C'est l'histoire de Mohammed Rassoul GUEYE. Son père est mort lorsqu'il avait 17 ans lui laissant avec ses deux frères jumeaux Assane et Ousseynou, sa sœur Fatima Binetou Mohammed et sa mère Maïmouna DIALLO.
Etant l'aîné, parviendra-t-il à réussir ?
S'en sortira-t-il ?
Venez tous découvrir La vie de Mohammed Rassoul après la mort de son père

En persévérant, la barre de fer devient une aiguille

Je voudrais relever ce défi
oh! l'amour ça tue
venez découvrir coup de foudre de Bakar le barhamien
merci d'aimer, de critiquer positivement ou négativement et de partager
Ravi de vous rencontre...

C'est un poème écrit par Bakar le barhamien pour rendre hommage à Georges FLOYD.


Paix à son âme.

En carence d'inspiration,
Visage en crispation,
Plume en constipation,
Se met en action,
Avec plein d'abnégation,
Pour retrouver l'inspiration.

Mille et une rose,
Pour ma passerose,
Qui me dose,
Avec du saccharose.

Bonjour frère, c’est ici la demeure de Bineta ? Demandais-je surexcité à l’idée de voir ma dulcinée.
Oui frère, elle habite ici. Me répond-il l’air un peu vexé et j’ai su qu’il ne voudrait pas que je vienne ici.
Ok ! Frère, merci. Peux-tu me l’appeler, s’il te plaît ? Le suppliais-je en joignant mes deux mains envers lui.
Mon frère, tu sais, notre père est un ancien militaire retraité et tu connais mieux que moi les anciens militaires, ils ne badinent même pas à ce qu’un garçon vienne rendre visite à ma sœur. Désolé, mais je ne peux pas.

Dimanche matin,
Je me lève du lit,
Et entends des bruits étranges,
Je demande c’est quoi ?
Ma mère me répond :
Mon fils, où sont tes yeux ?
Tu ne vois pas qu’il pleut ?
Tu n’entends pas le bruit des tonnerres ?
Oh quel dommage,
Moi qui devais partir réviser,
Je ne vais plus y aller,
Oh la pluie a tout gâché.

Le premier décembre 1944, se déroula le massacre de « THIAROYE 44 ». La France, mère patrie, a rapatrié ses soldats africains communément appelés « les tirailleurs sénégalais ». Ces derniers, manifestant pour le paiement de leurs indemnités qui leur était promis depuis des mois, les citoyens français leur ont proposé un autre accord de paiement contraire à celui qu’il leur avait promis, mais vu leurs compagnons de guerre français et leurs compagnes africaines, ils ont refusé à celui-ci. La France voulant leur montrer de nouveau sa dominance, prends les armes, et prêts à égorger ces braves fils de l’Afrique qui se sont battus pour la gloire de la France. Ces derniers, insouciants qu’ils étaient, laissaient flotter l’étendard de la France au milieu du camp au moment où les bataillons français féroces ont tirés sur eux d’énormes boulets de canon les divisant en sillons, coupant leurs bras par ci, leurs pieds par-là et laissant d’énormes tâches de sang dans leurs lits et un camp de THIAROYE sanglant. C’est là une vraie tyrannie. Amener des habitants de la campagne pour qu’ils combattent pour vous et après au lieu de les payer, les bombarder.

C'était un samedi, au lycée technique, notre professeur de PC est rentré en classe et a retrouvé deux élèves en train de se bagarrer. Il l'est interromps et leurs convoque dans son bureau.
Je l'ai suivi jusqu'au pas de la porte et ils sont rentrés là dedans et l'ont fermé par clé.
J'ai entendu le professeur leurs demandait, qu'est-ce que vous foutez comme ça, à se bagarrer en classe comme des enfoirés.
Et
un a répondu Monsieur, c'est lui qui a commencé, il s'est assit à ma place je l'ai dit de pousser ses fesses et il ne m'a pas répon
du.