L'ennui au paroxysme, la vision de soi-même d'en haut, la personnification même d'un manque. L'idée d’un prodige, d'une oasis dans le désert est bien vague.
Mais sous la douce chaleur de ce soleil, je te souris, à toi qui donnas un sens à ma vie. Toi meurtrière me fit meurtrie, je ne suis que lasse de ces insomnies.

L'armure ! Un récit fantastique donnant une vision pessimiste des relations humaines. Donnez vos avis sur ce début !

Réponse au défis du marathon poétique

J'aime la comparer à une rose, belle mais pourvue de plus d'épines qu'il n'y parait, quand on se penche pour la cueillir son odeur nous enivre comme la drogue la plus addictive, mais la tenir trop prêt de votre cœur vous piquerait jusqu'à saigner
Elle est belle, peu me contredirait, des yeux d'un marron transcendant, on voit refléter notre âme jusqu'à dans sa larme tombée pour si peu. Son corps est harmonieux, est proportionné comme beaucoup l'on toujours rêvé. Ne remarque t-elle donc pas mes gouttes de sueur ? Et mon cœur battre si fort qu'on l'entend résonner dans tout mon être. Beaucoup la regardent, mais dans son déni elle le remarque si peu. Elle peut conquérir des hommes vaincre leurs fléaux, comme elles peut en détruire d'autres et être mère de tout leurs maux.
Sûrement que quand le manque sera trop grand, je me rejetterai dans son univers, et même si aujourd'hui, je m'y perds, demain, je serai grand, peut être assez. Qui sait ? Elle a tout pour elle, mais je comprends pourquoi beaucoup fuient l'amour de celle-là. De celle qui, si belle n'a besoin que d'un regard pour faire durer l'instant plus de cent ans. De celle que je fuis par peur de devenir trop mauvais et de ne pas arriver à égayer son été.
Elle me fait tant douter, de moi de mes vérités. Je me suis perdu je ne sais si ça sera bénéfique, mais elle en est toute l'origine.

Poème en réponse au défi sur le thème de l'Amour