Et si...
Cette nouvelle a démarré comme souvent, avec un "et si..." en m'imaginant une femme, dans une situation particulière à une période toute aussi particulière de l'histoire.
Cette idée me séduisait de par l'ironie et le paradoxe qu'elle produisait, et ce, durablement.
Arroseur arrosé, je me suis rendu compte, au moment de ma documentation pré rédactionnelle, que cette idée "originale " n'était autre qu'un fait ayant existé.
Dites vous bien que cette nouvelle s'inspire finalement d'une histoire vraie.
C'est pourquoi, j'ai tendance à voir cette nouvelle comme une véritable révélation autant pour le lecteur que pour moi-même.
Quoi ? Je ne vous ai pas vraiment résumé mon récit ?
C'est vrai. Mais avouez que ça donne envie de s'y plonger.

Réécriture de cette nouvelle fantastique - psychologique enrichie de 20 000 signes (nécessaires, à mon sens).
Un professeur de maths à la retraite se raccroche à la vie en tentant de comprendre un phénomène inexplicable qui se produit... dans son appartement.

Nouvelle version de cette histoire qui prend de plus en plus de place (ici, en version 22 500 signes). Histoire issue de ma courte nouvelle (9000 signes) elle-même issue de ma micronouvelle du même nom dans laquelle Lucien, simple ouvrier d'usine, suit avec attention, comme tous les citoyens de son pays, le tirage de la loterie nationale. Tous ont une seule question en tête : pour qui la roue va-t-elle tourner ?

Des spectateurs assistent pour la 4e fois au même tour de magie dont la simplicité d'exécution et le résultat attendu, n'enlèvent en rien l'émerveillement de son public, admiratif et intrigué. Un tour pas comme les autres. A l'image de celui qui l'exécute.

Finalisation de ma dernière nouvelle (qui explique ma présence très discrète ces derniers jours).

Difficile de la présenter sans tout dévoiler, mais j'avoue que cette nouvelle m'importe beaucoup; elle traite différents sujets et j'espère qu'elle ne vous laissera pas indifférents.

Dans quel registre elle se situe ? Littérature blanche sans doute car il ne s'agit ni de SF, encore mois d'un polar mais plutôt d'une situation dramatique... et féérique.

Bonne lecture.

La version "longue" (9 000 signes) de ma micronouvelle du même nom dans laquelle Lucien, simple ouvrier d'usine, suit avec attention, comme tous les citoyens de son pays, le tirage de la loterie nationale. Tous ont une seule question en tête : pour qui la roue va-t-elle tourner ?

Séquestré pour finir sa saga, entamée 3 ans auparavant, un auteur se retrouve face à lui-même et à celles et ceux qui l'observent.
Il se remémore alors tout ce qui l'a amené jusqu'ici : la fin de l'histoire qu'il a crée. Et qui le dépasse.

Portrait psychologique d'un homme qui termine son enquête dans un supermarché pour le compte de son client qui ne rêve que d'une chose : disparaître.

Quelques minutes avant l'ouverture d'un établissement pas comme les autres, Bénédicte, sa fondatrice, replonge dans ses souvenirs d'enfance, "les fondations de sa raison d'être".

Mia est une femme de ménage ordinaire et appliquée. Hygiène, rigueur, endurance et discrétion sont les maîtres-mots de la profession qu'elle a épousée, à défaut d'avoir eu un mari fidèle.
Sensible aux moindres détails, elle sait comment rendre un lieu impeccable, en effaçant toute trace de son passage.

" Parfois, je m’amuse en imaginant toutes mes observations, mes banalités, sans aucun intérêt, soumises à des lecteurs obligés de parcourir ce fatras d'histoires confondantes de normalités, d'anecdotes ennuyeuses, de recueils de conversations inutiles."

Une introspection quotidienne d'un homme banal, dont l'absence total d'originalité fait de lui... quelqu'un de particulièrement précieux.

La nouvelle du moment, témoignage de l'impuissance contre les éléments.