Chapitre 18

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ATTENTION, ce chapitre est particulièrement dérangeant. Il peut choquer votre sensibilité. Il est totalement facultatif et n’empêchera pas le déroulement de l’histoire si vous ne le lisez pas.

ARIELLE

Je suis à côté de Monsieur qui siffle le morceau de musique qui passe dans l’autoradio.

— Je te préviens, tu me fous pas la honte là-bas, c’est clair !

Je frissonne, et fais oui de la tête.

— Je te veux obéissante même si ça ne te plaît pas.

Je rétière mon hochement de tête. Il pose sa main sur ma cuisse puis la glisse entre et je comprends où il veut en venir alors je m’éxécute.

— Ouais ça c’est une bonne chienne, me félicite t-il lorsque j’ouvre mes jambes.

Il me caresse et me donne envie de l’avoir en moi, enfin je crois.

— Qui commande Arielle ? m’interroge t-il tout en continuant.

— Vous monsieur.

— Tâche de ne pas l’oublier. On arrive.

Il fait tellement noir que je ne discerne pas le décor mais la route n’est pas des plus agréables. Enfin on apperçoit une immense ferme avec une forte odeur écoeurante. Il détache sa ceinture et se retourne vers moi, il me caresse mes cheveux et vient poser un baiser sur ma joue.

— As-tu envie que je te fasse du mal Arielle ?

— Vos envies sont les miennes Monsieur.

Il sourit jusqu’à se mettre à ricaner.

— C’est une expérience indispensable pour ton éducation, tu as besoin de passer par cette étape.

— D’accord.

— Peu importe ce qu’il va se passer, tu seras à jamais à moi.

— Oui Monsieur.

— Reste à l’intérieur, je viendrais te chercher.

Il sort et s’éloigne de la voiture jusqu’à ce que je le voie disparaître derrière un bâtiment. Il fait nuit et elle est de plus en plus fraîche. Je me rappelle de ce que m’a dit Aline mais on a roulé longemps, il est tard et si je me perds, je n’aurais aucune chance de survivre. En plus je risque de beaucoup le decevoir et je ne dois pas lui désobéir. Tout se mélange dans ma tête et différentes peurs m’envahissent et je décide d’attendre. Il n’est toujours pas revenu et je me demande s’il ne m’a pas oublié. Quelque part tant mieux car je n’ai pas envie d’être ici. J’aimerais retrouver Aline car elle est devenue plus gentille avec moi. Je ne sens pas cet endroit, je devrais partir et tant pis si…oh non ! J’entends les pas sur les graviers de la cour et Monsieur revient accompagné d’un autre homme bien plus gros que lui. C’est trop tard.

— Sors de là Arielle, m’ordonne Monsieur en ouvrant ma portière.

Je m’éxécute et regard mes pieds comme il me l’a appris.

— Belle petite, s’exclame l’homme à la voix graveleuse.

— Ouais, elle est ravissante.

Les compliments de Monsieur me donnent le sourire.

— On va l’emmener à l’intérieur.

— Je te suis.

Il me fait un signe de tête et je suis amenée dans un entrepot de foin et de paille. Monsieur me retire mon manteau et mes chaussures, me demande de lever la tête et l’homme se lèche les lèvres en regardant mon corps nu.

— Elle est vraiment très très belle.

Je me sens fière et je ne comprends pas pourquoi Aline m’a dit de partir. L’homme ne semble pas me vouloir car il ne me touche pas, je crois juste que Monsieur a voulu trouver un autre décor que la maison. Peut-être qu’il veut commencer à me présenter pour ne plus devoir me cacher. J’aimerais tellement pouvoir partager d’autres moments, être autre chose.

— On va aller l’installer.

— Allez viens ma belle, m’encourage mon maître, que je suis sans me poser de questions.

Le fermier ouvre une porte et je sens la chaleur venir me réchauffer. Après avoir passé des rideaux en plastique nous traversons une pièce remplie de boxe avec des cochons. L’odeur est très forte mais je ne dis rien. On me fait rentrer dans un box vide où y a des barrières en métal à l’intérieur.

— Mets-toi là dessus, m’informe l’homme en me montrant une sorte de poutre d’acier. Le froid de l’élément sous mon entre jambe vient contrer la chaleur de la pièce. Ce n’est pas désagréable mais l’odeur par contre…

— Recule ton bassin, ta chatte doit être dans le vide.

Je suis ses indications pendant que Monsieur me regarde le sourire aux lèvres. Je lui rends et écoute attentivement ce que l’homme me dit.

— Cambre-toi bien, creuse tes reins, faut que ton bas ventre touche la barre. Voilà parfait. Maintenant mets ta tête et tes mains, entre les barres devant toi.

J’obéis et des bracelets en métal viennent verrouiller mon cou et mes poignets puis ensuite c’est au tour de mes chevilles. La position n’est pas facile mais je ne m’en sors pas trop mal.

— Regarde ça, elle est faite pour. Tu vas me la confier souvent celle-là.

— On va voir comment elle supporte.

Je ne sais pas de quoi il parle, il reste devant moi pendant que j’entends les pas de l’homme s’éloigner.

— Allez, avance ! Ouais, t’es chaud hein, tu la sens.

J’observe Monsieur qui garde son sourire. J’entends la porte du boxe et je commence à paniquer lorsque je vois l’animal. Non ! Il ne peut pas faire ça quand même ! Non je ne veux pas ! Monsieur s’approche de moi, et se met à ma hauteur, il ouvre son couteau et la lame se pose sur ma gorge.

— Calme-toi Arielle où je t’égorge comme une truie.

— Pitié.

— Arrête de pigner, tu me fous la honte, chuchote t-il mauvais.

J’entends grogner et le fermier se pose à côté de moi.

— On va le laisser faire connaissance avec toi ma jolie, il va te renifler et apprécier tes odeurs.

J’implore du regard Monsieur qui semble toujours en colère contre moi. Mes larmes coulent le long de mes joues et je sens quelques choses de froid et mouiller sur mon intimité, je comprends vite que c’est le groin qui veut me fouiller. Autour de nous, les autres cochons se mettent à grogner et c’est assourdissant.

— Et ouais mes filles, vous le voulez hein. Putain regarde comment tu me les excites !

Maintenant je sais pourquoi Aline m’a dit de m’enfuir mais il est trop tard je suis piègée.

— Il ne va pas tarder à se la faire, regarde-le comment il est à fond.

— On a le temps de toute façon, réplique Monsieur amusée.

Pourquoi me fait-il ça ? Je sens d’un coup un poids sur moi et une forte odeur répugnante.

— Ah ça y est, ça commence, il cherche son trou. Alors ma belle tu vas bien m’écouter. Tu vas surement bientôt le sentir se faufiler en toi, rassure toi ce n’est pas très gros, par contre c’est long. Il va te fouiller, et ça risque de te filer un tas de sensations. Ça va l’aider si tu mouilles beaucoup. Quand il aura trouver ton utérus, il va s’accrocher dedans et là ça risque de te faire mal, ne crie pas car s’il s’arrache de toi, il va tout emmener et crois-moi t’as pas envie.

— Pitié.

— Ferme-là Arielle ! gronde Monsieur.

— Ensuite il va te remplir jusqu’à se vider, sais-tu la quantité d’une ejaculation porcine ?

J’ai envie de vomir mais mes sanglots coincent tout.

— Répond Arielle bordel !

— Non, je ne sais pas Monsieur.

— Presque dix fois plus que nous. Allez ma belle, profite bien, c’est une chance de se faire baiser ainsi.

Le poids de l’animal revient et cette fois-ci, je sens quelque chose contre mes lèvres puis il repart. Je le sens désormais sous mon corps, il me renifle et vient chercher mes tétons.

— Ah c’est tentant hein mon gros. Il va la téter le bougre !

La pression s’abbat sur mon mamelon, et j’ai l’impression qu’il va me l’enlever tellement il tire fort dessus.

— Eh bien, t’es amoureux toi, et il va aller me chercher l’autre le salopard.

Monsieur reste silencieux, mais son pantalon se déforme et je sais que ça l’excite. J’aurais dû m’enfuir, partir loin et au pire je serais morte de froid mais là je vais devoir vivre avec ce souvenir tout le reste de ma vie.

— Allez viens par là, renifle-moi ça !

Le fermier ramène l’animal sur moi et je sais qu’il finira par arriver à ses fins. L’opération dure longtemps sans succès, les autres porcs s’excitent dans les boxes à coté et ils cognent les barrières.

— Ouais, vous en voulez mes cochonnes, papa vous donne pas assez. Ça vous excite mes petites salopes. Putain, regarde-moi ça dans quel état tu me fous, je peux Alban ?

— Sers-toi, elle est là pour ça.

L’homme se pose devant moi, relève son tee-shirt sale et son ventre gras plein de sueur se colle sous mon nez. Il dégrafe son pantalon et mon maître m’ordonne d’ouvrir la bouche. Ecoeurée j’obéis et il glisse son sexe mou. Il a un goût horrible, je ne sais pas depuis quand il ne s’est pas lavé mais je suis sur le point de vomir.

— Oh ouais, toi tu vas revenir me voir, putain avale ! Ouais vide-moi ma petite cochonne.

Ses grognent finissent par un cri qui résonne autour de nous et sa semence gicle au fond de ma gorge. Monsieur m’observe et fait non de la tête quand je suis prise de haut de cœur. Je me contiens autant que je peux et l’envie finit par passer lorsque je sens de nouveau l’animal tenter de me pénétrer. Il cherche un espace pour se faufiler, et je me contracte pour empêcher autant que je peux l’inévitable. A force je suis prise d’une forte envie d’uriner et la peur m’empêche de me retenir. Le mâle s’emporte sur moi, et je sens quelque chose de chaud sur ma vulve.

— Vous êtes fait l’un pour l’autre, s’exclame l’homme fièrement. Vas-y mon gros baise-là !

Je n’ai pas le temps de comprendre que je sens qu’on s’immisce en moi. C’est fini, je ne serais plus jamais la même. Les larmes perlent sur mes joues et la seule chose qui me permet de tenir, c’est de fixer Monsieur. L’animal s’énerve, cri dans mes oreilles, bouge en moi cherchant à atteindre son but. Les deux hommes me scrutent à l’affût des moindres de mes réactions. Et puis d’un coup un sensation deséagréable arrivent, puis se transforme en une douleur insoutenable. Je cris, les animaux grognent et mon maître s’énerve.

— Ferme-là ! hurle t-il sur moi.

— J’ai mal !!!

— Et alors ? Tu la boucles !

— Il a trouvé son trou, y a plus qu’à la remplir, ricane l’agriculteur amusé.

Je n’ai jamais souffert autant dans ma vie mais ça permet au moins que Monsieur soit plus gentil avec moi. Il s’accroupit et me caresse mon visage en me disant que je suis courageuse. Les minutes semblent être des heures et je me sens de moins en moins bien.

— Putain, il la bourrine bien l’enfoiré.

— Il l’abîme, je l’égorge ton porc !

— Eh, tu connais les risques ! C’est un animal, il ne réfléchit pas lui !

Les deux hommes s’engueulent pendant que mon supplice continue jusqu’à sentir un poids dans mon ventre.

— Tu vas pisser du foutre un moment ma cocotte. Il te la bien remplie.

Je sens le maître faché et il va contrôler si je ne suis pas abîmée.

— Mais non elle se porte comme un charme ton Arielle, elle est faite pour ça.

— Heureusement pour toi !

On me détache, et je tremble trop pour réussir à bouger. Monsieur me porte, et m’amène dans une maisonnette en pierre. Il me pose dans la grande douche et je titube.

— Tiens debout ma belle. Faut te laver.

L’eau chaude tombe sur moi, et je ravale mes sanglots qui m’étranglent. Il prend du savon et commence à me frotter, j’ai plus mal mais j’ai très envie d’uriner.

— J’ai besoin d’aller aux toilettes, l’informé-je.

— Faut te laver, retiens-toi.

J’obéis et le laisse finir ma toilette.

— Voilà, t’es toute propre, va pisser maintenant.

Je me rue sur la lunette et vois du sang dans les toilettes. Je commence à paniquer et me mets à pleurer.

— Qu’est ce que t’as encore ? Grogne t-il alors qu’il prend sa douche à côté de moi.

— J…je saigne.

— Ouais ça arrive, t’inquiète, ce n’est pas grave. Allez, dépêche-toi.

Je retourne dans la chambre ou il m’indique le lit. Je vais dormir avec lui ! Je retrouve un semblant de sourire.

— T’as été magnifique, et tu mérites un peu de confort.

Je sais bien que c’est surtout pour m’avoir sous la main mais j’apprécie de ne pas dormir par terre.

— T’es très courageuse Arielle et très excitante.

— Merci Monsieur.

Il me sourit, et vient sur moi. Lorsqu’il prend mon téton dans sa bouche, la douleur foudroie mon sein.

— Il t’a bouffé le sein, j’ai adoré…tu étais les mamelles pendantes, une si jolie cochonne qu’il n’a pas pu te résister.

Je le sens onduler sur moi, son sexe se tend et j’écarte les cuisses car sinon Monsieur va se fâcher et j’ai pas envie qu’il me redonne au fermier.

— Je veux te baiser comme un animal, fous-toi à quatre pattes.

Je m’installe en grimaçant et prie pour ne pas avoir mal. Lorsqu’il me pénétre il pousse un râle et mon corps se met à onduler pour lui donner le plaisir que je lui dois.

— Oh t’es douce et chaude…

Chaque mouvement est un supplice surtout lorsqu’il cogne au fond de moi.

— Monsieur ! hurlé-je d’un coup

— Putain, t’es trop bonne toi.

— J’ai mal !

— Boucle-là bordel !

— Arrêtez pitié !

— Putain tu vas comprendre !

Il est très en colère et m’attrape par les cheveux pour me mettre par terre. Je viens de tout gâcher. Son pied frappe mes fesses à plusieurs reprises puis il attrape sa ceinture et l’abbat violement sur moi.

— J’ai voulu être gentil et toi tu en profites ! Tu vas le regretter sale pute.

Il est en colère, avec de la chance, il va me tuer et arrêter mon supplice. Ma tête tourne et je finis par m’effondrer par terre. Le lendemain quand j’ouvre les yeux, j’entends une conversation.

— Non tu peux rester encore un peu, on ne rentrera pas toute de suite, j’ai encore quelques projets avec Arielle, je la déposerai ensuite chez moi puis comme prévu je file voir ma mère. De toute façon tu ne seras pas là donc on s’en fout à quel moment je vais la ramener, non ?...d’accord on fait comme ça. Sinon raconte, Ça se passe bien ?...Impeccable.

Mais à qui parle t-il ? Qui d’autre est au courant de ce qu’on me fait ici ?

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