3/Suicide : Osana Najimi

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Info-chan me re-contacte par message, le soir de la visite des policiers.

Tu as fait un remarquable travail.

Arigato (merci), ton journal sera content ?

Hai (oui), je t'en remercie, il t'apprécie.

Je t'en prie

Je t'avais bien dit que tu y arriverais, sans difficulté. C'est dans ton sang.

Dans mon sang ! Que veux-tu dire ?

Rien du tout Yandere-chan, que puis je te cacher ?

Concentre-toi plutôt sur Osana Najimi maintenant, vu que tu as fait vite. Tu la gâteras la semaine prochaine.

Ce n'est pas ce que tu voulais ? Je ferais attention et m'appliquerai

Hai, ne va pas trop vite, ils ne vont plus croire que c'est des suicides. Je dois partir, sayonara. (au revoir)

sayonara

Ainsi, après notre brève discussion, je m'endormis.

Retour à l'école ce matin. Et je vois quoi ! Mon sang ne fait qu'un tour. Mon Senpai avec Najimi-san, ha ! L'horreur ! Je m'énerve intérieurement. Mes démons m'emparent. Une rage folle. Mais quelques traits de colères peuvent se lire sur mon visage. Je poursuis mon chemin frustré, les poings serrés et le cœur aussi. Ce qui me rappelle que je n'ai toujours pas trouvé le moyen de la mettre hors de nuire. AH ! Celle-là !

À la pause de midi, je la cherche pour pouvoir la surveiller. Je ne la trouve pas. Je fais toute l'école et vérifie chaque pièce. Je m'introduis dans une salle éclairée classique, pourtant, je la trouve un peu bizarre. Des tables au centre de la pièce formant un « u » . Des petites étagères de livres par-ci et par-là. Un tableau blanc reflétant la lumière au fond à gauche.

Puis à côté dans le coin des placards étroits ainsi qu'une seule porte chacun, d'une vieille couleur verte foncée, fermées. Alors je découvre un ordinateur portable ouvert, de façon que je puise voir l'écran noir et lisse, poser au milieu sur la table vide ferment le « u ». C'est la salle du conseil des étudiants. Elle crée un froid dans le dos. Même si elle est basique. Je ne fais que quelque pas et l'ordinateur a fait des grésillements. C'est allumé. Une voie féminine modulée dit « Est-ce que vous êtes là ? » Je m'approche étonnée et curieuse et elle continue :

« AH !... C'est toi... Pourquoi êtes-vous venus ici ? Venez-vous ici pour me taquiner ? Est-ce que vous savez même qui je suis ? Je sais ce que vous êtes. Mon père me permet, de ne pas aller au lycée, pendant que vous êtes... « Active ». IL a une raison de tolérer votre présence à cette académie. Je ne... Vous êtes si...gentille, douce, en apparence, mais au fond, vous êtes qu'une créature vulgaire qui seulement autorisée à exister, parce que nous avons un but. Si c'était ma décision, tous les derniers d'entre vous, les yanderes, vous serez exterminés. Amusez-vous bien temps que vous le puissiez. Si vous et moi, nous ne sommes jamais vues... C'est, car si on s'entrecroise... vous allez... Avoir un mauvais moment. »

Sur ces paroles, l'ordinateur s'éteint d'un coup, elle ne m'a même pas laissée de temps de répondre. Elle sait qui je suis, mais qui est-elle ? Cela me fait peur. Ça me donne des frissons. Je ne veux pas être éloignée de mon amour. NON !

j'ai aperçu qu'un fond gris nuageux, une silhouette noire opaque qui bougeait, avec ses cheveux longs. Je pars de la salle rapidement. Dépourvue avec des questionnements horribles dans ma tête. Ses nouveaux trucs... Émotions me saoulent ! Comme quand j'ai été jalouse. Semblable à la première fois.

Je repris la recherche péniblement. Je n'ai jamais fait attention, il y a le club de journaliste au deuxième étage, le club d'Info-chan. La seule à avoir des rideaux à ses fenêtres, doucement, j'ouvre la porte en vue de lui faire une surprise, par contre elles sont fermées. Donc je regarde discrètement derrière les draperies épaisses. Une pièce noire presque vide. Juste un bureau et un ordinateur très professionnel. voir trop professionnel, avec six écrans illuminés, plein d'autres matériels que je ne connais pas.

Une personne est à l'intérieur. Assise en train de travailler sur le bureau, c'est Info-chan. Je la reconnais très bien avec sa coiffure particulière. Toujours concentrée, elle me dit , d'un ton dérangé et froid : « Je sais que tu es là, part maintenant. Il n'a rien à voir ici. » À présent, je c'est que sais bien elle. Grâce à son grain de voix. Je ne la dérange pas plus. Je pard et vois la caméra de surveillance ronde devant sa salle.

J'ai oublié qu'Info-chan est une geek. Une journaliste extrême. Elle a le contrôle la globalité des caméras cachés et des ordinateurs et d'autres, de l'école. Elle a le pouvoir aussi de pirater divinement n'importe quoi, même à l'extérieur de ce lycée. Elle fait froid dans le dos, elle sait tout et voit tout, entend tout.

Et encore, je connais peu de chose sur cette fille et de celle qu'elle peut faire. Je reprends mon chemin, monte sur le toit, pour voir une vue d'ensemble de l'école. Et trouver Najimi-san. Qui est mon premier objectif de cette pause du midi à rallonge et bouleversante. Je Fais le tour du toit, et regarde par-dessus les barrières et baisse les yeux. Je vois l'endroit de l'incinérateur en compagnie d'une poubelle à côté. Que je suis... Très haut.

Je me retourne à cause d'un bruit étrange fort et grave, qui traverse le son abrupte du ventilateur derrière moi. Ce c'est que la voix d'un élève. Il ne m'a pas vu. Puis je remarche un peu. Et là ! Je vois quoi ? Une tache orange avec des grandes couettes hautes, qui se déplacent au centre du labyrinthe en buisson. Osana-chan ! Enfin trouver ! Mince, la sonnerie sonne la reprise des cours, obligée d'y aller.

Aa ! (AH), la fin des leçons enrichissantes et fatigantes. J'ai peut-être imaginé un moyen d'en finir. Cependant, il faut que je découvre un peu plus sur ma rivale. Quand on parle du loup, la voilà ! Elle part tôt et sans mon Senpai. C'est insolite et curieux ! Elle avait l'air de chercher quelque chose tout à l'heure. Elle ne la peut-être pas trouvé ? Bon, ainsi, je peux contempler mon Senpai tranquille, et réchauffer mon cœur et brûler mon corps à le voir si parfait. Ses geste si accueillant qu'il fait si naturellement, ses manies que j'adore. Je peux le contempler pendant des millénaires. Cela me rend tellement heureuse, vivante !

Rentrée chez moi je repense à la fille dans l'ordinateur. C'est peut-être Info-chan qui essaye de me faire peur. Néanmoins elle n'avait ni sa voix ni sa coupe et pas de lunettes. Mais qui est-elle ? Je ne l'ai jamais vu au lycée ou je ne la reconnais pas ? Et puis c'est quoi leur but avec moi ? Ils ne peuvent pas savoir pour Amai-chan ? Suis-je en danger ? Non, je ne crois pas. c'est sûrement Info-chan. C'est la seule à tout contrôler et qui sait tout manier. Ça doit être juste une sorte de vocaloïde qu'elle a dû créer. Je m'endormis comme un bébé de cette journée chargée avec un plan pour Najimi-san.

Assise sur le banc u lycéée dans le petit parc sublime et élégant au centre du bâtiment de l'école. J'attends ma rivale. Elle arrive ! Je marche vers Osana-chan et lui demande si tout va bien. Elle me répond que non. Elle a perdu sa décoration de portable en forme de chat à l'intérieure du labyrinthe. Elle me demande de l'aide, si je peux le retrouver. Je dis oui ! pourquoi refuser. Avant la prise des cours, me dépêche d'y aller.

Je cherche et cherche même dans les petits coins. je ne détecte rien. Je commence à perdre patience et à me gonfler. En repartant afin de le retraverser et ne pas être en retard. Mon pied marche sur quelque chose qui craque. Au cœur de ma tête une lumière. Je l'ai trouvé ! Je lève mon pied. La déception. Ce n’était qu'une branche. Échauffer, je mets un coup de pied, de manière à la balancer le plus ford possible.

Je me plonge dans mes pensées. Je papillonne. Ne regardant pas où je marchai. Je Fais une descente rapide sur le sol. Atterrir à plat ventre. En étoile, Aïe ! Coucher parterre, je reprenant mes esprits. J'ouvre les yeux doucement. Vois les racines des buissons puis un objet en forme de chat. Génial ! Je l'ai retrouvé ! dit je en me relevant d'enthousiaste. Je repris ma route pressée en destination de luis remettre. Je luis donne, me remercie chaleureusement.

Me déclare que si j'ai besoin d'elle, elle sera là. j'ai réussi à voir une photo de ma rivale, en lui demandant gentiment. Je l'envoi à Info-chan, afin de posséder des informations. Elle tient énormément à cet objet qui a beaucoup de valeur. Pour moi ce n'était qu'une aide quant à la détenir dans ma toile d'araignée. Je ne comprends pas comment on peut avoir des sentiments sur quelque chose qui est sans vie. Et qui ne vient pas de la personne qu'on contemple. J'ai bien du mal à comprendre les gens. Suis-je si différente que ça ? En Tant que bonne amie attentive et à l'écoute.

Je passe la fin de la semaine avec Osana Najimi. Je découvre ses goûts, ses secrets dans l'intention de l'éloigner de mon Senpai. Ainsi cette fille froide en apparence. Malgré ça, elle est très sympathique en réalité. C'est une tsudere. Qui traite tout le monde de baca (idiot). Ne faisant pas de club comme moi. Elle sera un peu plus dure de trouver un moment propice pour sa surprise.

Lundi soir. Je rentre tôt. Une maison bien calme et sans âmes, autant que moi. Mes parents ne sont plus là, mais ça ne me dérange pas du tout. La liberté, c'est extraordinaire ! C'est mieux de n'avoir pas de bruit. Il y a une moins grande désynchronisation. Puis de temps à autre des petits messages de leur part. Afin qu'ils puissent se rassurer.i. Des photos romantiques aussi, j'aimerais tellement être comme eux, fusionnelles, avec mon Senpai.

De toute manière, cela ne va pas tarder. Je m'installe sur le bureau de ma chambre. Assise. Avant de commencer, j'envoie un message à Osana-chan. En lui écrivant si on peut se voir demain matin sur le toit de l'école derrière le ventilateur n°2, car j'aimerais lui parler .Je lui fait croire que je ne vais pas bien. Je prends du papier, un stylo et écrit une lettre de Najimi-san. Elle me répond quelques minutes après en étant d'accord, et j'atteste un arigato (merci).

Mardi, dans la matinée, je me prépare pour les cours et pour aller la voir. En faisant un peu exprès d'être légèrement en retard à notre rendez-vous. Arrivée à l'école. Je me dirige à l'incinérateur. Je viens vers luis sans encombre. Regarde en haut , ne vois pas ma rivale. Elle n'est toujours pas là, ouf. Mais elle va bientôt arriver, alors je me dépêche et pousse la grande poubelle verte vers la droite de manière à qu'elle soit bien en dessous des barrières.

Qu'elle est lourde ! Je mets toutes mes forces dans mes bras et mes jambes. À tel point que mes muscles tremblent et me font souffrir. Enfin, j'ai réussi à la bouger où je voulais. Quand je pars, je l'ai vue arriver. Heureusement, elle ne m'a pas vue. Je monte les escaliers. Accoster en haut, je m'arrête, marche doucement comme un chat et zieute. Osana Najimi est dans les vapes et regarde le ciel.

C'est le bon moment, je cours d’un pat fin comme un chat. La pousse d'un coup par-dessus les barrières. Attrape ses chaussures. je les enlèvent et la laisse tomber. Le tout fluidement. Elle n'a même pas eu le temps de crier, qu'elle atterrir au sol avec un bruit grave et sourd. Je regarde, Osana-chan est comme toute désarticuler dans la poubelle et saigne. Je la trouve beaucoup plus belle et attachante comme ça. Elle M'en lève en gros poids sur mes épaules. Je me sens légère. Mon Senpai est à moi. Je pose ces chaussures au sol. dépose sa lettre de suicide dessus. Avant de descendre voir ma concurrente éliminée. Pour que personne ne la voit, je mets quelques sacs de poubelles qui étaient sur le côté sur elle. Je rentre en cour tranquille et relaxer.


La police arrive.

Le lendemain matin, ils n'ont même pas fait d'enquête, car ils sont aveuglés par son suicide irréprochable. Les policiers ont juste demandé la cause de son acte. Tout le monde a répondu qu'elle avait des problèmes familiaux avec ses parents. Ils nous aussi prévenue que l'école allait installer des barrières anti-suicide. Ensuite, ils vont aller directement voir la famille, qui en pleur. Et des amis très proches. Puis le tour de mon Senpai. Je le vois se désintégrer. je vais vers lui. Enfin, j'essaye ! Mais impossible. La timidité prend le dessus et la peur qu'il me rejette. Une sensation dérangeante encore. Mais je te le redis mon chéri, la flamme qui est en moi, va brûler ta... Ta peine et va construire un amour pour moi. Car maintenant, il n'y a plus personne entre nôtre chemin. À nous de nous rencontrer.

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