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Eléonore de Clock

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Œuvres

Eléonore de Clock
Ce soir-là, j’étais rentré tard à cause du boulot - une très longue réunion avait été préparée pour organiser les prochaines semaines – Camille dormait déjà et Arthur était passé voir pierre en fin d’après-midi. Il m’avait envoyé un message dans lequel il disait que pierre avait l’air content de sa journée, car il s’était bien amusé avec le clown. Je m’étais installée devant la télé après avoir réchauffé un reste de pâtes bolognaises. Arthur était dans la chambre, en train de lire. Il ne m’avait pas adressé la parole depuis que j’étais rentrée et je m’étais dit qu’il était surement crevé. Il n’y avait rien d’intéressant à la télé alors, j'avais mangé en vitesse pour pouvoir faire la vaisselle et aller me coucher. Vingt minutes plus tard, j’avais fait un tour dans la maison pour ranger, regarder si Camille dormait toujours, et m’était mise en pyjama. Je m’approchais alors d’Arthur pour l’embrasser avant de prendre un livre. J’étais tout près de lui, mais il se mit à reculer, je ne comprenais pas pourquoi alors, je me rapprochais de plus en plus. Il finit par me dire qu’il avait eu une grosse journée, qu’il était fatigué, et qu’il ne voulait pas que je le dérange. Cela m’avait un peu
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Eléonore de Clock
Ce matin, je me suis réveillée tôt, comme tous les matins, de toute façon même si j’avais voulu dormir, je n’aurais pas pu. Je n’avais qu’une idée en tête : aller à la bibliothèque après les cours. Ce fut de même pendant toute la journée. J’étais encore dans mes pensées, quand la sonnerie qui annonçait la fin des cours retenti. Je rangeais le peu d’affaires sorties en vitesse pour sortir dans les premiers. Une fois dehors, j’ouvris "Maps" depuis mon téléphone pour aller directement à la bibliothèque. Enfin ! J'y étais. Un grand bâtiment se dressait devant moi. Tout en haut était accroché un drapeau tricolore. L’intérieur était splendide. La finition des arcades en métal, les tables parfaitement alignées. Je me rendais donc vers la partie récits de voyages (je crois qu’elle s’appelait comme ça). Le titre du livre était : « les deux mondes parallèles ». Je mis au moins 40 minutes à trouver le livre en question. Il était caché derrière les livres comme s’il avait été prévu qu’il ne soit pas remarqué. J’entrepris d’ouvrir l’ouvrage. Une page avait été arraché. Il y avait aussi un petit papier, similaire à celui apparu précédemment dans ma chambre. Les mêmes symboles y étaient inscrits.
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