La suite c'est de la faute de : J. Atarashi  moi je m'en lave les mains.

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Deux colosses noirs se tenaient prêts de lui, ils ne portaient qu'un fin plastron de cuir brun, une large ceinture de peau d’hippopotame à laquelle pendaient un gros trousseau de clefs et un fouet enroulé sur lui-même, ainsi que des sandales de cordes tressées, leurs sexes longs, aux pesantes couilles, se balançaient mollement entre leurs jambes musculeuses. Ils la saisirent, lui retirèrent sans ménagement sa courte tunique et sa laisse.

Nue au milieu d'eux, elle devait garder les mains sur la tête, elle fut palpée, examinée, on la fit monter sur le tabouret pour mieux la détailler, elle dut se pencher, Carretus-Ictus lui malaxa les fesses et les seins, il examina son intimité, enfonça un pouce dans l’anus, puis il le lui fit lécher pour le nettoyer.

  • Oui Carretus-Ictus elle a commencé comme naniae à 7 ans. Elle fait tout. Accepte tout. C’est une petite vicieuse sans pudeur.
  • Belle marchandise encore fraîche. Et tu dis que c’est une bonne gagneuse très docile. Si on te l’abîme trop, ou si elle crève je t'en donnerai trois cents deniers ça te va ?
  • Non, à ce compte-là... achète là moi. Surtout si tu comptes la sacrifier. Où la faire crever à l’abatage. Je te l'ai amenée pour que t'en fasse une vraie putain, une danseuse capable de retenir le public pendant que mes gars feront les bourses des curieux. Mais si tu m'en donne huit cents d'argent tu peux bien la donner aux chiens. J'en aurai plus rien à foutre.
  • On va pas chipoter, par Mercure ! Tu es un client de ma famille alors si je trouve à la vendre ou si elle meurt je te donnerai les huit cents deniers dont tu parles, qu’en dis-tu ?
  • Tope là à ces conditions tu peux l’égorger de suite, alors à dans six mois.
  • Attends ne part pas maintenant. Nous devons formaliser notre contrat et verser quelques libations à Mercure. En plus j’ai une proposition à te faire. Tu as toujours ta bande de forbans et ton bateau le Saumon Rouge je crois ?
  • Oui.
  • Je te garde pour mon petit banquet de ce soir, tu ne vas pas le regretter !
  • Merci c’est un grand honneur que tu me fais là, j’en suis indigne.

Satisfait Carretus-Ictus claqua dans ses mains aux doigts boudinés parés de nombreuses bagues, les deux serviteurs prirent l'esclave par le bras, ensemble ils passèrent une porte basse grillagée de laiton.

Ils l’emmenèrent dans le dédale des galeries souterraines. On la poussa dans une petite pièce suintante d’humidité, sorte de cachot sans fenêtre de sept pieds sur dix.

Là un homme monstrueux avec une longue natte brillante de graisse, vêtu d’un épais tablier de cuir, attisait les braises d’un brasero rougeoyant qui irradiait une forte chaleur, sa lumière vacillante hésitait entre le vermeil et le cramoisi. Autour d’eux ce n’était qu’hombres sur les murs, ombres dansantes, monstrueuses, inquiétantes.

Entre ses jambes, était posé un billot, une corbeille de chaînes, des bracelets de métal et de nombreux outils. Il grogna comme le font certains chiens avant de mordre, il lui jeta un regard morne.

Il la saisit par les cheveux, la força à s’agenouiller tête sur le billot. la peur au ventre elle obéit, elle ne savait que se soumettre, que se plier à la volonté d’autrui. Dans cette position, il lui riveta avec un gros clou incandescent un collier de bronze muni d’une courte chaîne, elle en sentit la brûlure et cria. En grondant, il la tira par les cheveux et lui plongea la tête dans une large bassine d’eau froide. La poigne ferme souleva l’adolescente dégoulinante pour la replacer devant la bille de bois.

Il recommença rapidement de la même façon, lui fixant des bracelets de bronze munis d’anneaux aux chevilles et aux poignets.

Magnanime il lui jeta la bassine d’eau, refroidissant ses ferrures qui fumèrent en chuintant. Depuis lors elle portait ces anneaux de servitude. Un des gardes vint la reprendre, sans un mot il la tira sèchement par la chaîne, l’entraînant à sa suite dans un large couloir aux nombreuses portes. Devant certaines des hommes et quelques femmes attendaient.

  • Tes futurs clients. Dit-il en haussant les épaules.

Il l’emmena dans une grande salle circulaire éclairée par un grand nombre de soupiraux qui encerclaient le plafond de la pièce. En son milieu un pilori attendait d’être utilisés, il ouvrit le battant y plaça la tête et les poignets de Chienne avant de rabattre la pièce de bois. Puis il passa les anneaux des chevilles de la fille dans des crochets plantés à des pieux en retraits du pilori de telle sorte qu’elle avait les jambes écartées et qu’elle ne pouvait que se tenir pencher en avant. Content, il admira son travail, avant de lui présenter sa verge.

  • Allez au travail, suce salope ! Allez, tu dois pouvoir tout avaler dans ta petite bouche.

Chienne avait la langue empressée et douce d'une esclave accomplie. Elle aimait les pines avec gourmandise, elle avait indiscutablement de vraies dispositions, des aptitudes prometteuses qui ne demandaient qu'à s'épanouir.

  • Encore quelques coups de langues et je change de trou salope.

Puis il la doigta avant de la baiser à grands coups de reins elle ne mouillait pas encore mais il s’en moquait.

Elle se blessa les épaules, se les écorchant dans le joug de bois.

  • Vas-y bouge ton cul, je sens que ça vient.

Il jouit dans son con, il lui claqua les fesses sa main large s’imprima, empreinte écarlate, signature d’infamie. Après quoi, il s’assit à l’entrée sur un banc de pierre. À son côté gauche, un tonneau sur lequel un petit gong, un tronc de laiton et une gourde étaient posés. Il but un peu et fit raisonner le gong. Des dizaines d’hommes se pressèrent à l’entrée.

  • Faites la queue chacun, son tour, 2 has la passe et vous pouvez la prendre par tous les trous.

Les clients laissaient tomber les pièces de bronze dans la boite avant d’assouvir leurs besoins. Au bout de deux heures, elle était dans un état de semi inconscience, ses yeux étaient clos, poupée de chiffon malmenée par d’innombrables mains, défoncée par des verges tendues dégoulinantes de désir.

À quoi pouvait-elle penser pendant que tous ces hommes la besognaient songeait le garde.

Elle n’était qu’un corps en sueur couvert de sperme, qu’une bouche dégueulant de bave.

Autour d’elle le sol de terre battue s’était transformé en une marre de boue gluante. Elle était comme lui esclave d’un maître, mais il la dominait, ce n’était qu’une fille des territoires du nord qui plus est ; une barbare, un animal, et son rôle était de la dégrossir, d’avilir un peu plus les sales petites putes qui passaient entre ses mains et sur sa bite, d’en faire de vrais sacs à foutre et il aimait ça. Le monde était bien fait, il pouvait se venger de son état sur ces salopes.

  • C’est quoi ? C’est qu'un morceau de bidoche ! On la bourre et elle ne réagit pas ! Se plaignit un client.
  • Tu voulais quoi pour deux has connard ! Sémiramis ? Répliqua le garde.
  • Mais tu as raison on va la réveiller. Écarte-toi !

Il se leva, pris son fouet enroulé à la ceinture et fouetta les fesses de la prisonnière qui se tortilla. Elle poussa des cris aigus suivies de pleures et de supplications. Il réussit à lui arracher des hurlements stridents quand le brin de son fouet lui toucha la vulve.

  • Ça va, elle est assez réveillée à ton goût ? Et toi salope, bouge ton cul pour faire plaisir au monsieur !

Les passes reprirent.

Toute la matinée passa ainsi sans aucun répit.

Le gong sonna et tous ses éphémères amants se retirèrent en traînant des pieds, en maugréant. Le garde prit le tronc, le renversa en l’agitant avec dextérité, cinq pièces en tombèrent qu’il avala.

Il fallait bien qu’il pense à ses vieux jours.

Il alla délivrer sa prisonnière du carcan.

Elle tomba inanimée, étourdie sur le sol fangeux.

  • Pitié boire. Dit-elle d’une voix rauque.

Il restait un peu d’eau dans la gourde. Il but, en versa un peu dans la paume de sa main, la tendit à fille, elle la lui lécha.

Elle attendit la suite, mais il vida le contenu à ses pieds.

Il la retient par le collier pour ne pas qu’elle lèche le sol.

  • Première leçon, on ne demande rien. Il la gifla violemment. Deuxième leçon, on parle que lorsque l’on est autorisé. Il répéta la correction.

Elle saigna du nez.

Il la reprit en laisse.

Ils sortirent dans le couloir.

Un long bac de granit rempli d’une eau glacée occupait une partie du mur à quelques pas de là.

Un seau de bois était posé sur le rebord.

  • Allez à quatre pattes et rampe jusqu’au bac, sac à foutre !

Elle s’exécuta et s’arrêta devant le bassin.

  • A genoux et pompe moi pendant que je te lave. T’es qu'une truie dégoûtante ! C’est ça continue de sucer.

Il remplit le seau et le lui renversa.

« Mais bon sang ce putain de gourdin ne va jamais jouir... j'en ai mal aux mâchoires » pensa-t-elle.

Il recommença trois fois à la doucher, jusqu’à ce qu’il ait envie de jouir.

Elle avait la chair de poule, ses tétons s’étaient durcis sous la douche glaciale.

  • T’as toujours soif ? Moi ça fait toute la matinée que je rêve d'un trou où gicler. Et bien avale !

Il déchargea tout au fond de son gosier, lui maintenant la tête plaquée contre son ventre.

  • Attends j’ai pas fini !

Et il urina...

Elle avala la pisse et le sperme.

Il sentit son sexe qui se fanait dans cette bouche accueillante.

Il le retira et il l’égoutta sur ses lèvres.

Il la gifla et devant la surprise de Chienne, il expliqua :

  • On remercie connasse ! Tu dois dire merci maître, allez !
  • Merci maître.
  • C’est bien tu comprends vite, tiens bois. Et il posa le seau rempli devant elle, elle but à quatre pattes la tête dans le récipient.
  • C’est ça comme la bête que t’es ! Bois chienne !

Bon il y a une suite aussi glauque
Alors à vous de voir bande de pervers.

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