Un jour pas comme les autres

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Boris se réveille doucement dans son appartement, il habite à Bordeaux, il adore cette ville. Comme tous les matins, il se prépare à aller au travail, mais déjà en se levant, il trébuche sur son chien, et il n’est pas petit, le berger allemand par ailleurs de la pièce. Boris au sol s’est cogner la tête à sa commode. Ce n’est pas très grave, sa tête n’est pas ouverte, il se dirige dans la salle de bain pour se regarder dans le miroir et il remarque une grosse bosse, il se dit qu’avec un chapeau, ça va passer inaperçu.

Boris va se laver en optant pour la douche, en actionnant l’eau chaude et l’eau froide, le jet est glacé, la chaudière est en panne. « Un problème à régler en rentrant du travail » se dit-il. Il s’habille et il descend les escaliers de l’étage pour aller au rez-de-chaussée or il n’a vu la pantoufle mâchouiller par son chien et tombe encore une fois. Et il balance de colère, le chausson qui atterri sur la télévision où l’écran en vacillant d’avant ou arrière éclate en morceau. Boris achètera un nouveau téléviseur, il se dirige vers la cuisine pour préparer son petit déjeuner, un bol de céréale pour lui changer des biscottes, il ouvre le paquet et les verses dans son récipient et fait le chauffer le lait dans un casserole, qui couvre ses céréales. Une fois avaler, il boit son jus d’orange. Il jette un œil à l’horloge : huit heures. Il lui reste une heure pour se rendre à son travail en tant que serveur dans un restaurant.

Il se met en route, monte dans sa voiture voyant les bouchons et les accidents sur son chemin habituel, il décide changer de transport et rattrape le métro de justesse, faisant tomber son paquet de cigarette qui s’échoue sur les rails. Il regarde son smartphone : huit heures trente. Le métro rencontre un problème « Chers passagers, nous rencontrons un disfonctionnement électrique, une grande panne générale. Nous n’avons pas plus d’éléments à vous donner. Désolé pour les soucis occasionnés ». Boris est énervé et réalise qu’aujourd’hui, il n’aurait pas dû se lever. Trois quart heures plus tard, le métro se remet en route mais le chauffeur prévient qu’il y a des travaux qui n’étaient pas prévu sur cette voie qui ont commencé trois mois plutôt tous les passagers sans exception, Boris a un petit sourire car il rencontre son collègue de travail. Samuel est étonné de le voir avec un chapeau, qui lui n’en porte pas habituellement surtout pour aller travailler, Boris, lui explique ses mésaventures au réveil. Son collègue rigole car lui aussi, il a du des catastrophes en continuent : failli tomber dans une plaque d’égout qui n’était pas fermer, reçu une balle d’un enfant dans la tête d’où le bleu à son œil et il a poser sa main sur une rampe rempli de peinture qui n’était pas sèche. Samuel, son collègue à la main bleu. Ils se mettent de nouveau à rire en se détaillant tous les deux.

Ils continuent leur route ensemble et vu le retard décide de monter dans un taxi, mais ils ont fait tomber leur portefeuille lorsque le métro s’est arrêté brusquement. Boris et Samuel sont inquiets, il est dix heures et ils ne sont toujours pas arriver à leur travail. Le patron appelle Boris voyant l’heure tardive et il lui répond qu’il est avec Samuel et qu’ils sont presque arriver. Ils croient encore à la chance lorsqu’ils voient un bus s’arrêter à sa station avec ticket gratuit, ils courent pour ne pas louper. Boris réussit à l’avoir, Samuel moins agile rattrape la main de Boris et escalade les marches du car au moment où le bus allait fermer ses portes. Le conducteur, leur fait signe de s’accrocher aux barres de maintiens car exceptionnellement, il n’y a plus une place de libre. Les deux collègues ne disent rien, car cela va leur faire gagner un temps fou pour traverser la ville où le restaurant se trouve. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévu en ce jour de fête : c’est le carnaval. Une grande parade est prévue avec des milliers de spectateur, Boris et Samuel demandent s’il y a un autre moyen pour passer et si le carnaval s’étant d’un quartier à l’autre. Le conducteur répond qu’il peut dévier par l’autoroute pour rejoindre de l’autre côté mais il faudra compter une heure en plus sur le trajet. L’ensemble des personnes dans le car ne voit pas d’inconvénient, il exécute et se dirige vers l’autoroute. Par contre, un grand carambolage à eu lieu, l’autoroute est inaccessible. Tous les passagers commencent à monter le ton, l’heure tourne et chacun regarde l’heure s’affichant sur l’horloge rouge. Ils sont pressés de se rendre sur leurs lieux de travail.

Toutes les personnes se concertes pour savoir quels moyens de transport prendre et ils observent un bateau naviguant sur l’eau, complètement vide. Tous le monde se déplace vers le même itinéraire, les trentaines de personne voit le port, ils se dépêchent, ils détaillent le panneau d’horaire pour le prochain bateau. Il est prévu dans dix minutes, ils s’installent sur les bancs et attend, le patron voyant toujours ses serveurs pas arriver, les rappels. Samuel, cette fois-ci répond à l’appel et lui confirmes dans une demi-heure, ils seront là. Les minutes s’écroulent lentement, le bateau arrivent, une personne voyant que les deux collègues n’ont pas leur portefeuille, leur offre le trajet. Le bateau navigue doucement passe sous le pont où se déroule le carnaval, les deux collègues distinguent le port d’amarrage pour le bateau. Boris et Samuel voit le restaurant et entrent, le patron leur fait une remontrance pour l’heure tardive. Les deux amis peuvent enfin commencer la journée de travail et ils recroissent au cours du repas, des personnes de leur escapade, ils retrouvent même la personne qui leur à payer les tickets du bateau.

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