Depuis mes hauteurs je vois leurs flammes, elles brillent, c'est si fébrile. Telles des chandelles aux lueurs vacillantes elles se consument.

Est-ce leur vie ?

Réchauffent-elles leurs coeurs et leurs âmes ?

Permettent-elles d'aimer ?

J'ai beau regarder je ne vois pas la mienne. Mais j'aime les regarder danser. Je suis pourtant la seule à pouvoir voir cette valse atypique. C'est comme une immense explosion de feux de Bengale qui ne s'arrête jamais. Une agréable chaleur s'en dégage.