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Aiddenn

Aiddenn
Aiden vit une vie qu'elle juge on ne peut plus banale.
Famille, lycée, amis, devoirs. Rien qui ne sorte de l'ordinaire.
Seulement tout va changer peu après son seizième anniversaire.
Quelque chose en elle va se déclencher et plus rien ne sera jamais pareil.

Entre mystères et magie, elle devra tenter de trouver sa place et forcer son destin pour s'en sortir.



***

/!\ TOUS DROITS RÉSERVÉS /!\

Cette histoire est entièrement le fruit de mon imagination et je ne tolérerai pas que l'on puisse la voler ou se l'approprier, simplement parce que j'y ai et que j'y passe toujours des heures et des heures.
Elle me prend du temps, alors même si elle ne vous paraît pas la meilleure histoire, j'en suis totalement consciente, ce n'est pas une raison pour la voler.
Merci d'avance à ceux qui respecterons cela.

/!\ TOUS DROITS RÉSERVÉS /!\

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Aiddenn
Morts soudaines, héritage et tromperies, la plus ordinaire des familles peut cacher les pires secrets.
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Défi
Aiddenn

Je regarde d'un air absent la tasse vide posée sur la table devant moi. Tout est vide. Le tic tac de l'horloge résonne dans la maison, suivant le rythme des battements de mon cœur. Mes mains sont froides. Tout est vide. Tout est.. tellement vide.
Mes mains se resserrent sur la tasse. Elle était remplie de thé mais j'ai tout renversé sur le sol. Je n'ai plus rien pour réchauffer mes mains. Et la tâche sur le carrelage est toujours présente. Il va falloir que je ne nettoie ça.
J'ai compris, il n'y a pas longtemps, que tout ce qui se passait de mal ici était de ma faute. C'est de ma faute si cette tasse est tombée, si il fait aussi froid cet hiver, si la personne que j'aime est triste, en colère et c'est encore de ma faute si des hématomes recouvrent mon corps. Tout est de ma faute.
C'est moi qui le force à se montrer aussi violent. Je sais qu'il s'en veut à chaque fois.. à chaque fois qu'il me frappe. Mais tout est de ma faute. J'aurais dû réchauffer plus son plat. J'aurais dû refaire mieux le lit. J'aurais dû lui acheter ce qu'il voulait plutôt que de m'acheter un pull. Je ne devrais pas être si égoïste. Pardon.. Pardon.. Je suis tellement désolée.








..

J'ai nettoyé la tâche. Il ne semble pas aller bien aujourd'hui. Il me regarde. Il me regarde mal. Peut-être parce qu'il reste des traces sur le sol.
Il semble toujours comme un serpent, prêt à bondir sur sa proie. Il s'insinue dans mes pensées à la manière du reptile et s'entoure autour de ma gorge pour me priver d'oxygène. Une fois que je suis à sa merci, il peut exiger ce qu'il veut. Il joue avec moi comme on joue avec une poupée de chiffon. J'en ai pris conscience.
Mais voilà l'autre facette qui fait son apparition. Ces yeux doux, ces paroles passionnées, ces excuses, ces caresses.. toutes ces choses pour lesquelles je suis tombée amoureuse. Et ces choses qui font que je reste.
J'en ai peur. Je l'aime. J'ai peur de l'aimer. Je l'aime à en mourir.
Et je crois qu'il m'aimerait mieux dans la mort.
Peut-être que c'est moi qui l'enchaîne.
Peut-être que je suis la coupable.
Peut-être qu'il souffre.
Peut-être que je suis le monstre.









..


Quelque chose a changé. Puisqu'il n'y a plus que "je". Il y a "nous". Parce que désormais "je" ne serais plus jamais seulement "je". Un petit être grandi en moi.
Si fragile encore. Et si inconscient.
Et j'ai alors réfléchi.. est-ce bien cela que je veux comme avenir pour ce futur enfant ?
Non.
Je pose parfois mes mains sur mon ventre. Je ne sens encore rien, il est si petit.. mais je l'imagine, paisible, les poings serrés, attendant sagement de voir le monde pour la première fois.
Je ne veux pas qu'il voit la violence.
Au début.. "il" a été très gentil.. comme l'aurait été un vrai "jeune papa".. il était si attentif au moindre de mes besoins et si heureux que.. je me suis dit que tous ces bleus n'étaient que des erreurs, des erreurs que je devais pardonner car je les avais initiées.
Mais c'est revenu. Je n'ai pas pu lui en vouloir. Car il continuait de me dire que c'était ma faute.
Seulement ma faute.
Peut-être.
Peut-être, me suis-je répétée.
Mais il est hors de question que l'enfant qui est en moi connaisse cette violence. Cet enfant qui ne connaît encore rien de la vie, des hauts et des bas qu'elle amène, se doit d'être protégé.
Alors j'ai décidé de partir.
Mais vous savez, son emprise est comme un sortilège.
Il vous encercle de ses bras et vous murmure des mots doux tout en vous brisant les os.
Il vous attrape le cou et vous dit les pires mots avec sa voix doucâtre.
Quand vous cherchez à partir, les marques de sa prise sont toujours là, pour vous rappeler qui il est, ce qu'il est pour vous et surtout qu'il sera toujours quelque part dans votre esprit.
Mais cet enfant n'a pas de marques. Et il ne doit pas en avoir.
Je le jure sur ma vie.




..

Comment exprimer ce que je ressens aujourd'hui. Comment mettre des mots sur la colère et la tristesse qui m'habitent. En fait.. non.. ce n'est même pas de la colère. C'est de la rage. De la rage pure et simple.
L'être qui grandissait en moi ne verra jamais le jour. Le démon que j'avais pris en amour l'a tué.
À coups de pieds.
J'ai tout pardonné. Encore. Et encore. Et encore. Et encore. Mais cet être innocent n'avait rien fait. Rien fait de mal.
Et il m'a fallu ça pour réaliser entièrement la situation dans laquelle j'étais.
L'homme que j'aimais était une âme en peine, torturée par ses propres démons et je ne pouvais pas l'aider porter ce poids.
Il était trop lourd. Pour moi. Comme pour lui. Le poids du sang sur ses mains. Le poids de la haine tapie au fond de lui, qu'il ne laissait ressortir que pour frapper les êtres les plus faibles, les plus attachés à lui. Car il se disait que jamais je ne réaliserais que je ne suis pas fautive, qu'il n'est rien d'autre qu'un être mauvais, qui aime prendre contrôle des autres pour se prouver qu'il n'est pas le plus faible. Pour pouvoir régner sur quelque chose.
Il a été comme un Cheval de Troie.
Il s'est insinué petit dans mon cœur et dans mon esprit. Une fois sûr d'y avoir une place, il a pu faire ce qu'il voulait.
J'ai été bête. Ou peut-être juste amoureuse. Peut-être était-il trop mauvais. Ou trop bon à la fois.
Mais maintenant, la culpabilité s'en est allée. L'amour aussi. De même que la haine et que la tristesse..
Il y avait sûrement une autre solution.
Peut-être que la fuite aurait marché. Peut-être..
Peut-être y'avait il une autre solution qui n'aurait pas impliqué que je me retrouve là, à la même heure que tous les jours, une tasse vide entre les mains et au sol une tâche rouge carmin.

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Défi
Aiddenn

J'ai beaucoup de choses à dire au monde.
Tellement de paroles à prononcer, d'idées à présenter, mais tellement de peurs et d'hésitation qu'il m'est
difficile de trouver les mots.
Colère, tristesse, égoïsme, égocentrisme, moquerie.
C'est humain.
"Inhumain" n'existe pas. On utilise souvent ce mot. On se déculpabilise. "Ce n'est pas nous". "On est innocents". "Ce meurtre est inhumain". "On est pas comme lui". "Nos mains ne sont pas tâchées de sang". Si. Ce meurtre est humain. Cette réaction est humaine.
Car l'humain n'a pas qu'une face, pure, immaculée. On a tous, en nous, cette part sombre. Elle est là. Elle n'est pas à bannir ou à glorifier. Elle est juste là. Elle se mélange à toutes nos bonnes intentions pour obtenir l'Homme. Un être. Égoïste mais capable des plus belles choses par amour. Aveugle à la misère qui l'entoure mais concerné par une vidéo inconnue, montrant une situation déchirante qui peut se passer devant ses yeux sans qu'il n'y prête attention.
Il serait bien beau de critiquer l'être humain et de le penser pourri jusqu'à la moelle. Mais qui a la réponse ? D'ailleurs existe-t-il une réponse ? Et qui la détiendrait ? Personne. Comment est-il possible qu'une réponse universelle apporte une solution à nos questions et nos tourments.
Le point de vue change tellement.
Une situation horrible pour l'un et une aubaine pour un autre.
Un crime pour l'un et un acte de révolte pour un autre.
Depuis des millénaires la violence et la guerre animent notre quotidien. Car l'homme en veut toujours plus, le désir, aussitôt comblé, est remplacé par une autre envie. Amour, sexe, territoires, pouvoir, argent. L'Homme est cupide. Ce qu'il faut avoir pour régner, il le veut. Il passe sa vie à tenter de l'obtenir.
Aucun intérêt pour les autres. Que ce soit les générations actuelles ou les futures. Tant qu'on peut répondre à nos propres besoins, pourquoi s'occuper de ceux des autres ?
Pourquoi s'inquiéter des ours sur la banquise ? De la disparition des pandas roux ? Des gens qui meurent de faim ? De la guerre ? De la haine ? Du mépris ? Du danger de l'ignorance et de l'être qui se place au dessus des autres ?
Pourquoi s'en inquiéter ? On fausse une expression outrée dans les dîners pour montrer son mécontentement poli et on retourne vivre dans maison inutilement grande, gaspiller de l'eau et de la nourriture, se noyer dans cette société de consommation qu'est la nôtre, viser le plus, le mieux. Car il faut être le plus populaire, peu importe les raisons. Être toujours le plus vu.
On préfère être les Rois d'un monde en ruine.
Pourtant, il y en a eu des penseurs. Et il y aura toujours des gens qui se battront pour les choses changent. Pour qu'on pense plus à cette planète qui meurt à petit feu. Pour qu'on pense plus à nos enfants. Pour qu'on arrête de croire que la vraie vie est celle sur nos écrans. Pour qu'on arrête de se dire qu'on remettra tout à demain.
On est déjà demain. Et il est déjà trop tard.
La société se gengraine. Reste-t-il de l'espoir ? Qui est encore honnête ? Qui peut se regarder dans un miroir et se déclarer innocent ?
Personne ne l'est.
Personne ne le sera jamais.
Il est temps de se bouger. J'ai menti. Il n'est pas trop tard. Je n'en sais rien.
Mais il faut s'activer. Arrêter de se dire que ceux de demain agiront pour nous. Ça ne se fera jamais comme ça.
Il faut s'activer. Maintenant. Tout de suite. Dans la seconde qui suit la lecture de cette phrase.
Le changement commence par des petites actions. Aussi minimes soient-elles, elles ont un impact. Un réel impact.
Arrêter de jeter les détritus.
Réduire le gaspillage.
Arrêter de se croire supérieurs, inférieurs.
Arrêter cette haine aveugle qui consume les cœurs.
Arrêter la violence.
Le futur est fait de tolérance, car nous sommes tous égaux. Personne ne vaut plus qu'un autre. Personne.
Rappelez-vous que nous ne sommes des animaux. Certes, nous avons évolué différemment, mais nous restons des animaux.
Alors comment peut-on justifier qu'on laisse disparaître autant d'espèces ? Qu'on en sacrifie d'autres pour des traditions ? Les conditions dans les abattoirs ? Le braconnage ? Toutes ces choses sont réelles. Ce ne sont pas des illusions. Ce sont des choses que l'on peut changer. Tous. Ensemble.
"Nous" sommes humains. Grands, petits, noirs, blancs, homosexuels, hétérosexuels, africains, français, blonds, roux, bruns. Tous. Humains. Arrêtons cette haine. Cette discrimination. Cette susceptibilité qui meurtri autant notre société que la haine qui la cause.
J'ai tellement de choses rajouter. Mais je pense avoir assez parlé pour le moment.
Alors ceci est mon message pour le monde.
Bouge-toi, per
sonne ne le fera pour toi.
Remet-toi en question.
Personne ne détient de vérité absolue.
Réfléchis, analyse.
Vie un peu en arrêtant de penser aux défauts des autres et aux tiens.
Tu n'es pas là pour longtemps. Tu as la chance d'être vivant, même si c'est une phrase bâteau.
Alors profite.
Relève la tête quand ça ne va pas.
Aide les autres. Mais prend le temps de t'aider aussi.
Beaucoup de choses peuvent changer selon le point de vue choisi. Alors ne t'emporte pas trop vite. La justice du peuple n'est parfois pas la plus équitable.
Sois plus bienveillant.
Tout se paie un jour.
Les bonnes actions comme les mauvaises ont des répercussions.
N'oublie pas.

Bonne chance.





J
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Défi
Aiddenn

J'étais allongée dans mon canapé, une couverture posée sur moi. Le silence régnait. Seules les ondulations du feu brisaient l'absence de son. Ça et les battements de mon cœur apaisé et ma respiration régulière. Je fermais les yeux, sentant le sommeil me gagner petit à petit. Seulement, un bruit me dérangeait particulièrement. Le feu. Il était tellement.. bruyant.
Mais pourquoi crépitait-il si fort ? D'ailleurs... Les flammes faisaient-elles réellement ce bruit ? Pourquoi me semblait-il si.. venteux ?
M
M
Oh.. qu'est-ce que j'avais sommeil.. je me sentais tanguer. Pourquoi le canapé bougeait ?
J'ouvrais alors les yeux sans trop savoir à quoi m'attendre. Au lieu de voir ma cheminée ancienne en face de moi, dans lequel aurait brûlé chaleureusement un feu de bois, je ne trouvais rien. Rien d'autre.. que du bleu. Ou étais-je ? Toujours dans mon canapé. Avec ma couverture. Mais mon salon avait disparu. Il avait laissé place à une étendue bleue qui ondulait, forçant mon radeau de fortune à suivre le mouvement. De l'eau. À perte de vue. Et un ciel bleu, clair, sans aucun nuage à l'horizon. Le vent soufflait doucement dans mes cheveux.
Plus de feu qui se consummait. Plus de respiration calme et de cœur régulier. À présent, je regardais tout autour de moi, le souffle presque coupé, mon palpitant s'agitant dans ma poitrine. Cette situation était illogique. Et j'obeissais la logique comme n'importe quel bon être humain.
J'en aurais volontiers convenu que tout ceci n'était qu'un rêve mais pourquoi les sensations étaient-elles si réalistes si tout ceci n'était qu'une chimère ?
Je me recroquevillais contre le dossier de mon canapé, mes bras encerclant mes genoux.
C'est alors qu'un rire cristallin me fit relever la tête. Tout en moi m'hurla de détourner le regard ou je ne m'en remettrais pas. Il était là, ses yeux bruns rieurs, ses cheveux de la même couleur que les blés au soleil et son grand sourire aux deux petites fossettes qui lui donnaient cet air malin.
Il avait l'âge qu'il avait eu la dernière fois que je l'avais vu. Six ans. Il me regardait, tripotant le tissu de son haut de pyjama comme il le faisait toujours.
Son visage d'ange était couvert de poussière mais ses yeux brillaient, m'arrachant à mon tour un sourire.
- Ton haut de pyjama est couvert de saletés.
Il hocha la tête tandis que je retenais mes larmes.
- Tes cheveux ne sont pas coiffés.
Il secoua doucement la tête en laissant échapper un petit rire.
J'espérais alors que tout cela n'était pas un rêve. Que c'était la réalité. Si je devais passer ma vie coincée sur ce canapé perdu au milieu de l'océan pour être avec lui, je le ferais.
Puis j'entendis une voix. Un murmure. Distant. Distordu par les vagues, le vent et peut-être pas le temps, aussi. Mon prénom.
Je relevais mon regard vers le petit garçon qui tendait sa main vers moi. Je fis de même. Il laissa alors tomber un papier que je rattrapais, intriguée. Je voulus lui demander ce que c'était, avant de l'ouvrir, simplement pour pouvoir entendre sa voix à nouveau.
Mais il n'était plus là. J'avais seulement entendu un rire qui s'était effacé en même temps que le bruit des vagues. Tout avait cessé. Le canapé avait arrêté de bouger petit à petit. Et le crépitement du feu était revenu.
C'était fini. Le rêve était fini. La réalité était revenue d'une manière plus brute que je ne l'aurais espéré.
Il était parti. J'étais de nouveau seule, face à ma cheminée.
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J'avais tout imaginé. Je m'en doutais. Après tout.. ça faisait maintenant cinq ans que mon petit frère avait été enlevé et forcé de quitter ce monde. Il n'y avait pas moyen que je puisse le voir.
Je me souvins alors de ces jeux. Sur le canapé. Il était le capitaine d'un navire. Un pirate. Un vrai de vrai. Et moi j'étais un moussaillon. On attaquait d'autres bateaux. On trouvait des trésors, comme un jouet autrefois abandonné sous un fauteuil.
Je laissais échapper un rire à travers mes larmes. Au moment d'essuyer les perles salées, je sentis quelque chose dans ma main.
Un papier.
Je le dépliais soigneusement. C'était la photo d'un enfant aux yeux rieurs, avec sa grande sœur à côté de lui, tous deux déguisés en pirates, pour un anniversaire.
Plus précisément l'anniversaire du petit garçon. Anniversaire pour lequel j'avais tout organisé, pour qu'il soit, le temps d'un jour, un vrai pirate.
Ce n'était peut-être pas un rêve après tout.
Peut-être qu'il avait trouvé la paix.
Et c'était à mon tour d'en faire de même.
Il fallait que j'arrête de le pleurer indéfiniment.
Mon petit frère n'était plus, mais il resterait à vie dans mon cœur et dans mon esprit.
Je serrais doucement la photo contre ma poitrine.
- Je t'aime petit frère.







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Aiddenn
Privilégiés et Humilis, deux castes qui s'opposent depuis la nuit des temps.
De simple opposition à conflit, la guerre finit par ne plus être loin.

Mais dans un monde régit par la magie et le sacrifice, rien n'est si facile, c'est d'ailleurs ce que va apprendre Eurielle à ses dépends.

Quand la Cérémonie menace de la séparer de son frère, elle va devoir faire un choix entre fuir ou affronter son destin, quitte à perdre l'être qu'elle aime plus que tout.

Mensonges, trahisons, magie et tragédies, elle découvrira que rien n'est encore écrit.
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