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desbordante_imaginacion

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Peur, frissons, chair de poule...

Tout ceci peut il conduire à des hallucination? Jusqu'à en devenir fou?
Comment une simple soirée peut virée au cauchemar?
Comment ne pas douter de soi-même?

C'est ce que va vivre, en parti, Anna, une adolescente dont la vie qui était calme, va se transformer...
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Défi
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Les contes, nous les connaissons tous tel qu'on nous les a raconté. Ils sont dans nos têtes, ce sont des classiques. Alors dans ce défi, il s'agit de le renouveler et de le moderniser. J'ai choisi le vilain petit canard.

Amanda est une femme célibataire et qui plus est, enceinte. Alors qu'elle pense attendre un seul enfant, elle découvre qu'elle attend des jumeaux. Mais il y en a un des deux qui est assez...spécial...
Une petite aventure au coeur de Londres, une histoire qui sauras vous attendrir...
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Défi
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Un poème d'amour qui je l'espère suscitera vos émotions
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Défi
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Je me suis inscrite sur Scribay avec un but simple : publier ce que j’écris. Car au fond, qu’est ce que fait un auteur quand il publie ?
Il veut partager. Je ne me dis et ne me pense pas auteur. Mais je veux pouvoir avoir l’honneur de partager ce qui se passe dans mon esprit. J’ai envie de partager des histoires qui me donnent du plaisir lorsque je les écris. Mais je veux aussi transmettre. Transmettre des histoires qui seront lues, et qui feront plaisir. Transmettre des émotions à travers des mots. Je trouve ceci totalement fascinant. Avec seulement des mots bien choisis, bien utilisés, on peut faire vivre des images dans les esprits. Émouvoir parfois jusqu’au larmes, donner des frissons, faire rire, faire douter…C’est fou ce que l’on peut faire rien, simplement avec de jolies phrases, qui ont un sens. Il suffit parfois de quelques mots, pas beaucoup, juste assez, pour faire comprendre le plus profond. C’est ce qui me plaît, c’est ce que je souhaite être capable de faire.
On peut aussi faire vivre des personnages, auxquels les gens peuvent s’identifier, trouver des ressemblances, et se sentir proche d’un être qui n’est pas réel. On fait vivre leurs aventures, leurs problèmes, leurs joies, leurs peines... C’est à ce moment qu’il y a une parfaite osmose entre personnages irréels et personnes humaines, ne cherchant peut-être rien, mais ayant trouvé un grand réconfort. Dans n’importe quel type d’écriture, il est important de captiver son lecteur. Avec une bonne histoire et de bons personnages, l’immersion se fait plus facilement, et c’est comme cela que l’on aime prendre part à l’histoire, que l’on a envie de savoir la fin, et que l’on sait que c’est une bonne histoire. Mais pour être capable de ça, il faut avoir le talent de manier et de bricoler les mots ensemble, dans le but d’écrire, pratiquement à la perfection. C’est un talent qui s’acquiert et que j’espère un jour obtenir.
Écrire c’est aussi un pouvoir que certaines personnes manient à la perfection. Et je voudrais trouver comment, moi aussi, je pourrais trouver ce don, ce génie. Je voudrais qu’un jour des gens me regardent droit dans les yeux et me disent qu’ils ont adoré lire ce que j’ai écris, qu’ils se soient plongés corps et âmes dans une histoire qui provenait de mon encre. Je voudrais que ce travail aboutisse et donne du plaisir aux gens. Certains écrivent pour l’argent, moi j’écris parce que j’aime ça depuis toujours. Grâce à une personne en particulier qui m’a encouragé.
Et pourquoi pas, un jour, aider quelqu’un à mon tour… La personne qui m’a aidé et celle qui m’a fait prendre conscience que j’aimais faire ça. Elle a su trouver les mots justes. Elle m’a dit qu’il fallait que je continue, et elle m’a appris le plaisir d’écrire, de partager, de transmettre.
Aujourd’hui, écrire est devenu pour moi plus qu’un passe-temps, c’est devenu une passion. J’aimerais que mes écrits plaisent, même si ce n’est pas à la terre entière, seules quelques personnes me suffisent.
Mais écrire est devenu avant tout un besoin. Je peux m’échapper, me défaire de certaines pensées. Je retranscris, par de simples phrases, les émotions violentes qui me saisissent. Je me libère, j’évacue grâce à ça. C’est aussi ce qui me plaît, cette liberté d’écrire ce que je veux, que je sois heureuse, triste, énervée, ou même au bord du gouffre. C’est ce qui me sauve. C’est ce qui me maintient. J’en ai besoin, d’une certaine façon et j’aimerais aujourd’hui en écrivant ce petit texte, que ma motivation, ma passion et mon envie me permettent un jour de pouvoir vivre de l’écriture, pouvoir vivre de cet art somptueux.
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Défi
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 Et si on imaginait une seconde, le temps d’un court instant sa vie sans son téléphone dans sa main, à survoler le plus de réseau sociaux possibles ?
Très peu de gens en sont capables, vous voulez que je vous dise pourquoi ? Parce que nous sommes dans une société où il est devenu indispensable de vivre avec eux. On ne peut plus s’en passer ! Nos enfants grandissent avec eux… Ils évoluent avec eux...
 Au début, seuls quelques uns d’entre eux apparaissaient, peu de gens les connaissaient. Aujourd’hui ils ont dépassés leur statut de « mode ». Les jeunes se jugent à partir des comptent qu’ils se fabriquent. Ces réseaux deviennent leur image, certains en font bon usage, d’autres trouvent judicieux de dévoiler leur vie et leur corps nu, l’instance de vie privée n’existe plus. Certains de ces ados persécutés par ses réseaux se suicident car les regards étant déjà lourds, les actes violents, les paroles abusées accablent leur moral et certains préfèrent rejoindre un monde de paix, que d’affronter ces autres qui, sous l’anonymat, se croient au dessus de tout, sous une protection aussi légère qu’invisible et sombre, clairement inefficace. Puis en regardant généralement, on s’aperçoit vite qu’ils nous coupent du monde. Et ben oui, les familles à table ne se parlent plus mais échangent des messages, des photos. Plus qu’un silence étourdissant qui règne pendant un repas si plat, si froid… Et puis, à quoi bon sortir et voir ses amis ou bien même sa famille, quand ils peuvent exister virtuellement, pourquoi se prendre la tête à leur dire à quel point on les aime quand on peut, simplement, aimer et commenter une de leur photo.
 Alors vous allez me dire : « Nous sommes sûrs que tu critiques mais que toi aussi tu possède certains de ces réseaux sociaux, et que tu les utilises fréquemment ! ». Ceux à quoi je répondrai, je ne vais pas mentir, oui, même si je ne donne que de mauvais exemples, moi aussi je les utilise. Et malgré leur danger évident, ils peuvent aussi énormément aider. Oui je l’avoue. Mais il y a une différence entre les gens qui, comme moi, utilise ces réseaux sans en faire une priorité, sans me faire un sang d’encre quand je ne les ai pas consulter plus d’une journée, ou encore sans penser que ma vie se joue ou bien même se repose sur eux. Non. Non, merci. Les autres, eux aiment y décrire leur vie, même quand ils n’ont rien à dire, ceux qui se vantent en mettant en avant et partout leurs nouveautés, ceux qui montrent que leur vie est bien remplie et qui montrent ce qu’ils font ou avec qui ou avec quoi, ceux qui, comme la catégorie précédente, montre une vie bien remplie en se fabriquant des journées extraordinaires qu’ils ne vivent que dans leur rêves… Ce genre de personne, je ne veux pas le devenir, car ils sont emprisonnés sous ces comptes qui ne sont que des images qu’ils donnent. Je veux être libre, pas espionnée par des personnes malveillantes dissimulées sous de belles et inoffensives images avec des messages peu alarmants. Les gens ne réalisent pas toujours la dangerosité de ces réseaux qu’ils côtoient tous les jours, sans jamais ce soucier de rien, pensant que le monde est beau, qu’elle magnifique naïveté effrayante.
  Les réseaux sociaux ne sont néanmoins, pas à bannir, grâce à eux on peut retrouver des personnes que l’on avait perdu de vue, on peut rencontrer de nouvelles personne. Il y en a de toutes sortes avec des utilisations et des buts qui leurs sont propres. Faut-il encore savoir s’en servir raisonnablement en sachant comment faire et comment se protéger. Cela paraît banal à dire, mais trop d’utilisateurs oublient ces consignes simples et se retrouvent parfois coincés, pris dans un piège du quel ils auraient pu s’échapper, s’ils avaient simplement compris quelques détails de sécurité basiques.
 Je critique certainement par peur de ces réseaux dont on m’a vanter les périls, ou bien je récite machinalement le discours répétitif de personnes bienveillantes, étrangères au système de ces réseaux sociaux, essayant tant bien que mal de nous éloigner des dangers qu’ils ne peuvent maîtriser. Oui c’est peut-être cela qui, aujourd’hui, me pousse à vous raconter ce qui est mal, ce qui est bien, ou encore à vous faire la leçon à votre tour, pour vous mettre en garde. Ou alors, c’est peut-être que, sans y faire attention, je vous envoie un message subliminal pour vous avertir que votre vie n’est pas virtuelle, qu’elle se doit d’être vécue en profitant de chaque secondes que nous offre le temps. Que ce temps est si précieux qu’il ne mérite pas d’être sous-estimé et mis de côté par ces réseaux sociaux omniprésents dans la vie de certaines personnes. Que la vie nous offre de pouvoir avoir une famille et des amis, des gens à qui l’on tient. Elle nous donne quelque chose qui n’a ni prix, ni égal, et nous donne aussi le pouvoir de la parole pour leur dire à quel point on les aimes, et que ce n’est guère en aimant une photo, ou en leur envoyant un messages une fois par an qu’on leur prouve. Non, non et non. Mais des mots, des gestes, des attentions, tout cela en étant en face d’eux, profiter de les enlacer, de leur dire à quel point on les aimes. Sans utiliser un clavier. Sans leur parler à distance. Sans être seul. Sans attendre une réponse à travers un écran mais à travers les yeux.
 Les réseaux sociaux sont une invention de la science qui prouvent une intelligence sans mesure, un système pour ceux qui ne peuvent que se voir par ce moyen, parce qu’ils n’ont pas le choix. Cette création est propre au génie, elle relève un niveau épatant. Mais elles ne sont pas la clé qui ouvre sur la porte du jardin de la vie.
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