Plaisirs à offrir et à se faire offrir.

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Je sais que tu es excitée, mes paroles et mes gestes font leur office. Ta tête est contre mon épaule, je sens tes lèvres qui me caressent et ton souffle qui me chauffe le cou. Ma main, sur ta cuisse, décrit des cercles concentriques et je sens ta douce intimité qui réagit à chacun de me gestes.
Nous sommes si proches, toi et moi, nous sommes si intimes que je plonge au cœur de ta féminité. Tu te laisses faire, m’offrant toute ta confiance aveugle. Je te procure du plaisir, j’utilise chaque partie de mon corps pour ce faire, mes mains ma langue et ma mâle dureté, mais c’est mon cœur libertin qui me guide en mes mouvements, sans dire un mot.

Je sais que je suis de pénétrer en plein cœur de ton intimité la plus secrète. Une intimité que tu n’ouvres qu’à moi seul et j’ai cette impression d’être un légionnaire ayant franchi le Rubicon. Alors, je plonge entre tes cuisses pour te lécher encore et encore, encore et toujours, jusqu’à sentir couler ton divin nectar sur ma langue et m’abreuver à cette fontaine de Jouvence. Je sais aussi, à la manière dont tu me parles et l’insistance avec laquelle tu me regardes, que tu en veux encore plus, bien plus, toujours plus. En cet instant, tu n’es plus qu’une boule de plaisir, qui n’appartient qu’à nous, je trouve que la jouissance te va bien et te rend encore plus belle et désirable. Ma petite coquine, qui aime, que, que du plat de la main, je caresse l’un de ses deux globes. Lentement, tendrement avec désir et que de mes doigts, je maintiens cette antre écartée afin de pouvoir continuer de te lécher comme bon me semble.

Et tandis que je lèche, aspire, pénètre de la langue, tu n’en finis plus d’émettre tes gémissements de plaisir. De temps à autre, tu tournes la tête vers moi, je vois bien tes yeux suppliants qui en demandent encore plus. Comme tu es gourmande de cette extase, mais je ne demande pas plus, car cela m’arrange bien, car te donner du plaisir, te faire jouir est l’une des choses que je préfère dans le plus dans les plaisirs simples de la vie. De ma langue, j’honore ton corps, je lui rends hommage et le vénère. Je fais tout pour t’offrir au centuple ton désir, c’est aussi simple que cela.

Je sais quand m’arrêter, me faisant pervers, de te laisser un attendre petit peu. Je veux que tu retrouves ton second souffle, t’accordant un répit avant de poursuivre, mais surtout de reprendre mon exploration de cette caverne aux miracles. Je me contente, de mes doigts, de caresser tes belles fesses. Une suite de caresse douce, légère. J’attends que tu tournes la tête vers moi et de voir ton visage suppliant d’envies de jouir de nouveau. Ton si beau visage, transfiguré par le plaisir, car lorsque je dis que le plaisir te va bien, j’en ai la vivant preuve sous les yeux.

Tu prends alors l’initiative et viens me chevaucher et t’allonges sur moi. Ton torse contre mon torse. Je sais que tu aimes bien sentir mon derme frôler et taquiner ta peau., tout comme ça te fait de l’effet quand je m’allonge sur toi et que tu sens le poids de mon corps sur le tien. Tout chez toi, n’est qu’érotisme, désir, sensualité mais aussi, et surtout, désir. En cette minute, nous nous regardons. Nous ne nous quittons pas des yeux, sans nous parler, car nos regards s’expriment pour nous. Tu es en train de retrouver ta respiration. Je le vois à ta poitrine qui monte et qui redescend de moins en moins rapidement. Nous sommes si bien, rien que tous les deux, ainsi, à l’unisson.

Du bout des doigts, je dessine des petits cercles sur ton bouton Ainsi, je continue de t’éveiller et de te stimuler au plaisir. Tu t'en remets à moi, les yeux fermés. Je te sens et t'entends respire, car ta respiration est tout aussi importante que le rythme et la profondeur de mes caresses, ce n'est pas que physique, cela va au-delà et mon esprit coquin le ressent. Nous ne sommes plus qu’amants qui ont une confiance absolue l'un en l'autre. Je te retourne à nouveau et replonge entre tes cuisses, je n’avais pas terminé ma besogne. Du bout de mes doigts, je viens irriter ton bouton et ma langue tyranniser tes lèvres. Je sais que c’est le cocktail que tu apprécies le plus au monde, le plus efficace pour t’offrir un orgasmique instant. Le bout de mes doigts et des petits cercles sur ton clitoris, la langue sur l'entrée de ta féminine douceur, quelques allers-retours et tes fesses me frôlent et me taquinent le menton, venant se caresser sur ma barbe. Tes cuisses sur ma tête, elles les enserrent. Plus ma dégustation de toi avance, plus je te sens qui t'exprimes et plus je te torture à coups de langue et de succions, plus tu es déchaînée.

Mes doigts et ma langue te caressent en douceur., car c'est avec douceur que je te donne du plaisir et que je vais te faire jouir, tu le veux. Tes gémissements et cris me touchent, résonnent en moi et me submergent. Tantôt, tu se soumets volontiers, tantôt, tu prends les rênes et en jouis. Nous nous complétons, nous nous comprenons. Nous inversons les rôles, nous nous retrouvons. Nous varions les plaisirs, les possibilités semblent infinies. Me reviennent souvent en mémoire, alors que j’écris, ces heurs où nous nous sommes donnés l'un à l'autre, sans modération, faisant abstraction de tout, nous ne faisons alors plus qu'un être, un Janus d’érotisme et de volupté. Et là, tandis que ma langue lèche, avec avidité, que mes lèvres te sucent et te dévorent, avec appétit, je sens ton cœur qui bat à toute allure. Nous donnons alors encore plus libre cours à cette sensualité qui coule en nous.

Mais pour l’instant, ma langue et mes doigts ont toute la liberté d'expression qu'ils désirent. A moi, tu es totalement ouverte. Je fais à chaque fois le même vœu, celui de te faire monter jusqu'à ton orgasme, jusqu'à ma jouissance. Tu accueilles et acceptes le plaisir, jouis autant que tu le peux, comme tu n'as jamais joui. Ton sexe s'unit à ma bouche et à mes doigts. Tu multiplies les soupirs, gémis, t'agites au-dessus de moi. Je te sens, je te vois, alors que le rythme s'accélère et que tu hoquettes de plaisir.

Et là, tu décides d’accélérer le tempo, à ce que je vois, à ce que je sens. Pousses ton cri libérateur. Tes lèvres entrouvertes, les yeux mi-clos, tes seins gonflés, et leurs pointes tendues d'excitation, ta vulve, humide à souhait et tout en continuant de t'honorer de mes coups de langue, je te vois, jolie demoiselle insatiable qui te donne entièrement. Tu relèves un peu la tête et, une main sur mon cou, me regardes, approches tes lèvres des miennes et y dépose un long baiser duquel tu sembles ne pas vouloir te détacher. Après ces deux premiers rounds, tes yeux pétillent. Comme tu es belle dans le plaisir. Tes yeux se braquent dans les miens et tu m'embrasses goulûment. Tu te blottis langoureusement contre mou. Ma virilité atteint une dureté extrême et je suis persuadé que tu le sens. Il ne peut pas en être autrement. Ton sourire espiègle, coquin me confirme ce dont je suis sûr. Mes pensées lubriques, incontrôlables m’assaillent.

Et là, tu prends les rênes, ne te prives surtout pas. Tu as les mains curieuses, baladeuses. Ce sont des sensations contrastées que je ressens alors que tu me caresses. Je sens que tu as envie de prendre ton temps afin de profiter au maximum de ce moment. Tu laisses aller tes deux mains se balader allègrement, impudiquement sur ma peau. Tu me regarde, me souris, la main sur mon sexe., l'empoigne à la fois avec précaution et sûreté. Tes lèvres viennent sur ma hampe et débutent un va et vient. D'abord, la tête, puis, le mat. Je halète, soupire, gémis. Tu poses tes mains sur mes aines. Elles sont chaudes et fermes, tes mains. Caressantes et douces. Je suis au comble de l'excitation. Et alors tu me titille le chapeau du bout de la langue. Je me couvre de chair de poule. Ta main qui me masturbe, qui assure les caresses diverses en me prenant solidement par la base, ma masculinité ne fait plus qu'un avec ta main et ta bouche. Je m'en remets à toi.

Tu ôtes tes mains de mon bas-ventre, les pose sous le galbe de ta magnifique poitrine, l’empaume de telle sorte qu'ils soient l'un contre l'autre, comme deux êtres jumeaux inséparables. Ils viennent et s’enroulent autours de mon mat et commencent à aller et venir, tandis que ta langue continue d’agacer le sommet de ma colonne. Je me mets à donner des coups de reins vigoureux., libérant ma virilité du plus profond de moi dans la moiteur couplée à la tiédeur du creux de tes seins.

Quelques allers-retours ont raison de mon endurance. Je crie. C'est le reflexe que j'ai sur l'instant. Je ferme les yeux et je me laisse jouir entre tes deux jolis monts en une explosion cataclysmique, digne des écrits bibliques apocalyptiques.

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