Chapitre 22

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Ça y est notre séjour chez David prend fin, Alban rentre ce soir et il nous dépose chez moi (enfin plus pour longtemps). Après avoir remis la maison en état, on décide d'aller se prendre une douche afin d'être lavée du parfum de nos ébats interdits et nous nous allongeons sur mon lit en papotant comme deux copines.

— Tu serais d’accord que j’étudie alors ? me demande Jennie.

— Oui bien sur.

— Tu vas vraiment quitter Alban ?

— Oui.

Bien que ça me fasse peur, je sais que je ne peux plus supporter la vie qu’il m’impose.

— Et tu vas me suivre.

Elle me sourit, et je commence à l'embrasser puis je défais son peignoir. Mes baisers sont torrides, je m’allonge sur elle, lui faisant comprendre qu’elle est importante pour moi. Doucement, mes caresses dégénrent et ma nature sadique reprendre ses droits. Je lui pince la peau la faisant pigner et mes doigts se glissent dans son cul qui est encore ouvert de nos étreintes du matin quand David l'a prise pendant qu'elle me léchait, enfonçant sa langue le plus loin possible pour manger mon intimité. Mon dieu que c’était bon. Je dois cependant me contrôler pour qu’Alban ne voit pas de marque sur elle.

— On va devoir supporter encore quelques temps cette vie mais après tu seras toute à moi Jennie.

Elle est là toute gémissante, et je sais que dans quelques heures elle retrouvera sa place sur son matelas. Je veux lui donner son dernier plaisir, et quand je sens son corps se resser autour de mes doigts, je lui pince fort son téton entre mes dents, l'amenant à de durs gémissements. Je lâche ma prise, lui léchant doucement son téton croqué, et retirant doucement mes doigts pour lui faire lécher.

— Ouvre bien grand, je veux tout de toi.

Je trifouille le fond de sa gorge et elle a un haut de cœur. Ses yeux se remplissent de larmes et mes doigts de salive. Je finis par les glisser en moi et devant elle je m’offre un orgasme. Puis j'entends la porte d'entrée, Alban est rentré et Arielle se remet à sa place. Faut pas que je fasse de gaffe en l’appelant par son vrai prénom. Je file accueillir mon mari, qui me voit en peignoir, les cheveux mouillés et sans aucun maquillage, au naturel.

— Bah putain ça va t'as pas fais grand effort pour ton mari, me lance t-il.

— Commence pas à grogner, tu m'as manqué chéri.

(ou pas)

Mon mensonge le calme et il me prend dans ses bras pour m'embrasser.

— Va te préparer, ce soir les gars viennent faire un poker.

(quoi !!!)

— Mais tu viens de rentrer ?

— Et alors, j'ai pas à me justifier, va te préparer ! Et fais moi plaisir, je te veux en tenue de salope !

Me voilà redevenue l'objet de mon cher mari, qui me fera tourner parmi ses potes comme fin de partie. J'envoie un SMS à David

[soirée poker ce soir, stp viens, tu seras mon seul soutien]

Mon portable vibre alors que je me maquille

[désolée ma belle, je préfère pas assister à ça]

Mon coeur se serre, et je regarde Arielle tristement

— Ça va aller Aline, t'es forte.

Alban débarque dans la chambre et se fige devant moi.

— Putain bébé t'es trop bonne, une vrai petite pute, tu vas les faire kiffer.

Je porte une robe moulante rouge très courte avec un décolleté qui laisse entrevoir mon soutien gorge noir et une paire de bas qui se devine au bord de la robe. Et pour parfaire mon accoutrement, une paire de talon aiguille en guise de chaussures. J'ai pas eu la main légère sur le maquillage et oui j'ai clairement l'air d'une pute, et c'est ce que je serai ce soir encore une fois.

(Tout ça sera bientôt fini)

Je passe devant lui sans un mot et il me rattrappe dans le couloir.

— C'est quoi ton problème Aline ! En ce moment je ne te reconnais plus !

— J'ai plus envie de tout ça, je veux plus vivre ça !

Son regard se noircit, et sa main tape juste à coté de ma tête puis son autre main me relève le menton, le serrant pour pousser ma tête en arrière.

— T'es à moi et ce soir tu vas faire honneur à ton mari, t'as bien compris ?

Je lâche un "oui" et une gifle s'abbat sur ma joue.

— Oui qui ?

— Oui Monsieur.

— Je t’aime ma chienne, ne l’oublie pas.

Je reste un temps sur place pour calmer mes nerfs à fleur de peau puis j’entre en scène. Quand j'arrive, ils sont déjà là, Marc, Eric et Bastien, et ils tardent pas à me faire des sortes de compliments, plus salaces les uns des autres, sauf Bastien qui reste sur un "t'es très belle Al". Je l'aime bien ce gars, il est gentil et très souvent malmenés par les autres. Le pire c'est Alban, qui l'utilise comme vidoir et je ne suis même pas sur que Bastien aime ça.

— Et voilà qui a encore perdu ! Mon Bastien décidement je vais finir par croire que t’en fais exprès.

La soirée tourne comme prévue et il embroche le pauvre perdant qui grimace de douleur. Le pire c’est que je sais qu’Alban n’est pas bisexuel, que c’est seulement pour dominer son pote.

— Je vais te péter le cul mec, tu vas t'en rappeler de cette soirée, mon lapin. Al’, occupe-toi s’il te plaît, me lance t-il d’un ton sec.

Après les avoir un peu chauffé, les deux autres s'occupent de moi, et je les laisse s'amuser avec mon corps, m'axant surtout sur le pauvre Bastien qui endure les coups de reins violent de mon mari. Je ne peux ignorer que de le voir prendre le pouvoir sur quelqu’un est excitant.

— Va t'installer près d'Al.

Bastien se pose à coté de moi, il ne bande même pas. Et Alban m'ordonne de le branler alors qu'il reprend férocement ses va et vient. Je regarde Bastien, m'excusant presque de lui donner se plaisir forcé.

— Fils de pute, tu bandes avec ma femme !!!

Je lâche immédiatement la queue du pauvre Bastien, et je fusille Alban du regard qui me balance une gifle sans aucune hésitation, n’ayant aucune honte de me frapper devant ses amis qui se sirotent un verre en nous matant.

— Regard moi bien Al !

Je vois le pauvre Bastien grimacer, et essayant de ralentir les coups de bite d'Alban, qui ne fait que de le bloquer et d'aller plus fort.

— Cherche pas bonhomme, t'as pas la force. Regarde ça, t’es mou du cul, tellement je te défonce.

— Laisse-le Alban, tu vois bien qu'il ne veut plus là.

Mes mots sortent sans réflexion et je viens vite à le regretter. Alban demande à Bastien de me remplir le cul, pendant que Marc s'installe directement au niveau de ma bouche. Je ressens les coups de reins d'Alban à travers de ceux de Bastien, pendant qu'Eric lui me lèche les seins comme un ours qui laperait du miel.

— Alban s’il te plaît doucement, crie Bastien.

Vu ce que je ressens dans mon corps, la cadence reste brutale et bien que je sois habituée, une vive douleur m'envahit l'intérieur.

— Stop Alban, moi aussi j'ai mal !

— Ta gueule Al’ !

Quand enfin les coups s'arrêtent, je vois Bastien mal au point de rester debout refusant de s'asseoir.

— Il t'a cassé le cul, lance Marc moqueur (très classe)

Puis il se déverse dans ma bouche, alors qu'Eric vient de se lâcher sur mon ventre.

— Putain c'est toujours un plaisir de venir a vos soirées, s'essoufle Eric.

— Montre bien ton trou du cul Bastien !!! ordonne Alban, et le pauvre bastien se penche, écartant ses fesses pour montrer le résultat de la domination de mon mari. Je comprend vite pourquoi il a mal, une belle fissure anale est dessinée, il va en avoir pour plusieurs jours à s'en remettre.

— Ah ouais, il t'a déchiré le cul mec !!!

Alban chuchote quelque chose à l'oreille de Bastien, qui baisse les yeux et qui reste immobile alors que les deux autres se dirigent vers la porte. Quand la porte se referme, je capte vite qu'Alban a des projets. Il se dirige vers la pauvre victime et lui ordonne de se mettre à genoux. Bastien est un peu abassourdi et comprends pas vraiment la demande de mon mari, qui lui flanque un grand coup de genou entre les jambes, amenant le soumis à ses pieds. Le pauvre garçon est tout tremblant et sur le point de pleurer.

— Quand je dis à genoux, c'est à genoux !!! T'as compris ?

Bastien fait un "oui" de la tête. Il vient de creuser sa tombe et il ne sait pas à quel point il risque de le regretter, je me revois 22 ans en arrière. Son éducation en fait que commencer.

— Laisse-le tranquille s’il te plaît Alban !!!

A peine ma phrase terminée qu'il recogne durement Bastien, et je comprends vite que plus je vais essayer de le stopper et pire ça sera. Bastien est là la queue à l'air, tremblotant, et n'osant pas regarder autre chose que le sol. Alban sort son couteau et place sa lame juste en dessous des couilles du pauvre gars qui se raidit n'osant bouger.

— On est bien d'accord que ce qui se passe ici, ne passera pas la porte ma petite pute ?

Le pauvre bégaie un oui et la lame s'appuie un peu plus.

— Je vais agrandir mon cheptel, tu seras ma chienne ici, tu feras ce que je demande sinon...

Bastien se met à pleurnicher, et supplie Alban de ne pas lui faire de mal et lui promet de faire tout ce qu'il voudra (t'es pas au bout de tes peines)

— Va poser tes couilles sur la table basse, je vais te donner une idée !

Alors que Bastien s'execute, Alban lui attache les mains dans son dos et part.

— T'aurai du partir Bastien, tu sais pas de quoi il est capable, je suis désolée pour toi.

Mes mots font le contraire de ce que je voulais, et je vois dans son regard la panique l'envahir.

— Calme-toi Bastien, respire doucement.

Quand mon cher mari revient, il lui place mon baillon boule dans la bouche (ehhhh c'est le mien !!!) et tient dans sa main une fine baguette de bois (outch)

— Ce n’est qu’un avant goût bien sur.

Alors qu'Alban me regarde, il flanque un coup sur les parties posées de son invité, amenant des cris éttouffés de la pauvre victime.

— Compte Aline !

— 1

— 2

—...

— 12...s’il te plaît Alban arrête !

La baguette vient heurter violemment mes seins sans que je n'ai eu le temps de réagir.

— Ferme-là et compte !

— 13

Jusqu'a ce que le nombre 20 arrive. Bastien est remplie de bave qui coule sur lui, et à moitié conscient. Sa queue est zébrée par les coups. Je sens encore celui que j’ai reçu toute à l'heure sur mes seins, alors j'imagine pas la douleur qu'il doit ressentir. Bien qu'il pense être au bout, Alban écrase sa cigarette sur ses bourses, amenant Bastien à un dernier hurlement étouffé.

— Réveille-toi ! Jt'ai pas dis de t'endormir hein.

Je suis là regardant mon mari torturer son pote sans pouvoir faire quoi que se soit, mais je sais que ce qu'il va subir calmera Alban et ça sera toujours ça en moins pour moi et Arielle (Jennifer). Mes pensées egoistes me font mal mais oui je préfère voir Bastien subir que nous.

— Al’ a ton tour, écarte tes cuisses et compte !

— Pourquoi ?! J’ai rien fait !

— Pour mon plaisir personnel, quelque chose à dire ?

— Non Monsieur.

Il vient de retourner sa baguette sur ma chatte, je ne veux pas lui donner le plaisir de me voir souffrir, j'essaye donc de contenir la douleur. Puis il passe au cul de Bastien et alterne entre lui et moi. Je serre les dents à chaque coup, et je vois dans son regard qu'il ira toujours plus fort pour m'arracher un son. Ce qui ne tarde pas à arriver vu les brulures que je ressens, lui demandant d'arrêter puis le suppliant pour qu'enfin il termine. Alban attrape Bastien et le met devant ma chatte endolorie.

— Tu vois ce que je fais à ma femme, alors imagine ce que je suis capable de te faire.

Phase un…la crainte.

— Maintenant, lèche-là mais ne la fais pas jouir !

Une bonne manière de m’obliger à ne pas me laisser aller (Salaud !)

Quand la langue chaude de Bastien se pose sur moi, j'ai un sursaut de douleur mais petit à petit il efface mes sensations pour les remplacer par un doux plaisir. Il est délicat, prend son temps et n'oublie aucun centimètre. Alban se met devant moi, la queue prête à exploser.

— Sors ta langue bébé !

Je n'ai pas envie de prendre son sperme, mais quand le revers de sa main s'abbat sur moi, je la sors et il se vide dessus, le faisant déborder sur mes seins. Puis il glisse deux doigts en moi pendant que Bastien continue à me lécher pour activer la machine à jus éclaboussant tout au passage.

— C'est bien ma femme, vas y trempe le... Et toi ma petite pute, lèche ! Mieux que ça !

Alban appuie la tête de Bastien sur ma chatte trempée, amenant encore plus de liqueur.

— Tu aimes ça hein, tu vois je peux te donner absolument tout ce que tu désires, même cette femme que tu n’aurais jamais approché sans moi.

Phase deux… la récompense.

Je suis là sur mon canapé, épuisée pendant qu'Alban ruine une dernière fois le cul de Bastien qui grogne à chaque mouvement.

— Voilà un bon vide-couilles !

Il est devant moi à quatre pattes, humilié et tremblant mais je n’ai pas la force de le réconforter.

— J’ai bien baisé moi, allez rabille-toi et dégage tu me fais peine à voir mais je vais quand même te garder.

Phase 3 : briser la personne pour qu’elle ne voit plus que son bourreau.

Bastien ne me regarde pas et se dirige vers la porte comme il peut. (je suis même pas sur que ça soit prudent de le laisser reprendre la route comme ça). Au moment où il va passer la porte, Alban le retient pour lui rappeler son silence. Quand la porte se referme, son regard se pose sur moi avec un sourire en coin. Il n’en a pas fini avec moi.

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