Lutin mâle-adroit

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Toujours écrit pour « À chacun son histoire » et avec le même début :

À moitié réveillé, Finarfin enfila son bas de pyjama et sortit de sa chambre. Il croisa Papa Noël en combijama rouge et vert qui était sur le point d'entrer dans la salle de bains. Papa le regarda et aperçut la protubérance qui déformait son pantalon de flanelle. Il sourit et lui lança :

— Mon petit elfe devient un homme on dirait ! Tel père tel fils, rajouta-t-il, tu lui ressembles de plus en plus.

Il baissa les yeux sur le pyjama. Il vit sa pointe de sapin qui le tendait ! Il eut honte, le rouge devait atteindre la pointe de ses oreilles et il fila aux toilettes ! Un long pipi lui fit du bien et calma son pingouin qui retrouva sa taille normale...

À sa sortie, l’eau coulait dans la salle de bain. il s’imagina le barbu nu se savonnant sous les jets chauds et la protubérance repris place instantanément dans son vêtement de nuit, même pire, sa verge décollait l’élastique de son ventre, tellement son érection était rigide. Finarfin se glissa face à la porte de la salle d’eau, la serrure attirait son regard plus qu’un aimant et sachant que la douche était sur le mur opposé, il pensa qu’à cette heure, lorgner son patron était sans risque. Depuis le temps qu’il fantasmait sur les mâles humains et rêvait de chair réelle, plutôt que les olisbos dont il faisait grandement l’usage …

Il prit appui d’une main sur le chambranle, afin de placer sa tête au niveau de la serrure où il colla son œil. il devina vaguement, une silhouette nue se savonnant, au travers de la vapeur et frissonna d’envie. Il plongea sa main libre dans son falzard et tripota son sexe, gêné par le textile, il descendis son pantalon sous ses cuisses pour en faciliter l'accès ainsi qu’à ses couilles et fesses.

Perdu dans sa contemplation, il n’entendit pas l’homme approcher et ne prit conscience de sa présence derrière sa personne qu’au moment où il s’adressa à lui.

— Mais, que voilà un magnifique spectacle !

Il sursauta si fort en se relevant que son pantalon tomba sur ses pieds et il resta un instant statufier dos à l’homme qui le dominait de plus d’une tête.

Celui-ci en profita pour le ceinturer d’un bras et se coller à lui. La chair nue d’un gourdin chaud et dur s’appuya sur ses reins.

l'assaillant mordit légèrement la nuque du lutin qui tressaillit et essaya – mollement – d'échapper à son étreinte et l’homme eut sans peine le dessus. Papa Noël (car c’était lui, revenant avec une serviette propre) referma sa pogne sur les parties génitales de l'elfe qui gémit doucement. Il le tripota un moment jusqu'à reprovoquer une totale érection. Il s'arrêta et glissa sa main entre les fesses de Finarfin.

Là, ce fut beaucoup plus direct. Il écarta les cuisses du garçon, cracha sur son anus et, profitant de ce lubrifiant naturel, entreprit de glisser son index dans la rosette offerte. Finarfin lutta peu à l'introduction et le doigt finit par entrer profondément dans l'intimité du jeune elfe, vite suivi du majeur. Il trouva la prostate et commença à la tarauder. Finarfin gémissait maintenant en continu et son méat libérait un long fil de mouille.

Les doigts, ayant bien ouvert sa rosette, l’abandonnèrent et un nouveau filet de salive, suivi d’un gland volumineux, prirent la relève. La tête du champignon fut prompte à passer la brèche et une petite poussée l’empala de la moitié de la hampe en une seule fois, sans le faire broncher vraiment - il émit un hoquet de surprise - lorsque papa Noël lui enfourna l’autre moitié d’un coup de rein. Après avoir claquées entre elles, les grosses couilles pendantes et velues se collèrent aux olives imberbes du galopin, tant la poussée était profonde !

Les grandes paluches sur les fines hanches du farfadet, l’ainé entama un lent mouvement de va et vient du bassin et les soupirs se changèrent en gémissements au fur et à mesure que le plaisir montait, rauques pour l'un aigus pour l'autre.

S’il était extrêmement excité, Finarfin dans un moment de lucidité fut stressé. En effet, leurs ébats n’étaient séparés de la salle de bain que pas une simple porte. Même en parlant ou gémissant à voix basse, il n’imaginait pas que l’occupant ne puisse les entendre, dès lors qu’il couperait l’arrivée d’eau… hors l’eau ne coulait plus !

La porte s'ouvrit sur Kris – le fils Noël, ayant le physique d’un viril trentenaire, sportif et fort bien foutu – encore dégoulinant d'eau, une main tenant sa serviette autour de ses reins, les bruits venus du couloir l’avait intrigué. La vue de son père besognant Finarfin lui fit écarquiller les yeux, sa main lâcha le tissu qui glissa au sol, pour se porter devant sa bouche béante, exprimant sa surprise, mais l'image l'excita à mort… il banda instantanément… presque sous le nez de l’elfe !

Ni une ni deux, Finarfin ne réfléchit plus, il prit Kris par les hanches, le tira d’un pas vers lui – qui ne résista pas une seconde à la traction – et s’enfonça la grosse teub offerte en fond de gorge.

— Aaaaaaaaaaaaah ! fit le fils électrisé.

— Mmmmmmm ! gémissait le lutin gourmand.

— Alors, ça fait quoi d’être pris en brochette entre le père et le fils ? Bouge plus, mon joli. Kris, en rythme avec moi ! dis le père Noël qui n’avait pas stoppé ses va et vient.

Et ils matraquèrent de leurs pistons, la bouche et l’anus de leur jouet. Jouet qui était en transe, en appui sur la pointe des pieds, son fantasme ultime se réalisait, son gland pissait littéralement de la mouille en continu. La sueur perlait sur les corps en mouvements… gémissements, borborygmes et cris lubriques furent entrecoupés de phrases hachées ou simples mots de plaisirs.

Sons et cadences s’amplifièrent… deux épieux le perforaient, quatre mains le tripatouillaient… et ce fut Finarfin qui partit en premier, crachant son sperme et cinq jets puissants tombèrent dru dans le couloir. Accroché aux burnes de Kris qu’il triturait, il plongea en gorge profonde et celui-ci se bloqua d’un coup, releva la tête et poussa un cri de jouissance, son sirop d’homme arrosant le gosier qui l'avala comme du pur nectar. Le père Noël donna deux derniers coups rageurs et dans un long râle, envoya la sauce au plus profond des entrailles accueillantes !

Le petiot s’écroula presque quand les raideurs perdirent de leurs vigueurs et le quittèrent. Kris le cueilli dans sa chute et, tendrement, lui roula une pelle à la saveur de son propre jus.

Papa Noël ayant repris souffle, vint leurs faire un câlin puis s’engouffra précipitamment sous la douche, réfléchissant au bobard qu’il allait servir à la mère Noël pour son retard !

Sa toilette ne prit que quelques minutes, les deux attendaient de prendre sa place en se faisant des papouilles et à leur âge, les batteries se rechargeaient très vite. Douche finie, Papa Noël fit une pichenette sur leurs turgescences revenues, dures comme l’acier et sorti en riant.

***

Si les coups de canif paternel restèrent un secret bien gardé, les amours de Kris et Finarfin éclatèrent au grand jour trois mois plus tard… après une sortie du placard auprès des parents (papa n’était pas sensé le savoir) ils firent une entrée remarquée dans les ateliers, mains dans la main, doigts entremêlés et dès que tous les regards furent sur eux, ils se roulèrent le patin du siècle, l’affaire fit le tour du village en moins de 24 heures et, excepté quelques vieux lutins rétrogrades, la plupart des elfes furent heureux pour eux.

Effet collatéral ; d’autres elfes firent leurs C.O. au fil du temps et la vie repris son cours !

The end !

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