Excuse

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Non, je n'ai pas fini de peindre la fenêtre...

Car le chat voyez-vous m'en a juste empêché :

C'était l'heure sacrée de sa troisième sieste

Et il ne dort jamais, jamais sans ronronner.

Il m'a dit à l'oreille des tas de jolies choses

Avant que de glisser dans les bras de Morphée,

Étirant de plaisir ses dix coussinets roses,

Et confondant ma joue avec un oreiller.

Il dormait si profond sous ses paupières closes,

Son rêve était si doux, son repos si parfait !

Si tendre est la candeur que le sommeil dépose !

Auriez-vous eu le cœur, vous, de le réveiller ?

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