Bonne année

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《Il est 23 heures, plus qu'une heure pour se déchiré !》

La meilleure soirée de ma vie. Tout le monde est soit bourré, soit stone ou alors les deux à la fois. La soirée ce fait chez moi et mes parents sont au courant, la fille que je drague depuis bientôt un an est là. Cette soirée est pour moi !

《Mon Billy moi qui croyait que t'était un coincé mais alors la je retire tout ce que je t'ai dit gamin !》

J'ai entendu cette phrase une bonne vingtaine de fois et la soirée ne fait que commencer. Je vais leurs prouver que je peux être quelqu'un !

La soirée devient incroyable, je gagne au beer pong, j'ai embrasser la fille que j'aime et les filles se promène à moitié à poil pendant que les mecs font tout pour faire croire qu'ils vont bien alors qu'ils font tout pour se mettre mal.

Je tient super bien l'alcool et la beuh, c'est mon bonus fun à moi. Mais il est bientôt minuit, je doit descendre à la cave.

Cette ambiance, cette odeur, odeur de poudre.

《Les gars, fini la coke il faut remonter.

- Non... Billy. Sois cool laisse nous un peu.

- Comme vous voulez moi je dit ça pour vous vu que toute les meufs on fini à poil en haut.

- On va peut-être remonter finalement. On te laisse la poudre on en aura pas besoins de toute façon on est déjà déchiré. Bonne soirée trou de balle et merci pour la soirée》

Personne ne doit être la quand je me prépare. Personne ne doit être averti de ce que je vais leurs offrir à tous pour cette nouvelle année.

Maintenant l'odeur de coke dissipé je retrouve l'odeur de ma poudre. Inspire... expire... inspire... expire...

En tenu. J'enfile ma combi noir, je met mon gilet, je met mon couteau de chasse à ma cheville, j'attache ma machette à ma taille, je met mes poings américains à lame, j'active le verrouillage des issues. Il est 23 heures 57, j'ai quelques minutes d'avance. Je vais me fumer un petit joint avant de commencer. Merde, j'ai plus de feu. Bon alors on va attendre.

Tic

Tac

Tic

Tac

Tic

Tac

23h58

...

23h59

C'est l'heure. Je remonte de la cave.

10...

Je sors mon arme de poing doté du silencieux et je tue les occupants du couloir menant au chambres.

9...

J'entre dans une des chambres. Deux personnes sont en pleine acte. Elle le chevauche sauvagement pendant que lui s'amuse avec sa poitrine. Je jette les armes qui n'ont plus de balle. Je les bats à mort avec les poings américains. Ils n'ont pas eu le temps de crier.

8...

Je passe dans toutes les chambres et tranche la carotide des personnes les occupants, ce sont soit des drogués soit des obsédé sexuelle. Il y'avait un couple qui se filmait. J'ai fait un coucou à la caméra et l'ai emporter avec moi. Je fait faire comme eux, filmer mon activité.

7...

Je range les poings américains et sors la machette. Je suis dans les cuisines. Tout le monde descend l'alcool plus vite que leurs vêtements. Les gens crient en me voyant. J'aime cette excitation que produit la peur. Comme la plus part des filles avait fini poitrine dénudé ou le t-shirt mouillé je peux voir leurs tétons s'exciter et elles se faire dessus.

Je leurs tranche tous la tête.

6...

Je passe au WC, je trouve deux lesbiennes en ciseau dans la baignoire, une pute assise sur la queue vigoureuse d'un étudiant sur la cuvette et un prof qui plaque une élève sûrement inconsciente et la pénètre contre la vitre de la douche.

Ni une ni deux je leurs coupe la tête et les attribues.

5...

Dans la salle à manger ils jouent au beer pong, ils se drogue sur la table, dans le coin de la pièce il y'a même des combats de filles à poil. Cette fois je sors le couteau de chasse que je met entre mes dents puis je remet les poings américains. Je n'ai plus beaucoup de temps. Je doit me dépêché. Je tue tout ce petit monde et passe sans plus attendre au salon.

4...

Tout le monde s'agite et glisse dans les flaque de sang. Je cours, traque et tue mes proies unes par unes. J'ai perdu mon couteau de chasse, je l'ai bien laisser quelques part, la dernière fois que je l'ai vu il était planté dans le crâne de quelqu'un, seulement... Il y'a beaucoup trop de crâne içi.

3...

Je désactive le verrouillage des issues, je passe dehors pour voir la piscine. Du monde si trouve, pardon, si trouvais. La piscine est devenu écarlate.

2...

Je rentre à l'intérieur. La fille que j'aimais est attaché à un radiateur. Je me dirige vers elle. Je récupère le couteau de chasse planté dans un des crânes.

《Ne fait pas ça... s'il te plait... Je... Je t'aime.

- Non. Tu ne m'aime pas, aucun de vous ne m'a jamais aimer.

- Non Billy ! S'il te pl...

- Je m'appel Ben.》

1...

Bonne année.

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