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Steamy

Dissimulation d'une part de moi-même.

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Œuvres

Steamy

Aujourd'hui, Alice débute sa nouvelle vie.
Tout commença il y a neuf ans. En cinquième, elle se retrouva dans une nouvelle classe d'individu bien différent d'elle. Elle rencontra la nouvelle fille de sa classe, petite, semblant être très gentille, et par la suite une amitié entre elles se créa. Au fil du temps cette amitié grandit au point de sembler être l’amie de tous les temps. Un autre jour débuta, Sarah et Alice se virent, et comme chaque matin ce ne fut qu’embrassade et câlin. Mais elle semblait différente des autres jours.
C’est alors à la pause du midi que l’attitude de Sarah se mit réellement à changer. A l’inverse de ce qu’elle faisait, elle se mit à parler avec un groupe de garces en regardant directement Alice, restée elle, seule dans un coin. Ne comprenais pas ce qu’il se passait, Sarah se pointa devant elle, le regard fermé, froid, et lui dit sans rien ajouté d’autre “Je ne veux plus que l’on soit amie.”
Choquée et sans voix, Alice regarda Sarah s’éloigner comme un rêve s’évaporer au réveil.
Elle décida de rentrer chez elle, à dix minutes de son collège. Sur le chemin, elle ne pouvait s’empêcher d’entendre les parole prononcées par son amis, qui tournaient et tournaient encore dans sa tête. Arrivée chez elle, elle comprit qu’elle devait en parler pour essayer de comprendre et alla rejoindre sa mère. Ce n’est qu’une fois devant sa mère qu’elle réalisa qu’elle était bien seule. Sa mère elle, enivrée par la douce eau dorée… Alors en plus d’avoir perdue une amie, elle devait affronter seule sa vie de famille, encore une fois.
Elle courut s’enfermer dans sa chambre ne voulant pas en voir plus et se mit a pleurer. Elle se vida de tout, ou du moins essaya. La seule personne la comprenant était maintenant partie loin d’elle.
Le lendemain soir, elle rentra, fila par la cuisine à son habitude pour ne pas voir sa mère et ses déboires de la boisson. Mais ce soir la, en plus d’elle, son père rentra. Celui-ci fatigué de sa semaine, se retrouve furieux de l’état de sa femme à 16 heures, ivre morte dans le salon.

Elle entendit un appel, c’était son père qui lui demandait de venir manger. Mais ce fut une erreur d’y aller. La mère d’Alice, en plus de son penchant alcoolique, devient insupportable et assez violente. Celle-ci prit d’un accès de rage, ou juste trop bourrée commença à taper son mari. Malgré l’envie de riposter il se contient sachqnt très bien qu’il pouvait à tout moment lui broyer un bras.
Alice arriva au mauvais moment… Il préféra passer ses nerfs sur Alice. Oui sur sa propre fille. trois, cinq, dix coups sur les bras d'Alice qu'elle réussit à lever à temps pour protéger son visage. En trombe, elle partit en courant et s'enferma dans sa chambre.
Elle le sait très bien que ce n’est pas la faute de son père… Mais simplement celle de sa mère, étant l’épicentre des violence familiale. A ce moment précis dans sa tête, Alice pensa à disparaître aux yeux de sa mère et à ne plus la considérée en tant que telle. Mais ce souhait ne fut pas passagé, et resta ancré au fond ‘elle jusqu’à qu’il devienne réalité.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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