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Yannis chelabi

Yannis chelabi
Voici ma première œuvre ! Si vous êtes amateur de littérature fantastique j'espère que celle-ci vous plaira. Le bute étant de l'améliorer, j'attends vos commentaires avec impatience. Sur ce bonne lecture !
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Yannis chelabi
Suite de poèmes inspirés par différentes phase de ma vie.
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Yannis chelabi

C'est vrai ça ! C'est quoi la mort pour vous ?
Est-ce qu'il s’agit d'un repos éternel, dans un monde utopique, après une vie semée d'embuches ?
Ou plutôt l'arrivée d'un châtiment divin afin d'expier ses fautes ?
Ou, tout simplement, un arrêt des fonctions cérébrales et corporelles ?
Honnêtement je n'en ai aucune idée, mais, en tant que musulman, on m'a instruit qu'il s'agit d'un mélange des deux premières possibilités. Cependant, lorsque l'on évoque la mort dans une discussion, j'ai tendance à imaginer qu'il s'agit surtout d'un moment où l'homme ne se pose plus de problèmes ni aucune limite. Pour moi il s’agit d'un moment où, peu importe le nombre d'erreurs que l'on a commis, plus personne ne peut nous arrêter. Nous sommes alors à l'apogée de notre existence. Mais bon, ça c'est la vision poétique de la mort, car, si l'on se concentre sur une vision plus réaliste, je dirais que la mort se résume souvent à une nuque brisée sur le coin d'une table IKEA ou à une balle de 7,62X39 entre les deux yeux, pour les moins chanceux.
Vous savez, parfois, pendant la nuit aux alentours de 3h du matin, je pense à mon futur et me dis la chose suivante : "c'est dingue de vouloir en savoir tant sur son futur mais de pas être foutu de rattraper ses erreurs du passé."
Dites-moi ! vous pensez que c'est normal de penser comme ça ? Je pense que oui, ou plutôt j'essaye de me rassurer en me disant que oui. Et vu à quoi ressemble les pensées des personnes dites "normal" je pense que c'est bien mieux de penser comme moi.
hum... désolé cette dernière ligne était un peu mal placé.
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Yannis chelabi
Ce texte n'est que le fruit d'une réflexion personnel. Il représente la majorité des cas que j'ai observé et des cas différents existent bien évidement. Si vous avez une remarque, une reproche ou une insulte, l'espace commentaire est fait pour ça ! ;-)
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Yannis chelabi


Le tatouage est sans doute la forme d'art, qui joint la plume et le corps, la plus répandu à travers le temps et l'espace. Au-delà des frontières entre époques et contrées, il se fond dans notre quotidien et attire, à de rares instant, notre attention. Pourtant, ses significations peuvent être multiples et ses variations culturelles, elles, sont infinies. Simple effet de mode ou marque d'autorité, gratification ou appartenance à un clan.
En étudiant les peuples des îles du pacifique et plus précisément les polynésiens, on apprends que l'usage du tatouage est bien de marqué la dominance ou la soumission, face aux individus d'une même tribu. On observe, notamment chez les Maori, une différence concernant la manière d'être tatoué, selon la place que l'on se fait au sein du groupe. Les membres inférieurs ne possédant aucunes marques d'encre pouvait se voir interdire l'accès à la nourriture, tandis que les chef mâles et femelles, tatoués et ayant prouvé leurs valeurs, ont un accès prioritaire à la calorie.
Au japon, jusqu'à notre époque, les clans Yakuza pratiquent l'irezumi. Une pratique devenue l'étendard de ceux qui ont lâchement abandonné leur place au sein de la société, pour rejoindre la pègre. L'irezumi n'est pas tout à fait une marque d'autorité, mais bien celle de l'appartenance au groupe. Complété par des règles de vie avant de l'obtenir, il devient alors une gratification octroyer après décisions de l'Oyabun, le chef de famille.
L'humain étant un animale sociable, il est indissociable de la vie en groupe. Sa survie dépend de ses expériences acquises et du savoir-faire qu'il obtient tout au long de sa vie. Nos ancêtres ont très vite compris que la meilleure façon d'économiser du temps et des ressources vitales était, évidement, de joindre les forces de plusieurs individus. De là est née la confiance, le besoin d'une cohabitation, le ressentit d'appartenance à un groupe et par conséquent la marque d'identification d'un individu. Le tatouage est un exemple parfait de ce comportement. D'une simplicité déconcertante, il permet l'identification d'un membre du clan de façon permanente et indélébile, jusqu'à sa mort.
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Yannis chelabi
Découvertes : L’évolution positive du groupe (de sa situation calorique par exemple) ne peut être engendré que par la prise de conscience d’un individu. Celui-ci questionne son environnement et par la découverte, souvent dû au hasard, d’un mécanisme physique ou métaphysique, se permet d’améliorer son niveau de vie ; J’entends par là, qu’il l’utilise pour faciliter sa quête calorique et sexuel. Si cette découverte se montre belle et bien bénéfique, l’individu se trouve alors face à deux choix : -Conserver cette découverte pour lui et ainsi dominer le groupe par ses connaissances supérieures ; -Ou bien, la propager au sein du groupe pour permettre à ce dernier de s’élever, lui donnant la possibilité d’innover et de s’élever encore plus facilement dans le futur, par la mise au monde de cerveaux plus performants. Il est alors légitime de se poser une question : “Comment cette décision est-elle influencée ? “. J’ai donc décidé de poser cette réflexion sur papier pour en exposer les détails. D’abord, j’y décris ce que je pense être la dynamique évolutive qui a favorisé le partage au sein de certaines sociétés. Ensuite, je démontrerais en quoi la confiance est, à mes yeux, le facteur prin
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