense mais bref. Néanmoins… j'ai aimé ça. Je viens de faire une découverte sur moi, et non des moindres… Et pourquoi pas remettre ça, une prochaine fois…?

Les deux gars me touchent. Ils me pincent les cuisses et ils se mettent à genoux. Ils me les mordent, ils me dévorent. J'ai si chaud...

Je me rhabille. Mes cheveux sont humides, souillés de sperme. Je suis bonne pour un shampooing intensif, moi… Mon maquillage a coulé. Je suis en sueur et ma robe épouse maintenant mes formes bien qu'elle soit froissée et dans un état…

Steven ouvre le décolleté. Leurs lèvres assaillent aussitôt mes tétons qui continuent de pointer dur. Ça me fait mal mais j'aime ça.

Je remets mon sac sur mon épaule et je m'apprête à m'en aller. Il est tard et je donne cours demain...

Steven me donne une fessée monumentale. Je n'ai pas été assez rapide pour l'esquiver. Je suis émoustillée. Je suis toujours aussi excitée. Je ne suis pas rassasiée.

– À la semaine prochaine, M'dame! Même jour, même heure. En robe et en bas. Pas de soutif', pas de culotte. Sans faute.

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