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Les maux d'Or Ro Re

Les maux d'Or Ro Re

J'ai tant voulu,
J'ai tant voulu, j'ai tant voulu, (refrain)
Guérir tes profondes blessures
J'ai tant voulu, j'ai tant voulu (refrain)
Je t'ai porté à bout de bras, autant que j'ai pu,
Et, de tes fêlures, quand mon cœur en saigne,
Transpercé, je porte alors ma croix,
Sens-tu son sang, couler en tes veines ?
Autour de mon cou, Saint-Benoît,
Mes mots alors, te viennent-ils, que te disent-ils ?

J'ai tant voulu, j'ai tant voulu (refrain)
Cicatriser tes profondes entailles
Avec la lumière de l'aube du jour
T'aimer plus que le Ciel lui même
Panser ton Âme, ses failles,
Puis, de baisers se noyer, délicat poème,
Sentir, sur mon visage un peu d'amour, soufflé,
Le Soleil est si beau,
Je m'accroche à son plus vif rayon
Pour, traverser ce pont
J'ai tant voulu, j'ai tant voulu (refrain)
Moi, revêtir "Mariale"
Pour Toi, ma robe astrale.
De mon sourire, j'écraserai tout mal,
Mais les anges, tu sais, on ne les loue pas,
Ils servent l'Éternel,

Pourtant,
Je voudrais tant, je voudrais tant,
Un jour, paisible,
Goûter moi aussi, ce fruit de l'Amour
Et, croquer à deux de beaux jours....
A. P.
Musique à apprécier :
Waltz of the rain (Chopin)
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Les maux d'Or Ro Re

Si je pouvais te dessiner,
De mon doigt effleurer ton visage
Gommer de tes joues tes peurs au passage,
J'utiliserais la palette du ciel pour te fixer,
Pour que tu m'apparaisses en plein jour
Innonde de lumière "Omri" "Amour",
Les couleurs des souvenirs,
Sont celles des enfants
Qui lorsqu'il il fait beau temps,
Jouent à la craie en riant de plaisir
Je me souviens avoir gravé ton nom
Dans l'écorce de mon Âme,
Nos deux coeurs à l'unisson
Nous ne fesions qu'un, ma flamme,
Mes mots roulent sur le papier
Valse, valse ma nostalgie,
D'un geste t'esquisser
Bel astre de ma vie,
Le pinceau de mes pensées
Vers toi en une ébauche étoilée,
Pour que tu m'apparaisses en plein jour
Innonde de lumière "habibi" "Amour".
A.P
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Les maux d'Or Ro Re

Dans tes silences,
Dans tes silences
Il y a
Lécho de ta voix
Où je m'y noie
Dans tes silences
Il y a
Le feu de l'Amour
Un billet aller-retour
Dans tes silences
Il y a
Les peurs et les doutes
Ceux qui nous déroutent
Dans tes silences
Il y a
Nos plus belles chansons
Agréables frissons
Dans tes silences
Il y a
Un quai, un aérogare
Échange d'un regard
Dans tes silences
Il y a
L'attente et la passion
Défilent les saisons
Dans tes silences
Il y a
Nos désirs de voyage
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Dans tes silences
Il y a
Cet Amour qui m'appelle
Clocher teintant d'une chapelle
Dans tes silences
Cest tout ton être qui résonne...
A. P
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Les maux d'Or Ro Re

À celui qui...
À ma petite étoile,
Celle qui m'attend quelque part...ici ou ailleurs.

Elle éclaire mes nuits
Combat mes insomnies,
Aussi lointainne qu'elle soit
Elle me guide, elle est toujours là,
Elle est ma destinée, m'a été attribué,
Présente, depuis que je suis née,
Même si mes yeux ne peuvent la voir
Je la ressens vive, me réchauffer,
Étincellante en mon cœur d'enfant
Calme mes plus grandes peurs,
Rayonne comme un soleil
M'encourage aussi,
De sa lueur, souvent me console
Me donne de l'ardeur,
Par sa pure clarté
Éloigne les chagrins,
Chasse l'ombre et le malin
M'a appris qui je suis,
Et lorsque, au petit matin,
Elle disparaîtra,
Moi, je sais qu'au couchant,
Elle renaîtra
"Mon Étoile"
Alors j'ouvrirai mes bras
Déclarer mes sentiments,
Ensemble on dansera
Dans l'immensité de Notre Ciel,
Sous nos pas étoilés, puis,
A la lueur du jour,
Éos brodera d'or, son nouvel ouvrage
Et, on observera à lhorizon,
De l'aube, éclos de notre union,
Un gracieux papillon
S'élever léger
Gorgé de liberté,
Ensemencer la paix
A tous ceux qu'il croisera sur sa route
Il contera cette histoire peu ordinaire,
Celle d'une petite fille et de son étoile mystère...

A. P.
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Les maux d'Or Ro Re

*En réponse à mon poème "J'ai tant voulu" *
Je ne suis pas de celles,
Je ne ne suis pas de ces" Donzelles"
De Télé-réalité, ultra-maquillées,
Sur talon aiguille, provocateur décolleté,
Coiffées de pacotille,
Faux or, qui brille
Aux attributs synthétiques,
Manequins gonflables, usées, Silicon Valley,
Dépourvues de l'esprit Saint,
Non, je ne suis pas de celles,
Qu'on déshabille pour un soir
Poupée souillée, mouchoir, prise dans le noir,
Sur de la soie, que l'on aligne,
Puis balayée, jetée dans le vide,
Se joue là une mise en scène de désespoir
Ô
Devenir une coquille sans vie
Quelle glaciale tragédie !
Mortel ennui

Je suis bien plus fine
Qu'une factice bague au doigt
En or, plaquée..
Je suis une femme, en lien vertical,
Née, de rosée
Auréolée,
Fruit, d'une belle promesse,
Le voile, Marie, à l'aube,
Éternel, me l'a donné
Je suis la lune blonde
Naïve de Pureté,
Transparente de vérité
J'aime la loyauté, 
Sur mes lèvres, se lit la candeur,
En mes yeux, ce Bleu du Ciel,
Mon cœur, tendre miel,
"Je suis d'Esprit plus que de Chair"
J'aime y voir Clair
Que, tes actes soient louables
Des biens, j'ai appris à m'en défaire,
De ma bouche, des baisers de poésie
Parce que oui, j'aime les mots,
Ces ressentis, joliement, dits
À mon chevet,
Les plus beaux Psaumes,
Guidée, par les Saints et les Prophètes,
Ceux, que l'on respecte
Extraire de leur courage, cet exemplaire ténacité,
Qu'ils nous servent au moins à tous de leçon !
Que leur mort ne soit pas restée vaine
Mon pur flambeau  "Amour", toujours,
Comme étendar, mon bouclier,
Mon drapeau
Alors pour vous, qui lisez,
Tel un hymne, je vous le porte,
De sorte,
Que vous n'oubliez jamais, d'où vous venez,
Car,
Ô
Maintes fois, sur mon chemin,
Rusé, le malin, des erreurs, oui, j'en ai commises
En larmes, j'ai trébuché, comme écorchée vive,
Saignée aux quatre veines,
Lame aiguisée de lourdes peines
Fardeau des Bleus parsemés
Ô mon Dieu, tant de larmes versées
Mise, à de si rudes épreuves, étirée pour toute une vie,
La souffrance est ma sœur
Je la connais tellement par cœur
Puis je me souviens , un dimanche,
Après, la pluie,
Une Belle Âme, Trésor de réconfort,
Une douce éclaircie,
Enfin, un souffle nouveau dans ma vie,
M'a souri
Comme, une Miséricorde Divine, mon pèlerin a été mon Salut,
A aspiré, ce poison injecté d'un vil serpent,
Mon Âme alors confessée
Me, voilà purifiée, née "Or, Ro Re"
Maintenant, grâce, à toutes mes douleurs
Mes épreuves
Le mal je n'en ai plus du tout peur !
Loin, de moi toute haine,
Adieux rancœurs
Alors, pour tout cela,
Père, voici de mes entrailles
Mon profond merci
La vie, est un véritable défi
Une longue quête aussi,
Le chemin est fort sinueux, si étroit,
Pour se rendre vers Tes Cieux
Mystérieux,
Le Ciel a ses propres plans
Il donne puis il reprend, mon pèlerin parti,
A fait de mon Être une douleur
Perpétuelle
Vive et brûlante
Mon cœur au fer rouge, de sang,
Marqué, chauffé à blanc,
J'écris
Ô
Et pourtant, et pourtant,
Je rêve de goûter
Enfin, à de beaux et paisibles jours,
À deux,
Dans l'amour, suspendus à ses pleines Valeurs
Ô
Jamais je ne recule !
Parce que, ce qui est Divin,
Demande parfois beaucoup de sacrifices
Nous possédons tous la clef de notre propre portée
En nous, cette graine de bonté,
Cachée, est notre part de divinité, à nous de la chercher
En cet édifice
Pour toujours fixer nos yeux, au Ciel,
Du tableau, les gris nuages, les dégager,
Trouver en nous cette force, ce courage,
Essence ciel
Pour ascensionner
À mon oraison, à l'heure de mon jugement,
Lorsque mon coeur sera sondé
Mon Âme, délicatement pesée,
Par Saint Michel-Archange,
Pour peu, je voudrais aller au moins au purgatoire
Au mieux, dans cet Eden
J'ai déjà choisi le chemin à suivre
Car, je les ai vu défilés, ces pauvres égarés,
Vers les flammes du supplice, où règne la fureur,
Alors,
Observe mon image
Je te donne d'un sourire,
Mon cœur transpercé
Prend le,
"Bénis sois-tu" , celui qui sait me regarder au travers,
Sur ton front, un tendre baiser,
Venu du ciel, j'y dépose,
S'envole vers Toi comme une prière,
Un jour, tu comprendras
Tu sauras pourquoi.
Aurore P.
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Défi
Les maux d'Or Ro Re

Éphémère,
Je te fais confiance Seigneur
Tu connais trop bien toutes mes douleurs
En ta lumière, je te remets mes interrogations,
Tu connais toutes mes désillusions
Moi, si petite face à Toi
J'ai trop voulu parfois ,
Avoir le contrôle sur ma vie
Irréalisable défi, je l'ai bien compris,
Le Beau, m'a toujours été repris
Je ne sais pas si j'aurais cette chance
De sentir la caresse, d'un baume réparateur sur mes souffrances,
Je ne sais pas si j'aurais un jour, ce réconfort,
De bras aimants qui m'étreignent fort
Recevrais-je, un jour ta Grâce,
Celle, d'un doux baiser lentement déposé
Béni, sur mes lèvres rosées,
Ma chevelure défaite, au gré du vent,
Danse amoureuse, chante la joie de deux enfants,
La tendresse d'une main encadrant mon affable visage
Je ne sais pas ce que tu attends vraiment de moi
Parce que, je ne suis rien, sans Toi,
En ma chair, ce glaive à la place du cœur,
Qui s'enfonce chaque jour en profondeur
La source s'est tarie, trop de larmes versées,
L'encre de mes yeux bleus s'est asséchée,
Crucifiée maintes fois, lourds sont mes fardeaux,
Alors, après tout, peu importe mes maux,
À mes côtés, ma croix, tu la porte déjà,
J'ai appris à m'oublier, pour te laisser ta juste place,
Parce que, mon Amour pour Toi, mon Roi,
N'est pas éphémère.
A. P
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Les maux d'Or Ro Re

Démodée,
Je suis un peu démodée
Avec un style,
Me direz-vous
Particulier
D'une autre époque,
Jadis,
Je suis née,
Un peu rétro
Vintage dans mes idées
J'abhorre
Les jeans serrés,
Je préfère les jupes crayon
Droites
À ceux, des pantalons
Ces adorables robes d'antan
Qui mettent le corps de la femme,
En valeur
La respectent dans sa féminité
Je chéris les poèmes
Les mots de Baudelaire et de Verlaine
Ceux qui parlent à l'âme,
Et qui, subliment la femme
L'honorent dans son intégrité
Je suis un peu démodée
D'un trait de liner noir
Mon œil est tracé
Poupée fardée
Aux yeux de biche dessinés
Habillée d'un col claudine
Dentelle ajourée,
J'affectionne les déclarations d'amour
Chaussées de ballerines
Nœuds et pois
De ces ravissantes années,
Où, la femme savait être belle
Élégante et gracieuse
Telle, une dulcinée attendant son bien-aimé
Dans sa Pureté,
Comme le papillon irisé
Au coin d'un cerisier
Je suis un peu démodée
Avec un style
Me direz-vous assez particulier...
A. P.
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Les maux d'Or Ro Re
"Salut", Une par une, je les ai regardées partir Sur leur chemin, Ces âmes qui m'ont fait grandir En mon destin Moi, la fillette étourdie Qui parle à Dieu dans son lit, Celle qu'ici, on oublie Dans la distance, lui m'a appris Puisse son regard me porter Encore un peu me retenir, J'ose espérer Garder de moi un beau souvenir "J'espère pas trop mauvais " Comme chantait ici Dassin, N'avoir aucun regret D'avoir tendu un jour la main A. P Pour partage : "Salut", Joe Dassin https://youtu.be/FkowbVrNHyc
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Les maux d'Or Ro Re
Poésie co-écrite en collaboration avec la sensibilité d'Orion. Bonne lecture.
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Les maux d'Or Ro Re
Poème écrit conjointement avec l'élégance de la plume d'Orion. Bonne lecture.
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Les maux d'Or Ro Re
J'ai toujours recherché la musique Celle qui parle a l'âme, Profonde et féerique Transporte mon cœur, l'enflamme Piano, guitare ou bien violon Me caressent en accord, Douces notes sur partition Le tempo glisse en mon corps Drapée par la symphonie du ciel Je retrouve alors mes ailes, Sa mélodie me ramène vers elles Voix angéliques de l'éternel Paradis de mon être, fusion du son, Cette douce pulsation, M'enveloppe de frissons Érectiles sensations Transforme mes maux Pour un divin langage, Sur une portée, toujours plus haut En demi-soupir, quel voyage Détachée de terre, je me balance Dans l'intervalle, De ses fréquences Au rythme passionné de sa ballade A. P
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Les maux d'Or Ro Re

Papillon des beaux jours,
Trouvé là un matin, presque sans vie,
Mon petit éphémère, dans le salon,
Tu avais trouvé, Machaon, abrit
Si fragile, graciles ailes paon
Alors, du bout des doigts, délicatement,
Dans la paume de ma main, je t'ai mis,
Prenant surtout soin, de ne pas te blesser,
Tendrement, je t'ai caressé
Ton empreinte adaline
Pour cadeau, tu m'as laissé,
Transparente douce poudre fine
Surprise, j'ai été, lorsque tes petits yeux moirés,
Se sont ouverts, m'ont transpercé le coeur
Papillon tu m'as bouleversé,
De ton regard en profondeur,
Mon Âme, tu l'as sondé..
Puis, sur un coton de Ouate, je t'ai posé,
Imbibé, nuage de liquide sucré
Pour reposer tes ailes, abîmées,
Que tu reprennes vigueur, te soigner,
Tu as pris le temps de te nourrir
Paré de tes antennes, beauté sensorielle,
Dansent, tels deux rayons de soleil
Si heureuse, j'étais de t'accueillir
Tu es resté quelques jours, à mes côtés,
Me suivant partout dans toutes les pièces
Me tenant compagnie, jolie alchimie,
Dans la pénombre sur un mur, veilleur de mes nuits
Gardien de ma solitaire insomnie
Maintes fois j'ai essayé de te rendre, ta liberté,
Fidèle près de moi, tu as été,
Et puis, un beau jour, je t'ai trouvé recroquevillé,
J'ai compris bien après,
Que, tu m'avais choisi comme tombeau
Bien avant, que tu ne meures
Ton Âme papillonnante a rejoind la source
Du rivage, au-delà, ta vraie demeure
Sur cette jolie fleur, pensée, tu t'es gravé
Virevoltant tu es revenu en mes rêves
Me faire un signe, comme pour me remercier
Maintenant je sais, où te trouver
Puisque je te connais.
"... Nous sommes Poussières dans le vent.. "
Suggestion associée :
"Dust in the wind" , Scorpions
A. P.
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