Chapitre 3

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Ils avaient fait le voyage dans le temps. Ils rencontrèrent directement Gustave Flobair. Iris lui dit :

- Toi tu es Gustave je ne sais plus quoi.

- Gustave Flobair ! Garde le bien en tête

- Bon d’accord. Y-t-il que vous ici ?

- Continuez tout droit et vous verrez Charles Beaudelère. »

Ils étaient partis tout droit et virent Charles Beaudelère. Iris lui a dit :

« Bonjour. Comment trouve-t-on de l’inspiration ?

- Il faut mettre des mots sur sa tristesse sous forme de poésie sulfureuse. Qui ennuierons le lecteur.

- Si ça ennuie c’est que personne ne voudra le lire.

- Oui mais mon recueil est unique il n’y a pas de semblable.

- Donc vous vous êtes un dépressif ? Je comprends comment vous avait écrit « La Fleur du mal » avec une tel inspiration.

- Non. Je ne suis pas dépressif j’ai un mal être intérieur inexpliquée. Il faut aussi consommer de la drogue du haschisch par exemple.

- Tu viens, il est sans doute ivre. Dit Iris à son frère.

- Sinon tu sais ou se trouverais d’autre écrivain ?

- Victor Huguau est sur ta gauche. »

Ils étaient partis et ils avaient vu Victor Huguau Iris avais dit :

« Comment vous faîtes pour écrire un bon livre ?

- Une histoire triste qui va lacérer le cœur de ses lecteurs est parfaite pour être lu.

- Mais je manquerai d’originalité puisque c’est déjà ce que quasiment tous les auteurs font. Charles Beaudelère nous avait dit à peu près la même chose.

- Des histoires qui font réfléchir le lecteur.

- Sinon savez-vous ou se trouve d’autres auteurs ?

- Vous pouvez aller voir Gui de Maupassont, il est à quelques mètres à droite »

Ils étaient allés à droite et ils virent Gui de Maupassont. Iris lui avait dit :

« Comment faîtes-vous pour écrire de bon livre ?

- Il n’y a pas vraiment de solution, il faut juste écrire ce qu’il te passe par la tête chaque jour. Ensuite tu te sers de tes notes afin d’écrire une histoire.

- Si on n’a pas d’inspiration et qu’on passe ses journées à essayer de trouver l’inspiration ?

- Tu viens de trouver des idées pour créer une histoire. Tout ce que tu viens de me dire ferais une excellente histoire.

- Vous n’avez peut-être pas tort.

- Pour le moment, c’est vous qui m’avez le plus aidé. »

Quand ils avaient fini de parler tous les écrivains se réunirent au même endroit. Et Victor Huguau avait dit :

« Le hasard fait que nous nous sommes rejoints

- Malheureusement je commence également à manquer d’inspiration. Votre présence interrompt ma tranquillité qui me permet de réfléchir dit Gustave Flobair.

- Tu peux partir, personne ne te retient ! dit Victor Huguau.

- Comment oses-tu me dire cela ! N’oublie pas que je suis plus fort que toi en puissance et je suis plus intelligent.

- Plus modeste aussi je pense ! La raison du plus fort est toujours la meilleure n’est-ce pas ?

- Je vais devoir partir ! Dit Charles Flobair »

Charles Flobair était parti. Les autres restait ensemble mais personne ne parlait. Ensuite chacun était parti dans un côté.

Jusqu’à qu’Iris dit :

« Si vous écrivez tous ensemble un livre ?

- Ce ne serait pas une mauvaise idée mais il y a peu de chance qu’on trouve un éditeur.

- Commençons ! »

Les trois écrivains avaient écrit un livre qu’ils avaient gardé pour eux dans leur dimension.

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