Le chemin du tunnel - 1

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On a tous une main sur nos armes, nos sens aux aguets. Nos pas résonnes dans le tunnel, nous sentons l'odeur de l'humidité, et une puanteur qui m'est familière, et inconnu.

– Riley. Dis Kayla en me montrant une lampe de poche, elle là fait légèrement balancer de droite a gauche.

– J'en ai mise une dans chaque sac pendant que vous vous prépariez, je pensais que sa nous serais utile un moment ou l'autre. Dit-elle. Je cherche silencieusement la lampe, et la sors. Étrangement je lui fais un grand sourire, cela fait longtemps que je n'ai pas souris au-temps. Je m'approche de ma sœur, la prend dans mes bras. Je la remercie à voix basse, visiblement à une voix presque exténuée. Ma sœur, un peu surprise me pose ses mains sur mon dos.

Nous voilà à la fois avantager mais aussi très pénaliser sur la discrétion. J'explique à mes sœurs qu'il ne vaut mieux pas les utiliser tout de suite, qu'il faut seulement les utiliser en cas d'extrême urgence ou d'occasion exceptionnel. Maintenant que nous sommes prêt nous pouvons marcher.

L'odeur familière devient de plus en plus forte à force que l'on marche, Kayla et Madison ont couverts leurs bouches et leurs nez avec le col de leurs manteaux. Quant à moi je reste silencieuse, nez et bouche à découvert, cette odeur devient insupportable, j'allume la lampe pour découvrir d'où vient cette odeur immonde, je regarde le plafond mis à part un peu de moisissure, je n'y voie rien qui pourrais être désagréable.

Le sol est recouvert de sang, plus loin, je perçois une masse de cadavres plus ou moins entier, j'écarquille les yeux, cette odeur que je reconnais, c'est celle de cadavre mort depuis un certain temps. Pourquoi je me rappelle tant de cette odeur ?

– J'arrive plus à respirer cette odeur, elle est immonde. Dis Madison en toussant à s'en étouffée.

– C'est normal que tu ressente ça. Faite attention où vous mettez les pieds, suivez moi l'une derrière l'autre. Elles regardent tout deux l'endroit que j’éclaire. Des bruits de dégoût sortent de la bouche de mes sœurs.

– Qu'est ce qui a pu faire ça, tout ces gens son étripés, pas un n'est entier. Dit Kayla en examinant les corps de près. En effet tous ne sont que des ''morceaux''.

– Remettons nous en route au lieu de les examiner, on ne sait pas qui ou quoi à fait ça, sa pourrait nous retomber dessus. Dit Madison avec un visage de dégoût pour ce quel voie. Je me retourne pour la regarder fixement et fis un hochement de tête. Elle a raison sur ce qu'elle a dit.

Nous continuons notre chemin silencieusement. Seule nos pas, le bruit de leurs flèches qui s'entrechoquent, et une légère lumière que je cache tant bien que mal pour pouvoir savoir où marcher et être discrète, permettent aux autre individu de savoir notre présence.

Après plusieurs minutes de marche, nous arrivons dans un endroit pesant. J’éteins la lampe, la remet dans mon sac. L'endroit est éclairé par des torches, un grand couloir comme le reste du tunnel, mais à gauche il y une pièce. Soudainement on entend des cris de souffrance venant de celle-ci. Mes sœurs et moi regardons en direction du bruit, mais on ne voient rien.

– Restez ici, je vais voir. Si quelqu'un approche n'hésiter pas à tirer. N'ayez peur de tuer des gens. Je les regarde pendant deux secondes, et me dirige vers les bruits de souffrances.

Je me colle au mur, penche ma tête légèrement. Une grande salle noir, le sol était recouvert de damier salit, au milieu de la pièce quatre chaises alignées. Près la chaise la plus à droite, une table en métal, dessus tout objets de torture. Tout ses personnes sont torturées pour au final mourir de peur et de douleur.

Je me rapproche des respirations hachées. Un cri de joie retentit dans toute la pièce, je reconnais ce rire, sans savoir qui est-ce. Je marche à pas de loup pour mieux observer, en étant discrète.

 Une femme, sur la chaise la plus à droit a rendu l'âme, du sang coule de sa tempe, une dernière respiration qu'elle à su faire avant de fermé les yeux. J'espère pour elle, qu'elle est maintenant en paix après ce qu'elle à souffert.

A coter d'elle, un enfant. De dix ans, je pense vu sa taille et les traits de son visage encore enfantin. Il hurle de douleur. Ses pieds attachées solidement par des fils de fer qui lui rentre dans la peau, ses mains sont également attachés de la même manière. Je ne ressens peut être pas la douleur qui leurs est infliger mais je la connais, je l'ai eu, J'ai le sentiment que j'ai vécu ces blessures.

Les deux autres personnes sont des hommes. L'un est un peu plus musclé que l'autre. Ses yeux brille de larmes, son visage est recouvert de sang, de brûlures, cicatrices et d'hématomes.

La crainte s'éveille en moi. Cet homme doit être ici depuis plus longtemps que les autres. Son souffle est court, il relève les yeux vers le vide du plafond blanc, son regard descend lentement vers le sol. Il croise mon regard et s’arrête de bouger, on se fixe yeux dans les yeux.

Je comprend en lisant sur ses lèvres qu'il veut que je m'enfuis, partir pendant qu'il en est encore temps. Avant que moi aussi je subisse le même sort qu'eux. Mais je refuse de les laisser souffrir d'avantage.

Mon regard fixer sur le sol, je décide de repartir discrètement. J'entends derrière moi un léger soupir de désespoir, j’espère que se n'est pas lui, qu'il ne crois pas que je vais les abandonnées lâchement.

Je rejoins mes sœurs, elles tournent leurs yeux rapidement vers moi, l'arc brandit sur ma tête. Les muscles de mon corps se contractent, surprise par leurs réactions.

– Ah ce n'est que toi. Dit Madison en détendant la corde de son arc en même temps que Kayla.

– Oui, mais pas si fort. J'ai besoin de votre aide, suivez moi. Elles se regardent, hochent la tête et me suivent à la salle de torture. Elles voient les personnes ensanglanter, mais particulièrement, celui qui à coter du garçon qui m'a dit de m'enfuir. Il est en train de se faire calciné les membres. L'ordure qui lui fait infliger ces choses, devrait subir toutes les souffrances que ces gens ont eu.

Elles baissent leurs yeux pour ne pas voir ce crime. Je leurs fais une petite tape sur l'épaule et leurs fait signe de s'accroupir contre le mur.

Après quelques de minutes de souffrance pour cette homme et de cri incessant, la pourriture qui les torture part, sûrement pas pour peu de temps.

– Madi, Kayla. Vous voyez les fils qui sont attaché à leurs jambes. Vous allez prendre ça et tiré dessus. Je sors ma sphère noir, appuie sur le bouton et en sort deux flèches en hologramme, qui au fur et mesure des seconde se solidifie et les rends réels.

– Tiré sur les deux du centre, les autres sont mort, grâce à ses flèches le fil va fondre, Ok ? Elles ne disent rien. Elles prennent chacune une flèche, la mettent sur leur arcs. Elle ne peuvent pas loupé se coup, c'est leur seule chance. Elles tendent leurs arcs, visent le fil. Pendant ce temps je sors ma dague de ma ceinture. Elles tirent.

Je leurs fais signe de ranger immédiatement leurs arcs, on se cache dans l'ombre mur. A peine les flèches ont toucher le sol qu'elles se sont consumer dans une légère flamme, comme je l'espérai.

L'homme revient, il cri a l'homme torturer qui prend ses dernière respiration.

– C'ETAIT QUOI CE BRUIT !? DIS-MOI ! DIS-MOI OU JE TE TUE? TE BOUFFES !! L'homme le regarde mais n'a aucune réaction. Il sourit simplement.

– POURQUOI TU SOURIS !? TU TE FOUS DE MOI !!? La pourriture le prend par le col et le soulève, lui et la chaise.

– Ouai..., je me fous bien ta gueule..., salopard. L'homme lui cracha au visage un glaire de sang, et respira une dernière fois avent de mourir et d'être jeter de l'autre coter du mur, par ce ''salopard''.

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