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Yelen Fleck

LeCaméléon.
Yelen Fleck
Je ne sais plus pourquoi je suis là...
Je ne sais plus pourquoi je court...
Je ne sais plus...
Mais se dont je suis sur c'est qu'il faut gagner... et fuir...


Quand gagner devient vitale... on en oublie souvent le principale!



Désoler pour les fautes...
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Yelen Fleck
Plonger dans la folie d'un désespéré...
Etant moi même Guyanaise, se sont des textes qui me tien a cœur!!
Au plaisir de vous faire voyager.
désoler pour les fautes...
Le Caméléon
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Yelen Fleck
À l'âge de 10 ans Callahane, assiste a l'assassina de son père, cacher dans une armoire. Alors que tout le monde prône le suicide, elle sait qu'il n'en est rien.
Après le décès de ce dernier, elle est recueillie par Luc, alliasse le Phoenix, qui la prépare à devenir un "Agent Z".
15 ans plus tard, elle occupe le poste de son père dans l'illustre INSTITUE Z, en plus d'être un des meilleurs éléments, elle est aussi le leader des "Affabulateur", mystérieuse organisation.
Mais en plus d'hériter de bibelots sens grande valeur, sont père lui lègue aussi de vieux démons et, les ennuis qui vont avec.
O.P.A.L est une organisation secret, essentiellement baser sur la vente d'information, réputer pour avoir le plus grand réseau d'espions. Il y a 15 ans, un agent infiltrait a réussit a leur dérober l'une des liste regroupent les noms, noms d'emprunt et secteur d'activité d'une partie de leurs agents.
Bien décider a la récupérer, c'est une véritable guerre de l'information qui débute entre les deux institutions !
Course folle a la recherche de la vérité, du mensonge et contre le temps...
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Yelen Fleck
A la suit du défi " Chapitre I" que je propose voici le prologue en guise de sujet.
A vos plumes!!
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Yelen Fleck
Le temps passe...
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Yelen Fleck

Se demander de quelle manière nous mourons? Combien de temps cela prendra-t-il, avant que l'éternelle liberté soit notre? Dans quelles conditions? Si cela arrivera demain ou si la vie, dans sa grande bonté, décide de nous faire grâce de quelques heures comparables à des miettes de pain donnés aux pigeons que nous sommes. Ce ne sont pas des questions que nous sommes susceptibles de nous poser avant que le châtiment ou la libération, cela dépend de chacun, ne nous tombe dessus. Est-ce le volant qui nous coupe la circulation sanguine tellement il est serré ou l'alcool qui remplace en partie le sang dans nos veines, qui nous voleront notre essence vitale et notre chaleur humain? Ou un autre événement tout aussi insignifiant? Cela sera-t-il douloureux? Ou au contraire apaisant? Cela prendra-t-il une heure ou un jour?
Il ne viendrait jamais à l'idée de quelqu'un de «normal» de s'amuser à anticiper le jour de sa mort dans les moindres détails et encore moins de l'exposer au risque d'être classé suicidaire. Non, il ne me semble pas que l'on se pose ce genre de question avant le moment venu et quand bien même il est très rare, j'exclus les malades gravement atteints, que cela se passe comme prévu.
La Mort avec un «M» majuscule est imprévisible. Elle frappe à l'improviste ou, au contraire, prend plaisir à prévenir. Mais, dans son hypocrisie, se délecte de la nature humaine et de son dénie jusqu'à ce qu'elle s'en lasse et qu'elle commette son irréversible crime. Un crime qui ne peut être jugé par une quelconque justice, car après tout, qui peut prétendre juger «la Mort»!?!
Voici donc ma mort.
Le jour où ma vie a pris fin.
I
A ceux qui demandent si cela fait mal, je demande en retour: « Avant ou après? » .
Dans mon cas, «l'avant», cette innocente enfance dans laquelle je baignais fut douce. En revanche, la cassure, «le pendant», fut le commencement d'une longue torture. Quant à «l'après» je ne suis pas sûre qu'il puisse un jour exister.
A ceux qui se demandent ce que l'on ressent, je réponds que je qualifierai ça d'ascenseur émotionnel ou montagnes russes de l'émoi interne comme externe! Tout paraît si proche et si loin à la fois. Comme si votre corps interagissais une dernière fois avec la vie qui semble à jamais fuir.
II
La balle... C'est tout ce que j'ai vu. Filer et fendre l'air vers moi et moi seule, faisant abstraction de tout autre individu.
La balle et rien d'autre. Son sifflement et rien d'autre. En réalité, c'est la mort qui, inévitablement, se rapprochait. Dessus, on aurait pu lire mon nom gravé. Comme si les Parques, déesses de la destinée, avaient tissé un fil conducteur qui menait tout droit à mon cœur.
Et ce qui dû arriver, arriva... elle ne me loupa pas.
III
La douleur ne vous anéantit pas sur le coup. Vous tentez, désespérément, de rester debout, de rester fort et digne mais, bien vite, la réalité vous rattrape et vous vous mettez à tituber, à chanceler.
A tomber. Sans espoir apparent de vous relever. Vous criez à l'aide... cherchant de l'aide de n'importe qui mais personne ne semble vous voir n'y même vous entendre.
Vous avez chaud, vous transpirez comme si l'habitacle était trop serré, refermant ses griffes sur vous, vous étouffant. Seule. Vous tentez de tendre la main mais personne ne la prend. Petit à petit, le bruit s'estompe, se fait lointain et votre vue se brouille.
«C'est dans ce silence que seul vous percevez, vous entendez votre dernier soupir alors que vous vous éteignez».
Voilà comment cela aurait pu finir si nous étions dans un roman, mais non.
C'est ensuite le froid qui nourrit votre solitude. Votre chagrin. Votre douleur.
Votre oubli.
IV
Mais, avant tout cela, quand l'impact vous secoue si violemment que vous peinez à respirer, vous relevez la tête. Comme une obligation, vous cherchez qui vous a abîmé, qui, si violemment, a attenté à votre monde. Et, là, vous le voyez l’assassin de vos jours heureux qui vous toise du regard, qui vous nargue et vous délaisse. Cette même personne qui vous avait donné tout ce que vous avez. Vous la connaissez sans la connaître. Et, pourtant, elle est tout ce que vous êtes...
C'est la vie qui, ce jour là, a décidé de s'en prendre à moi...la vie...ma vie...
Et je suis restée là, dans les eaux froides du cruel sort qui était le mien avec cette impression de toujours tomber, de me noyer sans jamais parvenir à rattraper la blafarde lumière qui danse au dessus de moi.
Ce jour là, c'est la vie qui m'a tuée. La vindicative vie...
Alors, je suis ombre...
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Yelen Fleck
Voici une brève présentation de qui je suis...




Désoler pour les fautes...

LeCaméléon
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Yelen Fleck
Petit poème écrit sur le vif, pour un sans-abri.
Pour lui et pour tous les autres.
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Défi
Yelen Fleck
Je relève le défit!!! Je suis désoler pour les fautes d'orthographe
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Yelen Fleck
Je me suis amusée a poursuivre une phrases d'Arthur RIMBAUD.
A tout ceux et celle qui liront ce petite poème, dit moi en commentaire
où s'arrête le texte du grand poète et ou commence le mien!
On ne triche pas!!!
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Yelen Fleck

Je suis et ne suis pas.

Je suis la vie, je suis la mort,
Je suis l'amour et le malheur,
L'envie et la haine,
Je suis, en réalité, le seul ennemi de l'humanité,
Je suis la minute dans l'heure et l'heure dans l'éternité,
Je suis l'aiguille qui trotte et celle qui peine à avancer.
Je suis là, même dans le néant,
J'entends périr l'ennui de toutes ces nuits,
Je suis la raison pour laquelle le bonheur fuit,
Vous êtes ici pour être, devenir...pour mourir,
alors que moi, ma course ne s'arrête pas...
Je suis le désir tentant et l'inévitable oubli,
celui que l'on ne peut rattraper,
Il n'en sera pas autrement,
C'est moi qui vous mangerai, c'est moi qui gagnerai.
Jamais réparé, je suis celui qui donne la joie et qui la vole à la fois,
Je suis mensonge et illusion,
Illusion de liberté,
Je prends et semble ne jamais donner.
Je suis sujet de nombreux dictons et, pour toujours,
Je suis le maudit de vos éphémères vies...
Je suis...
Je suis et ne suis pas, tout-puissant, je suis le temps...

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Yelen Fleck

Je me souviens de toi...
Tu étais là, sans être là...
Ta pâleur, tes beaux yeux, tes longs doigts...
Ta voix.

Tu étais là, sans être là...
Tout était là...
Tout, sauf toi.

Tu étais là, sans être là...
Ton portrait était complet, mais...
Ton âme était, vers une autre tournée,
Et de ta présence, je n'ai pu que m'enivrer...

Tu étais là, souvenir du passé...
Tout comme deux aimants qui s'attirent, ton contraire, tu préfères.
Et moi, sur de belles eaux claires, larme des profondeurs de mon cœur, je dérive loin, loin de toi, en solitaire...



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