Chapitre 11

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Putain, ça me broie les tripes. Je ne contrôle plus rien. Et quand je ne contrôle plus rien, j’ai tendance à me comporter comme le dernier des connards. Et là clairement, mon libre arbitre fout le camp quand je suis à proximité de cette sirène. J’entends son chant. Son corps m’appelle. Ma queue est entrée en action, lorsque j'ai maté un peu trop longtemps les courbes parfaites de son corps, laissant tout un tas d'images perverses embrouiller mon cerveau.

Cette gonzesse me fait un effet de dingue. Je bande comme un malade depuis que je l'ai vue. Et son p'tit cul moulé dans cette jupe me nargue clairement. Je me vois déjà la prendre par-derrière et profiter de la vue plongeante sur la cambrure de ses reins, son dos et sa nuque, pendant que je maintiendrai sa longue crinière brune d'une main, l'obligeant à se cambrer davantage pour me prendre encore plus profondément à chaque coup de rein. Mon autre main, agrippée fermement à sa hanche, la fessant par moment pour accentuer son excitation et la mienne de le voir rougir sous ma main. L'entendre gémir de plaisir et crier mon nom quand l'orgasme la frappera. Putain de merde ! Si je ne me reprends pas, je vais finir par jouir dans mon futal comme un putain de puceau ! Fais chier !

Mais pire que tout, comment expliquer cette soudaine emprise sur moi. Je ne peux le nier. Mon p'tit chat, hein ? Rien que ça. Putain, je suis foutu. Mon palpitant, ce fils de chien, était prêt à exploser face à ses grands yeux bleu cobalt, comme frappé par la foudre, comme si cette décharge l’avait décidé à battre à nouveau.

Pourtant, il était bel et bien mort. Anéanti par une salope, qui l'a écrasé entre ses mains des années plus tôt. Quand je l'ai retrouvée au plumard avec mon paternel. Je sens encore les lames de couteau me lacérer à cette vision et la bile remonter dans ma gorge. Putain. Ça me fait débander aussi sec. J'arrive pas à croire que leur trahison me foute encore les boules. Celle de mon connard de père était prévisible. Mais elle. Putain, elle. Je l'aimais comme un dingue. Mais elle, ce qu’elle aimait, c’était le fric.

Un truc dans mon champ de vision me ramène illico au présent et attire mon attention. Merde. Avant que j'aie le temps de rejoindre mon p'tit chat, cette garce d'Amber fond sur elle et la cramponne par le bras pour l'obliger à lui faire face. Putain de salope de brebis de merde.

Elle était prévenue pourtant. Au prochain dérapage, elle dégage. Elle cherche les emmerdes depuis trop longtemps. Elle a oublié où était sa place. Parce qu'Hunter l'a baisée, elle se prend pour sa régulière. Elle rêve ! Jamais une putain de brebis ne deviendra régulière, même si elles en rêvent toutes. Le contrat est pourtant clair. De la baise. Rien de plus. Ce sont juste des vides couilles. Et pour ça, elles ont notre protection et ça s’arrête là.

Mais cette garce s'est mise à rêver fric et pouvoir. Ce qu'elle voit, c'est ce qu'Hunter peut lui apporter. Elle essaie de lui mettre le grappin dessus. Et elle ne laissera personne se mettre en travers de sa route. Mon p’tit chat est une proie facile et toute désignée. Amber sait ce qui les lie. Et surtout, qu'Hunter l'a vraiment dans la peau. C’est un obstacle pour elle, qu’elle va vouloir éliminer.

Mais en touchant à Bri devant tous mes frères, Shadow et le Près', elle signe sa fin chez les Sons. Bri, comme Nina, sont de la famille et ont la même place qu'une régulière. Cette salope leur doit le respect. Si elle va plus loin, elle pourrait bien signer son arrêt de mort. On ne touche pas impunément aux nôtres. D’autant que des brebis, c’est pas ce qui manque.

— T'as rien à foutre ici, crache-t-elle au visage de Bri qui dégage son bras sans sourciller.

— Amber, tonné-je, en même temps que le Près' et Shadow qui se rapprochent.

— Ah tiens, le Cerbère, raille-t-elle en m'apercevant. C'est toi qui l'a faite venir, hein ? Tu peux pas t'empêcher de foutre la merde entre Hunt’ et moi. T'as tellement les boules qu'il ne respecte pas ton foutu pacte ! Qu'il me choisisse, hein ? Qu'en plus d'coller ton véto, il fallait qu'tu la fasses v'nir, elle ?

Je vois mon p'tit chat me dévisager, les sourcils froncés, cherchant à comprendre ce que dit l'autre connasse. Putain.

— Amber, grondé-je plus fort, en me rapprochant sans les quitter des yeux, la rage au ventre, les poings serrés, prêt à pulvériser cette salope.

Je ne m'en prends pas aux femmes, mais là, je peux faire une exception. Elle me donne des envies de meurtre. Décidé à régler le problème rapidement, j'avance droit sur elle, mais un geste de Bri m'arrête net. Juste derrière elle. Son parfum m'envahit et curieusement, me calme. Il est doux, caressant, envoûtant. Avec des notes d'agrumes. Putain, ce qu'elle sent bon.

— Personne te doit d'explications, tonne le Près'. Les affaires du club ne concernent pas une putain de brebis, vocifère-t-il menaçant, en avançant droit sur Amber, qui a un mouvement de recul et pâlit.

Mais il est également arrêté par un geste de Bri, tout comme Nina et Shadow. Vu la tête du Près', il n'apprécie pas de voir son autorité contestée par une nana. Encore moins devant ses hommes.

— Bri, l’avertit-il durement.

— Permettez. C'est avec moi que cette femme semble avoir un problème. C'est donc à moi de le régler. Ne vous en déplaise, Apocalypse, lance Bri au Près' en le regardant droit dans les yeux.

Sans la lâcher du regard, il finit par acquiescer. Putain. Je le crois pas. Mais c'est quoi son problème aujourd'hui ?! Elle le défie, il ne moufte pas. Elle lui demande de la laisser gérer devant tous mes frangins. De ne pas bouger. De ne rien faire. Alors que c’est les affaires du club. Qu’elle est sous notre protection. Et en un regard, il accepte sans sourciller. Qu'est-ce qui lui prend, putain ? C'est à nous de régler ça. Je le scrute sans comprendre. Shadow semble aussi inquiet que moi, mais ne dit rien.

De colère et décidé à ne pas la laisser gérer cette merde seule, j'enroule un bras autour de la taille de mon p'tit chat et la ramène contre moi. Je crains pendant quelques secondes qu'elle ne me repousse, mais rien. Elle n'esquisse aucun mouvement. Là, contre moi, je peux la protéger. Il est hors de question que je la laisse seule face à cette salope prête à tout. Putain. Y'a pas que le Près' qui déconne, je n’ai jamais réagi comme ça avec une femme quelle qu’elle soit. Mon p’tit chat éveille vraiment tous mes instincts, même les plus protecteurs. Mon attitude fait ricaner la brebis, qui nous jette un regard noir.

— J'comprends mieux pourquoi tu l’as appelée, raille-t-elle. T'espère te la taper pour que...

Je gronde à cette attaque et machinalement, resserre ma prise sur Bri, ce qui la presse encore plus contre moi. Putain que c'est bon.

— Ta gueule, putain ! J'ai aucun compte à rendre à une salope de brebis, rugis-je en la coupant. Je t’ai déjà prévenu, Amber. Si c’est la merde que tu cherches, tu viens de foutre le nez dedans !

Je grogne en sentant mon p'tit chat se tendre imperceptiblement à ces mots. Merde. Fait chier ! Je vais pour la rassurer quand elle me prend de court.

— Brebis? chuchote-t-elle pour que je sois seul à l'entendre. Apo l'a aussi appelée comme ça.

— Je t'expliquerai, lui murmuré-je à l'oreille, non sans glisser mon nez dans ses cheveux et respirer son parfum doux et sucré.

Putain. Elle sent tellement bon. Quand je m'aperçois que son corps se moule à la perfection au mien, je grogne de plaisir. Bordel de merde. La voix insupportable de l'autre me ramène à la réalité.

— Hunt n'a pas besoin d'elle ! crache-t-elle en regardant mes frères autour d’elle cherchant du soutien. Les avocats du club s'en chargent déjà ! Qu'est-ce que vous croyez, hein ?! Que parce qu’elle s’habille comme une pute de luxe,

elle sera capable de le sortir de taule ?! Putain. Vous êtes encore plus con que…

— C'est effectivement dans mes projets, la coupe Bri avec assurance, alors que l’autre connasse se marre et que mes frangins grognent devant son attitude de plus en plus agressive.

— Il est en taule pour un quadruple meurtre, putain ! Pas pour avoir baisé en public ! T’as pas les épaules, alors dégage ! On n'a pas besoin de toi ! IL n'a pas besoin de toi, vocifère-t-elle au visage de mon p'tit chat, qui ne cille toujours pas. Il m'a, moi. Le club. C’est bien suffisant. Sinon, pourquoi il ne voulait pas vous le dire ? lâche-t-elle mauvaise. Alors, retourne d'où tu viens et oublie-le. Reprends ton putain d'avion et casse-toi !!! Personne ne veut d'toi ici.

— Ta gueule putain, tonné-je en essayant de passer devant Bri, qui m’en empêche.

— On se connaît ? lui lance cette dernière calmement, toujours prisonnière de mes bras, pendant que l'autre connasse la dévisage prête à la bouffer. Je ne crois pas avoir eu ce plaisir, euh…

— Ah putain ! Et en plus, elle est conne !

Elle rit faussement en regardant les autres brebis qui font profil bas.

—Amber. La copine d'Hunt’. Sa future régulière, clame-t-elle avec un sourire suffisant.

À ces mots, tout le monde autour se tend. Mes frères se sont rapprochés et ne loupent rien de ce qui se passe. Derrière Amber, mon équipe. Les gros. Les faucheurs. Wolf, Devil, Scar, Spider, Tiger, War, Jam et Death se tiennent prêts à intervenir. Un signe, un regard et cette salope ne sera plus qu’un mauvais souvenir. On ne s’en prend pas aux femmes, mais on se fera un putain de plaisir de la foutre dehors et de la griller auprès de nos chapitres et clubs alliés.

— Putain, rugis-je. T'as pas encore compris. Tu ne seras jamais une régulière. Celle d'Hunter ou d'un autre de mes frangins. Aucun de nous ne prendrait pour femme une putain de brebis ! Une chatte à baiser. Un vide-couille. Juste bonne à écarter les cuisses pour mes frères. T'as rien d'une régulière. T'en auras jamais l'étoffe. T’es là pour une seule chose, baiser. T’es juste un putain de trou où fourrer leur queue quand ils en ont envie.

Bri, stoïque, les mains posées sur mon bras, le presse doucement tout en continuant de la regarder droit dans les yeux. Putain, cette nana, c’est le self-contrôle incarné. J'aperçois Stormy du coin de l’œil se rapprocher encore, prête à arracher les yeux d'Amber, avant qu'un nouveau geste de Bri ne la stoppe. Mais qu'est-ce qu'elle fout, putain ?

— La copine d'Hunter. Tiens. Curieux. Il n'a jamais parlé de vous, lance Bri glaciale. Et sans trop m'avancer, je sais que s'il partageait sa vie avec quelqu'un ou qu'il envisageait de le faire, sa sœur et moi en serions informées. Mais par-dessus tout, si ce que vous dites est vrai, Nina ne serait sûrement pas dans cet état, dit-elle en désignant Stormy, bouillante de rage.

Mes frères se sont encore rapprochés pour profiter du spectacle. Les brebis, elles, observent la scène à distance. Faut dire que mon p'tit chat n’a pas bougé devant l'autre conne et son air menaçant. Elle est bien droite, campée sur ses talons hauts. Mon bras toujours enroulé autour de sa taille, elle est collée à moi. Et putain, j'adore ça ! Les bras croisés sous sa poitrine, ce qui la met encore plus en valeur. Et j'ai une vue plongeante des plus intéressantes. Bri fixe Amber sans bouger. Putain ! Ce qu'elle est bandante ! Sa voix est calme, mais tranchante. Son attitude, celle d'un fauve ayant trouvé sa prochaine proie et qui ne va en faire qu'une bouchée. Elle a l'air très sûre d'elle et de l'issue du combat.

— Donc, de deux choses l'une. Soit vous êtes une menteuse pathologique qui rêve ou croit qu'Hunter va la choisir pour compagne grâce à son cul et qui a tout misé là-dessus. Et franchement, c'est très mal le connaître. Soit Hunter n’est plus celui que j’ai connu et si c’est le cas, il a clairement besoin que quelqu’un le ramène à la raison, assène mon p’tit chat, tranchante. Curieusement, je pencherai sans hésitation pour la première hypothèse. Ce qui m’amène à un autre point important que vous semblez avoir négligé. Que croyez-vous qu'il fera quand il saura de quelle manière vous défiez ses frères ? Les hommes qui vous ont offert leur protection, et avec qui, accessoirement, vous couchez. Quand il aura connaissance de la manière dont vous vous êtes présentés à ses proches, dont vous leur manquez de respect ? Et tout ça pour quoi ? Que je sache qu'il est à vous ? J’ai bien pris note, bien que j’en doute.

Amber se décompose, avant que la fureur ne prenne place sous les mots durs, mais justes de mon p'tit chat, qui s'avère tenir plus de la tigresse, que du chaton.

— Si vous pensez que quelque chose est possible entre vous, à part des séances de baise, vous vous êtes lourdement trompés. Comment voulez-vous qu'il vous respecte ? Vous ne le respectez pas. Vous ne vous respectez pas vous-même, lâche-t-elle implacable. Et si vous le connaissiez, vous sauriez qu'il n'acceptera jamais quelqu'un comme vous. Votre cul ne suffira pas à l'amadouer, aussi douée que vous soyez. D'ailleurs, si vous connaissiez les hommes, vous sauriez que ça vaut pour tous. Ils prennent ce dont ils ont besoin et basta. Pretty Woman n'est qu'une exception. Et quelle exception. Julia Roberts quand même. Sans vouloir vous vexer, vous en êtes loin.

Mes frères se marrent franchement aux propos de mon p'tit chat, qui j'avoue, me tire un sourire.

— Sale pute ! hurle Amber en se jetant sur elle.

Avant que j'ai pu réagir, mon p'tit chat m'a échappé, esquive l'attaque de l'autre furie, la choppe et une clé de bras plus tard, positionne son autre bras sous la gorge d'Amber, qui hurle toujours, complètement hystérique.

Surpris par la maîtrise de Bri. Sa rapidité. Son agilité. Son self-control. Aucun de nous n'a bougé. Putain, cette gonzesse c'est… C'est une bombe. Plantée sur des talons vertigineux, enserrée dans une putain de jupe qui moule son cul d’enfer, elle est aussi agile qu’un félin bien aiguisé. Et ultra bandante ! Bordel !

— Susceptible à ce que je vois, assène-t-elle à Amber, alors qu'elle resserre sa prise autour de son cou, l'obligeant à se calmer, si elle ne veut pas manquer d'air.

Puis, la voix de Bri résonne. Forte. Claire. Déterminée. Tranchante. Polaire.

— Trêve de plaisanterie. Tu vas m'écouter très attentivement. Je ne le répéterai pas. Je suis là pour sortir Hunter de prison. Et ce, par n'importe quel moyen. Je n'ai besoin de personne pour ça. Et personne, je dis bien PERSONNE, ne m'en empêchera. Encore moins une traînée siliconée. Alors surtout, veille à ne plus te retrouver sur mon chemin. Ne me sous-estime pas. Ce n'est pas une menace chérie, c'est une promesse. Suis-je assez claire ?

Devant l'absence de réponse de l'autre conne, elle resserre encore l'étau de son bras sur sa gorge.

— Suis-je claire ? répète-t-elle distinctement, alors que la brebis acquiesce. Bien.

Bri relâche sa prise. Et sans que mes gars aient le temps de choper cette salope, elle se retourne et tente de s'en prendre à nouveau à mon p'tit chat. Plus rapide, cette dernière l'esquive encore et sans aucune hésitation, lui décoche un putain de crochet du droit en plein visage, la mettant K.O. sous nos yeux ronds. Personne n'a le temps de réaliser que le portable de Bri sonne. Elle souffle en voyant qui l'appelle, mais répond tranquillement sans quitter des yeux la brebis qu'elle vient d'étaler. Putain !

— Maître Callaghan.

— …

— Monsieur le Procureur, je vais finir par croire que vous avez un problème auditif ou que le Procureur Général de Californie tremble devant une de ses jeunes consœurs. Deux appels en moins de trente minutes, avec le même objet... Vous savez qu'au troisième appel, je pourrais considérer ça comme du harcèlement. Mais cela relève peut-être plus d'un problème de perte de mémoire ou d'un début de démence sénile. Vous devriez consulter Monsieur le Procureur. Les symptômes sont sérieux et ce genre de choses n’est pas à prendre à la légère.

— ...

— La réponse est toujours non, répond-elle glaciale et cassante. Il n'y aura, ni rencontre, ni négociation, ni marché concernant l'affaire Thomas. Je. Ne. Négocie. Jamais. Il ressortira libre et blanchi. Allez bétonner votre dossier Monsieur le Procureur et préparer votre plaidoirie, plutôt que de me faire perdre mon temps et le vôtre. Bonne journée.

Elle raccroche, les yeux toujours rivés sur le corps étalé par terre. Putain. Après avoir étendu cette salope d'Amber sans le moindre effort, elle vient de dire au Proc d'aller se faire foutre ! Bordel de merde ! Cette nana est une putain de bombe ! D'un coup, tous mes frères se mettent à siffler et féliciter mon p'tit chat. Stormy lui saute dessus sans ménagement et la serre à deux doigts de l’étouffement.

Bordel, c’est une sacrée gonzesse ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle a gagné le respect de mon club, de mes frangins qui continuent de l’acclamer. Toujours contre moi, elle se dandine visiblement mal à l’aise, les joues rougies. Putain, elle est sublime ! Je resserre ma prise sur son corps. Cette nana sera à moi. Ce n’est qu’une question de temps. Quand je croise le regard de mon Près' et de Shadow, la fierté et l’admiration s’y lisent aussi sûrement que dans le mien. Gagner notre respect, c’est déjà un putain de défi, fierté et admiration, bordel ça n’arrive jamais ! Pussycat fait une putain d’entrée au club. Le général en jupon vient d’opérer la prise du MC sans arme, mais à coup de poing et de “va te faire foutre”. Putain, ça promet pour la suite !

Et ça m'arrache un foutu sourire. Je suis fier. Ouais bordel, je suis fier d'une nana. Mais bordel, celle-là c'est quelque chose ! Je comprends mieux mon frangin. Son obsession pour la belle brune. Pour ses yeux de fous. Son corps à se damner. Et son caractère aussi doux qu’une panthère sauvage. Elle est parfaite. En plus d'être gaulée comme une putain de déesse, elle a des tripes. C'est une foutue guerrière. Elle ferait une putain de régulière !

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