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Bel. A

Bel. A
Lola a 21 ans lorsqu'elle rencontre Kévin lors d'une soirée. Cette rencontre va bouleverser sa vie à tout jamais.

Leur histoire d'amour est dévorante, passionnelle, fusionnelle... dévastatrice. Désespérément amoureuse, Kévin est le "prince charmant" que toutes filles rêvent...
De sentiments en émotions jamais ressentis auparavant, Lola est complètement sous son emprise... de ces périodes idylliques, elle accepte tout de lui par Amour...
La première gifle tombe, elle pardonne... Jusqu'au jour où elle prend conscience que sa vie est menacée et décide de le quitter...
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Bel. A
Je m'essaye à l'art du haïku !

Serai-je à la hauteur ? A vous de me le dire...
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Bel. A
La vie nous octroie des bonheurs mais aussi des malheurs.

Tout au long de leur vie, Anya et Dimitri vont traverser bien des épreuves... de Roumanie jusqu'en France, leur destination finale mais il reste un dernier voyage à accomplir pour Anya... pour y parvenir, elle aura besoin de tout l'amour des siens.
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Bel. A


Au contact de sa bouche chaude, le pouls de la jeune femme s'accélère légèrement. Une vague de frissons remonte de la pointe de ses pieds, escalade jusqu'au sommet de son épine dorsale pour venir mourir au creux de sa gorge.
Elle ferme les yeux un instant. Ses doigts tremblants caressent le petit cœur pendu à son cou. Mille émotions l’assaillent avec délice. Enfin, elle se retourne.
Il presse ses lèvres contre les siennes. Elle entrouvre enfin les paupières. Tout son être s’enveloppe dans une douce extase. Un sourire heureux se dessine sur son visage. Elle enfouit ses mains dans ses cheveux et plonge son regard dans ses iris bleus. Elle blottit son corps transi contre le sien. Ses seins dressés le frôlent. Enchevêtrée dans les pulsions désordonnées de son cœur, elle prend possession de sa bouche et sa langue enroule la sienne avec sauvagerie.
Il la soulève dans ses bras, l’emporte vers le salon et la dépose délicatement sur l'épais tapis de laine. Sans quitter ses lèvres gourmandes, elle déboutonne sa chemise et pose une main sur son torse brûlant. Le rythme rapide de ses battements cardiaques se fondent avec les siens. D'un geste lent, il fait glisser sa robe puis sa culotte de dentelle noire à ses pieds. Elle défait sa ceinture de cuir, descend sa braguette… son pantalon tombe au sol. D’un mouvement rapide, il se débarrasse de son boxer qui comprime son membre viril en érection.
Un feu ardent consume les deux amants.
Allongé près de son corps nu, il effleure de ses lèvres la courbe longiligne de sa gorge fine offerte. Il promène sa main au creux de ses reins. Il passe sa langue sur ses seins, lui mordille délicatement les mamelons. Il caresse son ventre, ses cuisses, son Mont de Vénus. Il goûte avec gourmandise, à toutes les parties de son corps comme s'il savourait une sucrerie délicate.
Les étreintes de son amant lui semblent aussi douces, aussi chaudes et caressantes qu'une légère brise en été procurant une agréable sensation de fraîcheur. Les mains qui la touchent, éveillent une sensualité inexplorée dans tout son corps.
Elle décale ses hanches pour l'accueillir. Il la chevauche, se repaissant du contact humide de la cavité soyeuse de son sexe. Ses mouvements ondulent doucement sous les halètements jouissifs de sa partenaire puis lorsqu'il la sent prête à s'abandonner, il accélère le rythme. Sa maîtresse presse son bassin plus étroitement contre le sien. Ses ongles se plantent dans sa musculature. Ses dents s’enfoncent dans son épaule pour s'empêcher de crier. La morsure le fait gémir.
Une vague déferlante de plaisir s’abat sur les deux amants. Il jouit et s'écroule dans un dernier coup de reins. Il reste sur elle un instant, entre ses cuisses, la tête posée sur ses seins.
Dans les bras l'un de l'autre, ils s'endorment avec sur les lèvres, le goût salé de la violence de cette déferlante.
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Défi
Bel. A


Crac ! Et croque les crackers dans ma baraque
Croustillants à souhait, ils accrochent mon palais.
Les noisettes craquantes craquent sous mes dents, véritable crack à mes sens.
Toxicomaniaque, j’avale tout le sac.
Mais voilà que je me sens patraque
Mon estomac se détraque et se déverse en flaque.
C’est un vrai massacre !

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@petitprince@ :D
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Bel. A
A vouloir tout contrôler... certains se perdent...
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Bel. A

Tu m'appartiens, tu m'entends ?
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Bel. A


Tous les matins, je la voyais entrer dans la cafétéria, commander un café noir et un muffin, puis s’installer seule, à une petite table ronde dans le coin le plus reculé de la salle. Elle s’isolait toujours. Pourquoi ? Jamais elle n’engageait la conversation avec d’autres clients dont la plupart était des habitués comme elle… d’ailleurs personne ne venait jamais s’asseoir à ses côtés. Ce n’était pas parce qu’elle était vilaine à regarder… bien au contraire son visage était plaisant avec des grands yeux noisette et quelques taches de rousseur sur le nez allant de pair avec une chevelure flamboyante. Vraiment, elle était très jolie.
Derrière mon comptoir, je l’observais tous les jours et tous les jours, elle faisait les mêmes gestes. Elle trempait ses lèvres dans le breuvage brûlant, croquait dans son muffin puis étalait un journal sur la table. Pendant sa lecture, de temps en temps, elle prenait son Smartphone et scrutait l’écran avant de le reposer aussitôt à côté d’elle d’un air triste. Tous les matins, je me demandais qui elle pouvait bien attendre ainsi ! Une fois son café et son petit gâteau avalés, elle regardait de longues minutes autour d’elle, ses yeux semblaient chercher quelqu’un… mais il n’y avait jamais personne.
— Un café, mademoiselle ! héla un type au fond de la salle.
Détachant mon regard de cette inconnue, j’attrapai ma cafetière. La tasse de café servie à mon client, je retournai derrière mon comptoir ; en chemin, je tournai la tête vers l’inconnue. Nos yeux se rencontrèrent. Il y avait une telle tristesse dans les siens que je m’arrêtai net sur place. Que lui était-il arrivé pour être aussi triste ? Je ne savais pas pourquoi mais j’éprouvais de l’empathie pour elle… Elle me faisait penser à quelqu’un… mais qui ? C’était comme si je l’avais toujours connue. Elle me fit alors un piètre sourire puis baissa la tête sur son journal. Elle rassembla ses affaires puis sortit de la cafétéria. Elle reviendra demain !
Toute la journée, son image m’obséda. Ce que j’avais vu dans ses yeux m’avait émue. Cette solitude qu’elle éprouvait, devait lui ronger la vie.
En chemin vers mon appartement, son visage, ses grands yeux tristes étaient toujours dans ma tête. Je ne me pressais pas de rentrer, je vivais avec un chat pour seule compagnie. Plus je pensais à l’inconnue, plus je me disais que je devrais aller lui parler. Ne pas la laisser seule ainsi... « Oui ! C’est ça… dès demain j’irai la voir » décidai-je en tournant la clé dans la serrure.
Patapon se frotta dans mes jambes, me quémanda quelques caresses. Je partis ensuite à la cuisine lui verser une poignée de croquettes. Il m’abandonna aussitôt.
Un plat surgelé insipide devant la télé puis l’heure du coucher. Une douche avant de me glisser dans les draps. Comme un boomerang, le reflet dans le miroir me renvoya le visage de l’inconnue…
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Bel. A


2 cœurs + 2 corps = une symbiose.
Tu m’aimes + je t’aime = nous nous aimons.
2 doigts + 2 anneaux = 1 mariage.
1 vie + 1 vie = notre vie.
1 gosse + 1 gosse = notre famille.
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Bel. A
un texte court sur le souvenir...
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Bel. A


Quatre-vingt-dix printemps, quatre-vingt-dix étés, quatre-vingt-dix automnes et quatre-vingt-dix hivers… C’est ce qu’on peut appeler une longue vie bien remplie… Mémé Raymonde est morte et moi, seul et unique héritier, vais enfin connaître le secret qu’elle gardait farouchement à double tour dans sa cave. Un lourd verrou en condamnait l’accès et la clé ne quittait jamais la poche de son tablier à carreaux. Plusieurs fois par jour, elle tapotait sa blouse afin d’en vérifier la présence. D’un tempérament acariâtre, elle brandissait sa canne dès que je m’approchais de la porte.
Grippe-sous dans l’âme, elle ne dépensait jamais la moindre piécette inutile. J’étais sûr d’y trouver ses économies entassées au fil du temps dans une grande boîte en carton.
Dans ma main, la grosse clé rustique en fer. J’introduis son panneton dans la serrure. Deux quarts de tour et le pêne se meut. Je retiens ma respiration et descends lentement l’escalier de bois. Sinistres, les marches craquent sous mes pas. Arrivé en bas, il fait aussi noir que dans le fond d’un chaudron. Je tâtonne le mur à la recherche de l’interrupteur. Enfin, je le sens sous mes doigts, j’actionne le bouton poussoir. Aussitôt je pose ma main au dessus de mes yeux, une clarté brillante m’aveugle.
Et là, je suis sidéré… ma bouche forme un « O » silencieux. La cave de mémé Raymonde est un véritable repaire High-tech. Le mur du fond est tapissé de graphiques, de photos, de post-it. Sur un bureau à la courbe futuriste, un Mac et des dossiers estampillés d’un logo rouge « TOP SECRET ».
Soudain, des pas dans l’escalier… je relève la tête, mon cœur tambourine dans ma poitrine.
L’homme en costume cravate et brushing impeccable s’arrête à deux mètres de moi.


— My name is Bond… James Bond !
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Bel. A


Tu me dis : le mot pied
On y va et je te dis :
Pied de grue…
Ver à pied…
Pied de nez…
Au pied du mur…
Ou le coup de pied au c**…
Bref… Ne perds pas pied mais prends ton pied !
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