Avancer pour ne pas être évincé
Car aminci je suis l’émincé
De la société à la sauce télé
Celle servant les viscères
Du vice héréditaire le soir dans ton viseur
T’es laid vise l’heure qu’il est.
Voici venu le temps des vaseux désaveux
Ventre de l’avanie vénérée des vendeurs
De visqueux avenants avilissant l’envie
Pour vessies vieillissantes de verser dans la vengeance.
J’ai des visions véhémentes de vies aimantes niées
Devant de vils valets complices du vol véloce.
Avéré et atterrant, me voilà vacillant
Dans ce vaisseaux victime de sévères avaries
La vérité est avariée et l’avare y est acclamé
La vaine variété clamée la veine tarie est déclamée.
L’avalanche noie les avachis serviles avalant la vase servie
Les valses de vide et les salves évident de sens nos vie.