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Elise David

Bonjour ! Déjà, avant toute chose, merci de t'être rendu(e) sur mon profil !

J'espère que mes oeuvres te plairont et n'hésite surtout pas à me reprocher en commentaire ou en privé ce que tu n'as pas apprécié dans mes écrits.

Je te souhaite une très bonne elcture en espérant voir apparaître ton nom dans mes commentaires.

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Œuvres

Elise David

J'qime les saucises lentilles
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Elise David
Marguerite, jeune femme vivant seule dans les bois hostiles et sombres de la grande forêt des Landes va devenir amie avec des volatiles venant se percher sur le rebord de sa fenêtre.
N'ayant aucun être humain à moins de 10 kilomètres à la ronde, elle devint donc amie avec des oiseaux.
Mais un jour, les oiseaux ne vinrent pas à la rencontre de Marguerite et la jeune femme va faire une sanglante découverte sur le perron de sa bicoque....
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Elise David

Il y a quelques années, vivait une femme.
Agée de seulement vingt années, elle vivait seule au milieu des bois sombres et hostiles depuis plusieurs temps déjà. Ayant comme seule compagnie les animaux sauvages, elle se vut vite être d'attribué d e l'adjectif "la sorcière" par les habitants du hameau le plus proche, car n'ayant aucun être humain à qui communiquer ses joies et ses peines, elle les transmettaient donc aux volatiles courageux qui venaient se poser sur le rebord de sa fenêtre pour profiter d'une paresse au soleil.
Marguerite, car tel est son nom, observait pendant des heures entières les allées et venues de ses petits compagnons. Elle leur racontait tout plein de fabuleuses épopées sorties tout droit de son imagination débordante. Au début sceptiques, les petits volatiles se mirent à écouter la jeune fille.
Tous étaient remplis de bonheur.
Alors, pendant trois ans, elle noua une complicité très forte avec les oiseaux. Tous les jours, pendant 1095 jours, elle nourissait ses amis de pain rassis, que malgré toute sa bonne volonté, elle ne pouvait manger. Marguerite les émiettait inlassablement sur le rebord de sa fenêtre et attendait que la journée passe
Mais, un matin brumeux d'octobre, à son réveil, la jeune femme ne trouva pas la compagnie qu'elle découvrait sur sa vieille table en chêne, tous les matins à son réveil.
Marguerite était surprise, ce n'était pas dans l'habitude de ses compagnons de la laisser seule.
Prise soudain d'un terrible pressentiment, elle couru vers la porte d'entrée et découvrit sur le perron de sa maison une plume blanche tâchée de sang poisseux encore tiède.
"La sorcière" sut alors que quelque chose de grave venait de se passer.
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