Weliany Georges
Après pas mal de tours et de détours me voilà de retour.
Nouveau nom pour nouvelle vie, je me dépoussière l'imaginaire. Sans aucune idée des chemins à emprunter, j'embarque avec enthousiasme et volonté.
Si le chaos ne t'effraies pas, alors viens, suis-moi.
5
œuvres
1
défis réussis
26
"J'aime" reçus
Œuvres
(Iory est une courte nouvelle datant de 2014, préalablement publiée sur WP)
Tout était enfin prêt pour l'accueillir : la maison de poupée parfaite n'attendait plus qu'elle.
Iory avait appartenu à sa soeur avant elle, mais sa soeur n'était plus là à présent.
Tout était enfin prêt pour l'accueillir : la maison de poupée parfaite n'attendait plus qu'elle.
Iory avait appartenu à sa soeur avant elle, mais sa soeur n'était plus là à présent.
1
0
0
27
" La sueur dégoulinait le long de sa nuque, glissant entre ses omoplates avant d’imprégner le tissu déjà moite du siège conducteur.
Voiture de merde, pensa t‑elle en grinçant des dents.
Sur le siège passager, la manivelle de sa vitre la narguait. Sans décélérer, elle tendit la main pour s’en saisir et la retira aussitôt. Le petit bout de plastique noir était brûlant.
Une vive douleur lui martelait le crâne au rythme des battements de son cœur. Les rayons implacables du soleil de juillet la forçaient à plisser les yeux. Si bien, que la migraine, d’abord discrète, s’intensifiait à chaque kilomètre.
— Quelle conne ! grogna t‑elle en pensant aux lunettes de soleil qu’elle avait laissées sur le comptoir de la cuisine.
À sa décharge, elle n’avait jamais prévu tout cela."
Voiture de merde, pensa t‑elle en grinçant des dents.
Sur le siège passager, la manivelle de sa vitre la narguait. Sans décélérer, elle tendit la main pour s’en saisir et la retira aussitôt. Le petit bout de plastique noir était brûlant.
Une vive douleur lui martelait le crâne au rythme des battements de son cœur. Les rayons implacables du soleil de juillet la forçaient à plisser les yeux. Si bien, que la migraine, d’abord discrète, s’intensifiait à chaque kilomètre.
— Quelle conne ! grogna t‑elle en pensant aux lunettes de soleil qu’elle avait laissées sur le comptoir de la cuisine.
À sa décharge, elle n’avait jamais prévu tout cela."
14
14
31
13
Dès la naissance de Moomin j'ai bafouillé deux ou trois mots qui ont donné cette petite comptine. Parfois je vais plus loin, tout dépend de l'inspiration du moment (parfois on met en chanson sa journée passée ou celle à venir) mais ces 3 vers sont immuables.
8
17
1
0
Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
Parce que pour l'instant l'extracteur d'imagination permettant de mettre nos idées en images n'existent pas, alors il faut bien que je vide le trop plein.