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Le Professeur

Le Professeur
Eikichi Kudo, un jeune homme ayant grandis dans un temple, élevé par des moines, se retrouve au milieu de la ville, comment va-t-il s'en sortir ? Bonne question.
( Petit oubli de ma part... Les chapitres ne seront pas forcément sortis dans l'ordre Chronologique, parfois, un chapitre de la jeunesse ou du début des relations entre les personnages sortira après un chapitre plusieurs années dans le futur... Pourquoi ? Parce que mon imagination et ma créativités sont aussi aléatoire que les resultats d'une partie au casino ! )
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Le Professeur
Bonjour chers amis, cette oeuvre nommée Les Chroniques du Professeur est principalement le regroupement des histoires que j'eu écrit au cours de différents défis, plutôt que de les laissées en bazar, j'ai préféré organisé le tout. Et cela me permettra également de lui écrire de nouvelles aventures... d'ailleurs dites moi si vous aimeriez en apprendre plus sur ses aventures au delà de ses réflexions.
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Le Professeur
Dans un univers en conflit permanent, les Jeux Olympiens servent d'ordalie pour les différents panthéons. Askr, fils de Freyja, devra se soumettre à ces jeux cruels et en ressortir victorieux. Amitiés, amour, trahisons, le jeune homme saura-t-il survivre dans ce monde hostile ?
(Ceci est une réécriture de mon précèdent travail ' Askr's Saga ' que j'ai renommé et retravaille en ce moment même. N'étant jamais réellement satisfait de cette œuvre, je tiens à préciser quelle change régulièrement, parfois
un peux, ajoutant des choses par ci par la, parfois beaucoup changeant des passages entiers. Les chapitres sont à nouveau en cours de réécriture, les dernières modifications apportées sont au chapitre Famille. Je tiens également à préciser que cette réécriture rendra cet écrit bien plus violent.)
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Défi
Le Professeur
La France... J'aime ce pays, véritablement, de ses heures les plus tristes, aux plus glorieuses. Savez-vous d'où vient le nom de ce beau pays qu'est le nôtre ? France, ça veut dire pays des Francs, et Franc, ça vient du francisque et ça veut dire " Libre ", ne trouvez vous pas cela charmant ? Le pays des Hommes libres, y a-t-il plus belle manière de voir un peuple ? Je ne le pense pas. Un pays à la longue Histoire, l'un des plus grands pays de l'Histoire en fait, il a dominé le Monde par le passé, s'est inspiré des plus grands pour devenir LE plus grand. Mais le plus puissant est toujours le perdant dans l'Histoire. Les Romains ? À force de chercher à s'approcher du soleil, à chercher le progrès, ils se sont brûlés les ailes, ils sont devenus complaisants, faibles, ce pays que j'aime tant souffre de ce même problème. Le progrès le tue, les gens deviennent fainéants, combien d'entre nous pourraient survivre à une catastrophe naturelle ? Combien pourraient vivre sans électricité, sans Internet ? Combien d'entre nous sont capables de chasser ? Ou de couper du bois ? Je fais partie, à la différence de mon personnage de Professeur, de ces gens qui croient en la force, et qui pense que l
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Défi
Le Professeur
Mes amis, je souhaite que vous ne ferez pas que lire ces mots, mais en comprendrez le sens. Cette histoire est celle d'un homme qui a vu de nombreuses civilisations tombées. De nombreux mondes mourir. Des villes brûlées, des Hommes mourir. S'il y a bien une chose que l'Homme à travers le cosmos a toujours cherché, c'est le progrès. Un progrès qu'importe son prix. Sous n'importe quelle forme, n'importe quel visage, le progrès est le but, il est le parcours, et il est la récompense. Si les Humains cherchent ce progrès, ce n'est pas dans le but d'améliorer le monde, non, c'est pour le progrès. Une course folle qui le pousse à toujours plus d'idiotie. Sur Terre, la première, l'originale, les Hommes vivaient en quelque sorte en harmonie avec eux même. Évidemment, ils sont belliqueux par nature et se faisaient donc la guerre, mais rien qui ne les empêche de s'entendre. Drôle de concept n'est ce pas ? Les Hommes se battent, et pourtant, ils vivent en harmonie, cela n'a pas de sens, car cette race n'a pas de sens. Et la décision qui causa leur perte, en fut la dernière preuve. Alors que l'Homme avait colonisé jusqu'à la dernière place habitable de sa galaxie, La Voie Lactée ( Vous comprend
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Le Professeur

Le Temps... Quelle chose amusante, captivante même, presque autant que l'univers, l'univers, c'est un truc fou, si vous le voyez un jour... Enfin, quand vous le verrez, croyez-moi, vous n'en pas. Littéralement, certains humains resteront là-bas, enfin, techniquement, tous les humains y sont encore, c'est un peu compliqué.
Fermez les yeux, visualisez, des milliards de milliards d'étoiles, peut être même plus, tant d'objets, de créatures, d'étoiles, de planètes, tant de choses qu'aucun chiffre humain ne saurait les énumérer. L'infinité elle-même, et croyez moi, ça fait beaucoup l'infini, j'ai essayé une fois de l'atteindre... Ça m'a pris deux-cents ans, j'ai abandonné. Mais ce n'est pas le sujet, toutes ces choses sont si distrayantes. Je disais. Imaginez que vous marchiez sur l'une de ces planètes, de quelle couleur serait-elle ? Bleue ? Très bon choix, j'adore le bleu, ça fait ressortir mes yeux. Ensuite, imaginez ses arbres, à quoi ressembleraient-ils ? Est-ce que ce seraient des poiriers ? Ou des pommiers ? Je déteste les poires, et les pommes sont dégoûtantes. Combien de soleils a votre planète ? Un ? Deux peut-être ? Je déconseille les deux soleils, ça sonne bien comme ça, mais les nuits sont courtes, tout le monde doit dormir, même moi. Continuez, visualisez les bêtes, les arbres, la vie, visualisez le monde.
Maintenant, que votre monde est créé, imaginez-vous le fouler, n'est ce pas magnifique ? L'univers, n'est il pas magnifique ? Enfin, on arrive à la dernière partie de tout ça, le climax comme diraient les Anglais ! Sortez de chez vous. Observez le monde, levez les yeux, regardez le ciel, NE REGARDEZ PAS LES POIRIERS ! L'univers, est partout, autour de vous. Il vous ouvre les bras, qu'est ce qui vous empêche de le traverser ? Il vous suffit de fermer les yeux quelques minutes... Ou d'inventer un vaisseau spatial, mais ça prend du temps, en attendant, vous pouvez toujours fermer les yeux.
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Défi
Le Professeur
J'adore les films sur la Grèce Antique. En fait, j'adore la Grèce Antique, c'était classe, des guerriers hors pair, des philosophes, des poètes, des géomètres de génie, ces types étaient géniaux. Donc forcément, venus le Grand Moment, le premier film qui m'est venu à l'esprit, c'est Troy. L'histoire d'Achille, j'adore ce film ! Même si je me rends bien compte que c'est pas forcément le meilleur choix pour l'ambiance... Ça fait bizarre. Combien de temps ça fait que je n'ai pas été en stress devant une fille ? Même ma première fois ne m'avait pas stressé comme ça. Et le fait qu'Himiko soit plus tactile que jamais, n'aide pas vraiment. Sa tête est posée contre mon torse, et je sens son regard sur moi plus que sur le film. Cette fille est vraiment mauvaise pour ma santé. Je ne me souviens pas d'avoir déjà senti mon cœur battre aussi fort. J'ai confiance en moi, bien sûr, je sais que ça s'passera bien, mais... mon corps semble être de l'avis contraire. Bordel, j'ai des sueurs froides et tout. Quelle merde ! Faut que j'dise un truc à la con avant de crever de stress ! On est à combien de temps de fil-... La scène avec Briseis ! C'est pas bon ! C'est une scène de film, mais avec cette amb
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Défi
Le Professeur
C'était l'année dernière. L'ambiance était électrique, je n'avais jamais été aussi excité. Le ring était pourri, le stade sentait la moisissure, et dans les gradins, il n'y avait que mes amis et ceux de mon adversaire. Nos gants étaient déchirés, et on combattait pieds nus faute de chaussures. Quel souvenir, c'était tellement excitant ! Rien que d'y repenser, j'en ai des frissons. J'avais le souffle court, mes sens étaient en alerte, et mes jambes tremblaient, oh oui, c'était le pied. Chacun assis de notre côté du ring, mon adversaire et moi, nous dévisagions, je pouvais lire la rage dans son regard, il était aussi déterminé que moi à en découdre. Keisuke, un de mes plus vieux amis, mon partenaire de sparring, et le premier avec lequel je me suis vraiment bagarré. Ce vieux salopard avait un an de plus que moi, il était aussi un peu plus grand, mais il lui avait toujours manqué un truc. Il aimait gagner, et il cherchait la victoire, ça, ça ne faisait aucun doute, mais il avait toujours eu peur de perdre. Et c'était sa plus grande faiblesse. La cloche avait sonné, nous étions tous les deux au centre du ring. À cet instant précis, j'avais le sentiment de serrer un glaive au creux de m
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Défi
Le Professeur


Le temps était sombre, et pourtant, il n'y avait pas un seul nuage, le soleil brillait de mille feux, mais il faisait sombre, si sombre. La Terre vivait son dernier jour, la dernière page s'écrivait...

Je déteste la dernière page, et je l'arrache à chaque fois. Nous sommes aujourd'hui bien des années après votre ère, et l'humanité vit sa fin, ou du moins le croit-elle. Les gens sont convaincus, car ils ne savent pas réellement ce qu'est la tristesse, qu'une histoire triste, c'est une histoire avec des morts, des tragédies. Mais ils se trompent, toujours, à chaque fois, ce qui est triste, c'est quand l'histoire s'arrête. C'est pour cela que j'arrache toujours la dernière page d'un livre, c'est pour cela, que j'arracherais la dernière page de celui-ci.
Au-dessus de ma tête, se dessine l'astre de mort qui viendra réduire la terre en poussière.
" Vous êtes magnifique mon amie ! Un peu trop massive à mon goût, je dois l'admettre, mais magnifique ! De quoi votre surface est-elle constituée ? De terre ? De poussière ? De roche peut-être ou encore de plasma ? Qu'est-ce que vous êtes ? "
Ce furent mes premiers mots à l'attention de ce monstre, et dans son impolitesse, il ne répondit pas, je déteste les gens qui ne me répondent pas. Pour qui me prend cet astéroïde ? J'en ai vu des plus gros, des plus puissants que lui. Et à chaque fois, ils ont échoué à mettre fin à mes jours. Comment ? C'est simple, j'ai une botte secrète.
Le temps.
" Je suis désolé mon amie, mais je déteste les fins, et il me semble que mes amis humains les détestent aussi."
Le dernier jour de l'humanité fut le premier de leur nouvelle vie, une vie dans laquelle au milieu de leur ciel, graviterait un astéroïde capable de détruire leur chère planète.
À nouveau, la fin n'arrivera pas, car je déteste les fins.
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Défi
Le Professeur
Mes amis, bonjour à tous, venez, asseyez vous autour du feu, et écoutez la légende des Pics Jumeaux.
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Défi
Le Professeur

Un monologue me dit-on... J'aurais tendance à penser cela chose aisée, en effet, je parle souvent seul. Ce qui n'est pas surprenant, quand on voyage, on est seul, très souvent. Je n'aime d'ailleurs pas particulièrement être seul, je trouve toujours un, ou plusieurs acolytes pour m'accompagner, j'aime beaucoup les Humains pour cela. Mais vous autres êtes si fragiles, si faibles. Faites-vous ami avec un Humain, et le lendemain, il aura disparu, le temps l'aura emporté. C'est fort dommage, vous faites de fantastiques compagnons de voyage, vous avez, je dois l'admettre, un côté parfaitement attachant. Une véritable vivacité d'esprit (pour la plupart), un inépuisable optimisme, et par-dessus tout, envers et contre tous, ce que j'aime chez vous, c'est cette propension à explorer, j'ai voyagé avec nombre d'Humains, et ils avaient tout ça en commun. L'envie de découvrir des choses, d'en savoir plus. Toujours, qu'importe le danger, les Humains chargent la tête la première. J'adore cela chez vous, c'est parfaitement rafraîchissant. Mais encore et toujours, vous mourrez si vite, au départ cela me déprimait, mais comme tout, on s'habitue, la mort fait partie de la vie, je me suis habitué à la vôtre. À votre courte vie, à vos défauts, à vos qualités, à vos questions stupides. Je me souviens d'une fois ou, lors d'une de mes balades sur votre belle planète... D'ailleurs, petite parenthèse, faites ici attention, nombre d'autres peuples veulent vous la piquer, vous devriez être vigilant. Bref, un homme venant de ce magnifique pays que vous avez nommé, France m'a expliqué qu'il était né en France, avait grandi en France, mais n'était pas Français, cela me paraissait parfaitement ridicule, vous autres avez parfois des réflexions étranges.
Ce n'est qu'une des nombreuses étrangetés de votre monde évidemment, mais je les trouve toujours amusantes, intéressantes. Je n'ai pas volé mon titre, je suis Le Professeur, j'étudie donc vos comportements, vos réflexions. J'ai parcouru l'Univers, l'ai détaillé, l'ai étudié en profondeur. Je suis à l'origine de nombre de vos connaissances sur l'univers, sur votre monde. Mon peuple et moi, nous avons décortiqué le plus sombre secret de l'univers, avons dompté les plus puissantes énergies de ce large monde qu'est le Cosmos. Et malgré tout, malgré toutes ces connaissances, malgré ma capacité d'analyse, je n'ai pas encore pu vous comprendre. Vous êtes le plus grand mystère que je connaisse. Vous êtes un univers, un univers si petit, si fragile, que le moindre coup de vent peut le détruire, mais vous êtes l'univers le plus complexe, le plus intrigant que je connaisse. Vous, Humains, êtes le dernier mystère de l'Univers, au-delà des étoiles, des nébuleuses, des Quasars, le plus grand des mystères, c'est l'Homme.
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Défi
Le Professeur
- Oh ! Bonjour ! Vous êtes le petit dernier n'est ce pas ? J'ai oublié votre nom, mais est-ce important ? Je suis, Le Porteur de Lumière, tel est mon nom, et sincèrement, il est difficile d'en trouver plus... Approprié. Mon père est Dieu, et nom de Papa qu'il est... Sérieux. Et glauque. Moi, j'ai un sens de l'humour particulier, mais honnêtement, ses blagues à lui sont... Tordue, déjà entendu parler d'Abraham ? Le pauvre homme était parti pour sacrifier son fils à mon père jusqu'à celui-ci l'interrompe, en lui faisait croire que c'était une épreuve, imaginez le traumatisme. Et après, c'est moi le monstre qui détruira le monde... Sérieusement, des fois, je me demande ce que pensent les gens... Ceci étant dit, je suis celui que vous autres humains (pour la plupart, mes futurs sujets), appelez Lucifer, et mon royaume n'est autre que ce que vous appelez " l'enfer ", outrageusement dramatique si vous voulez mon avis, il y fait juste chaud, en soit, c'est plutôt sympa comme coins. Votre Seigneur est même assez bon pour s'adapter à votre langage, vous vous doutez bien que ma langue habituelle n'est pas celle d'un humain du vingt et unième siècle. Il semble... Pétrifier... Je mentirais si
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