Chapitre 13

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Le réveil est douloureux. Malgré la douceur du petit-déjeuner linguistique de mon mari qui me réveille, les coups frappés forts et rapides à la porte nous oblige à nous lever. Mon corps est merveilleusement endolori et, pourtant, il en veut encore. Derrière la porte, se tiennent ma famille et mon beau-père. Que se passe-t-il ? Ils ont l’air assez inquiets. Habillés en vitesse, ils ne ressemblent pas à grand-chose mais au moins ils sont habillés et pas à peine recouverts par des draps… L’explication à leur agitation met mes nerfs à l’épreuve : la Salope et son fils ont échappé à l’attention des espions qui les suivaient et on a perdu leur trace. Ils sont donc libres de leurs mouvements et peuvent revenir nous faire du mal. Daniel me soutient par la taille mais l’information le choque, je le sens même s’il ne dit rien. Mais je deviens assez réaliste, il y aura toujours quelqu’un qui aura une dent contre nous et qui voudra notre peau mais nous ne devons pas arrêter de vivre pour autant alors je décide que nous allons tout de même partir en lune de miel, même si la panique se lit dans les yeux du Roi, il est d’accord avec moi. Cette annonce faite, nous retournons dans la chambre finir nos bagages et prendre une douche rapide. Quarante minutes plus tard, nous sommes prêts, les valises sont emmenées par les domestiques et nous descendons dans le Grand Salon où on nous attend pour quelques dernières recommandations avant de partir.

Je ne sais pas où on va. Je ne sais même pas ce que j’ai dans ma valise. Une cousine de Daniel et les femmes de chambre ont tout préparé dans mon dos, ne me laissant pas deviner où nous allons. Mon mari refuse de me le dire et joue avec ma curiosité. La voiture, accompagnée par une escorte moto et auto, roule vite sur l’autoroute, direction l’aéroport. Ça, ce n’était pas difficile à deviner vu que le pays n’est pas assez diversifié et trop proche de la population que pour profiter l’un de l’autre. Le jet privé nous attend sur le tarmac, prêt au décollage. Le commandant de bord vient nous saluer, nous féliciter pour nos noces et nous précise les conditions de vol. Il ne devrait pas y avoir de problème jusqu’à notre destination qu’il laisse presque échapper à ses lèvres. Je tente ma chance et lui demande discrètement où on se rend mais il me fait un clin d’œil, me recommande d’aller m’asseoir et d’attacher ma ceinture en retournant dans le cockpit.

Daniel prend ma main et l’embrasse en me faisant des œillades vers la chambre attenante puis me murmure qu’il veut me faire atteindre le septième ciel à dix mille pieds de haut. Je fonds contre lui mais il en veut encore ? Mon entrejambe sent encore sa présence en lui comme s’il y était là maintenant. Ah non… Il ne s’agit que de ses doigts qui se sont glissés sous ma jupe. Att… Quoi ? Quand ? Comment est-il arrivé là ? Mais non ! Mais… Mon corps se laisse complètement contrôler, mon esprit n’a plus d’emprise sur lui. Ça m’excite autant que ça me fait paniquer. Suis-je devenue à ce point dépendante de lui et de son toucher ou est-ce juste le temps que la phase de lune de miel se passe ?

L’avion a décollé et plane déjà haut dans le ciel. J’ai perdu tous mes repères sauf celui qui me porte jusqu’au lit. Sarcastique, je lui demande un « encore ? » mais mon corps répond le contraire, espérant l’attraper dans ses filets. Doucement, pour me préserver de la différence d’altitude et aussi pour laisser à mon sexe le temps de se remettre de notre nuit de noces, il se contente de me déshabiller, faire de même pour lui puis se couche en posant ma tête sur sa poitrine, une de mes jambes en travers des siennes. Je pose un baiser sur son cœur et m’endors d’un seul coup.

Des secousses me réveillent. Je suis habillée et dans mon siège, étroitement attachée. Ai-je rêvé d’avoir été au lit avec Daniel ? Non, il ne porte plus les mêmes vêtements ou plutôt ils sont remis d’une drôle de façon : son tee-shirt est remis à l’envers et la braguette de son pantalon n’est pas fermée. Quant à moi, je ne suis pas dans un meilleur état : ma robe est froissée et est également mise à l’envers. De nouveaux tremblements me tirent de mon relookage. L’avion entier vibre et perd de l’altitude. Que se passe-t-il, encore ? Un problème technique ? Un trou d’air ? Le commandant de bord nous annonce que nous ne sommes plus qu’à une centaine de kilomètres de notre destination mais que les instruments de bord ne répondent plus et qu’ils volent à l’aveugle. Très rassurant… Je sers la main de mon chéri et cherche un peu de réconfort dans ses yeux qui se sont transformés en émeraudes dures. Le problème n’est pas accidentel, donc. La menace de la Salope et de son fils me revient en tête et je me sermonne sur le prix du silence par rapport à celui de la bêtise. Nous aurions mieux fait de rester au palais, là où nous étions en sécurité. L’engin plonge d’un coup, nous balançant de l’avant vers l’arrière et je vois une hôtesse de l’air s’envoler contre la carlingue. Je panique à la voir ainsi ballottée en l’air. Je n’aime pas ça du tout. Le co-pilote nous avertit que nous devons effectuer un atterrissage d’urgence si nous voulons nous en sortir en vivants. Rassurant…

L'appareil continue de descendre mais moins fort et moins à pic. Par le hublot, je ne vois que des plages de sable blanc et l’océan mais aucune trace d’habitation. Nous nous rapprochons rapidement des côtes et de la surface de l’eau, trop vite que pour un amerrissage sans trop de casse. Les pilotes essayent de nous ralentir en déployant les haillons au maximum mais, à cause de la pression ou de la vitesse, ils se brisent. Plus moyen de ralentir et nous sommes trop loin des côtes et trop haut par rapport à la mer que pour sauter et arriver en un seul morceau. La main de Daniel se resserre sur la mienne et ses yeux se font inquiets. Je suis morte de peur. Nous sommes trop jeunes pour mourir, nous devrions avoir tout notre temps pour nous découvrir et nous connaitre, trop amoureux que pour risquer de perdre l’autre. Non ! Il ne va rien nous arriver de mal, on va trouver une solution et on fera notre lune de miel comme prévu ! Le commandant nous annonce que nous allons nous approcher le plus possible de la surface avant de devoir sauter. Okayyyy… Donc on ne va pas mourir dans l’avion mais dans la jungle, sans nourriture ni vêtements propres. De vrais Robinson Crusoé. Nous détachons nos ceintures, attrapons ce que nous pouvons pour ne pas nous envoler comme la pauvre hôtesse qui ne bouge plus, étendue sur le sol et allons ouvrir la porte. Elle n’est pas faite pour faire ce genre de choses et cède comme les haillons. Le reste de l’équipage nous rejoint, le pilote automatique enclenché.

Main dans la main et l’hôtesse blessée sur son épaule, nous sommes les deux premiers à sauter. La chute me parait durer une vie entière et une seconde à la fois. Si je n’avais pas si peur pour ma vie, je l’aurais appréciée mais il y a trop de dangers. L’équipage saute par groupes de deux et nous finissons tous dans l’océan. L’impact avec l’eau est brutal, expulsant tout l’air que j’avais pu accumuler hors de mes poumons, le remplaçant par la brulure salée de l'eau océanique. Quand nous refaisons surface, je vois l’avion s’écraser violement, faisant un bruit digne des enfers. Des éclats de métaux s’envolent dans tous les sens, accompagnés d’une grosse boule de feu. Lentement, nous regagnons le rivage. Arrivés sur la terre ferme, je m’écroule, en larmes et à bout de souffle, sur le sable chaud. Les autres survivants nous rejoignent mais certains sont blessés. Le co-pilote nous rassure en répétant plusieurs fois que toutes les tours de contrôle dans les environs sont prévenues de l’incident et que les secours ne devraient pas trop tarder. Qu’est-ce qu’il entend par pas trop tarder ? Ils arriveront, c’est sûr mais dans combien de temps ? Dans quelques heures ? Quelques jours ? Quelques semaines ? Nous n’avons qu’un seul téléphone encore fonctionnel mais la batterie ne durera pas des lustres. En réalité, nous étions presque à destination, l’aéroport le plus proche et celui auquel nous aurions dû atterrir n’est qu’à une demi-heure de vol, soit à environs soixante kilomètres. Cette nouvelle me rassure.

Malheureusement, les secours arrivent trop lentement et la dame que Daniel a sauvée du crash n’a pas survécu aux différents chocs dans l'appareil et avec l’eau. Je sais qu’il s’en veut mais il ne pouvait rien faire de plus. Personne ne le pouvait. Je le comprime contre moi en pleurant doucement. Notre mariage est-il à ce point voué à l’échec que tout semble se retourner contre nous ? Nous devrions être heureux, amoureux et loin de tous les problèmes mais ils nous poursuivent même de l’autre côté du globe. Un des stewards devait être très proche d’elle car il serre son corps contre lui en hurlant sa douleur, ravivant mes larmes. Mon mari me presse sur son torse, me disant à quel point il m’aime et qu’il ne veut pas que nous souffrions des conneries des autres mais il est déjà trop tard, le mal a été fait, coûtant la vie à une jeune femme innocente.

Bientôt, le bruit de palles qui tournent me sortent de ma torpeur. Des hélicoptères s’approchent de nous. J’ai perdu la notion du temps mais le soleil descend rapidement dans le ciel. Les appareils nous voient et se posent non loin de nous. Nous n’aurons pas à passer la nuit sur la plage, à la merci des vagues et des animaux. Assez rapidement, on nous prend en charge, nous donnant des tenues sèches et des couvertures isothermes en nous faisant monter dans les engins qui s’envolent vers l’aéroport. Les recherches n’ont pas duré longtemps et les boites noires de l’avion ont déjà été retrouvées, ainsi que la grande majorité des bagages qui n’ont miraculeusement rien. Des ambulances nous attendent sur le tarmac et nous emmènent vers l’hôpital le plus proche. On nous fait plein d’examens différents mais je refuse d’être éloignée de Daniel. La pauvre hôtesse a été placée à la morgue mais les autres membres de l’équipage ne sont que très légèrement blessés. Dans notre malheur, nous avons eu de la chance. Je ne m’en serais sans doute jamais remise s’ils avaient été gravement mutilés. Une fois les médecins rassurés sur notre état de santé général, une voiture s’apprête à nous conduire jusqu’à la maison où nous devons passer nos deux semaines en amoureux. À la sortie du centre hospitalier, les journalistes sont présents, nous harcelant de leurs questions et de leurs flashs mais nous ne disons rien, nous nous contentons de nous accrocher l’un à l’autre et avançons vers le véhicule qui nous attend.

Malgré la présence de la police qui empêche les paparazzis de passer, ils nous suivent jusqu’à l’immense maison de plein pied. Ça ne va pas être facile de faire une petite sortie à nous deux, avec toutes ces personnes qui savent maintenant où nous sommes… Daniel m’aide à sortir de la voiture puis passe le pas de la porte en me portant dans ses bras. N’a-t-il pas déjà fairt ça hier soir, en passant les portes de l’appartement que nous avons au palais ? Je m’en fiche royalement et l’embrasse. Les bagages qui ont pu être récupérés sont déjà posés dans la chambre à coucher aussi grande que la Chapelle expiatoire. Elle est incroyablement belle et décorée mais sans l’être de trop. Il pose délicatement sur le lit et m’embrasse. Il part puis reviens quelques minutes plus tard avec des housses à vêtements qu’il dépose sur la commode avant de venir me rejoindre. Je n’ai pas bougé d’un pouce, les yeux encore perdus dans le vide et les images du crash qui passent en boucle dans ma tête. Il s’agenouille devant moi et me prend les mains.

« - Mon cœur ? Réponds-moi, chérie.

- Oui ?

- Ça va ? Trésor, regarde-moi. Ne pense plus à ce qu’il s’est passé tout à l’heure. C’est triste, surtout pour cette hôtesse, mais ce n’est pas notre faute. Je ne sais pas encore si c’est juste un problème technique ou si quelqu’un a cherché à nous tuer. Si la seconde réponse s’avère être la bonne, cette personne payera au centuple ce qu’elle nous a fait, à nous deux, à l’équipage et à l’hôtesse. D’accord ? Regarde-moi, chérie, je deviens fou de te voir aussi loin de moi.

- Ça va. J’ai juste du mal à intégrer les événements. Les images reviennent encore et encore, m’horrifiant un peu plus à chaque fois. Je revois son corps qui s’envole et qui s’écrase contre le plafond et sur le sol avec des craquements terribles. Je vois l’avion qui se brise avant que nous ne sautions puis qui explose quand je refais surface.

- Stop. Chérie, regarde-moi dans les yeux. Respire. Profondément. Inspire. Expire. Encore, mon cœur. Voilà. C’est bien. C’est fini. On s’en est sorti, ensemble. On est vivant et, même si on gardera en mémoire cet tragédie, on ira plus loin que ça. Je t’aime et c’est tout ce qui compte.

- Je t’aime. Merci mon chéri. »

Je me penche vers lui et lui prends le visage entre mes mains. Il soupire et ferme les yeux, se détendant enfin. Je suis égoïste. Il s’est inquiété pour moi et a essayé de me faire sortir de ma transe morbide mais je n’avais pas pris en compte que lui aussi était touché par les événements. Il a l’air tellement paisible, tellement fort que rien ne pourrait jamais le toucher mais c’est faux. Sous cette carapace, son cœur d’or est hypersensible à toute grosse émotion. Mes larmes coulent, incontrôlables. Je pose mon front sur le sien, ferme les yeux et respire profondément. En les rouvrant, nos regards se croisent et s’accrochent. Je pose mes lèvres sur les siennes, passant une main dans ses cheveux et l’autre sur son cœur.

Lentement, il se relève et nous repousse vers le centre du lit super King size. Il enlève sa blouse puis fait de même avec ma robe. Il s’allonge au-dessus de moi, en appui sur ses avant-bras, s’empare de ma bouche et retire ce qui lui reste de vêtements. Il descend plus bas, dévalent le long de mon cou en le mordillant au niveau de mon pouls, détache mon soutien-gorge attaché devant avec ses dents, mord mes tétons durcis, m’arrachant un petit cri de surprise, et continue de descendre vers le sud, léchant et mordant mon ventre avec une attention particulière pour mon nombril. Je tremble du désir qui s’accumule dans mon bas-ventre, tordant ses cheveux autour de mes poings. Il atteint enfin son objectif. Titillant d’abord avec son nez puis avec sa bouche ma zone sensible et mon clitoris vibrant et ultrasensible. Je suis déjà perdue, trop d’informations m’assaillent. Je crie et me débats contre l’orgasme qui arrive trop vite. Je sais qu’il veut me faire perdre la tête avant de prendre son propre plaisir. Sa langue plonge, lèche, me pénètre et fait de moi son esclave.

« - Jouis ! Maintenant ! Vas-y mon cœur, m’ordonne-t-il en soufflant sur mon clito trempé.

- Non. Je te veux en moi. Je veux te sentir jouir en moi.

- Jouis !, m’ordonne-t-il en mordant violement mon mont de Vénus »

Impossible de résister. Je hurle son nom en jouissant comme jamais, le corps tendu et surélevé. À la vitesse de l’éclair, il remonte jusqu’à mon visage et plonge sa langue encore mouillée de mon désir dans ma bouche. Je gémis face à mon propre goût qui s’est accroché à elle. Je racle son dos en faisant laissant mes mains descendre jusqu’à ses fesses. Je prends son sexe lourd et dure dans l’une, la faisant glisser de haut en bas. Il geint et donne un coup de rein. Je souris et continue mon mouvement. Je le retourne sur le dos. Il semble surpris. J’ai envie de lui donner la plus belle jouissance que j’ai pu lui offrir jusqu’à présent. Suivant son schéma, après l’avoir embrassé longuement, je descends vers son bassin, le léchant, le mordant et jouant avec son corps si réactif à mon toucher. Ma main a arrêté de le masturbé et s’amuse avec ses testicules pleins. Je passe ma langue sur son membre érigé. Dans un sens puis dans l’autre. Deux fois. Il grogne et me tire les cheveux assez fort que pour me faire monter les larmes aux yeux. Son ordre silencieux est parfaitement compréhensible : suce-moi, vite et fort. Je prends le bout de son gland entre mes lèvres, laisse mes mâchoires se détendre et ma langue faire tout le travail. Je prends autant de plaisir à le sucer que quand il m’a fait le cunnilingus. Mes doigts libres se dirigent vers mon entrejambe qui en redemande. C’est la première fois que je me touche et j’imagine ses doigts remplacer les miens. Je gémis, sa queue remplissant ma bouche jusqu’à la gorge. Son bras attrape le mien et stoppe net mon action en grognant. Je lui réponds de la même façon et en le faisant entièrement sortir. Je le fusille du regard pendant qu’il m’ordonne de continuer. Il avance ses hanches et frappe mes lèvres avec sa bite mais je refuse de les ouvrir.

Il inverse nos positions, me clouant sur le matelas. Ses yeux jettent des éclairs mais je ne cède pas. Sa bouche se fait violente contre la mienne, la forçant à s’ouvrir. Ça, je le laisse faire. Il me tient les bras au-dessus de la tête et empêche mes jambes de s’ouvrir. J’arrive à en glisser une par-dessus les siennes. Sa bite se loge dans mes replis sans me pénétrer. Je bouge pour le faire rentrer. Peine perdue, il me fait son sourire de bad boy et me fait attendre. Il malaxe ma poitrine, la couvrant de baisers et de petites morsures. Il m’énerve à jouer ainsi, me tenant sur le fil pour ne pas me laisser dans l’orgasme. À chaque fois que je m’y approche un peu trop, il s’arrête et recule jusqu’à ce que la pression soit retombée. Je crie ma frustration et me débats. Ça m’énerve !

Enfin ! Je le sens glisser lentement, m’étirant, m’emplissant entièrement en un mouvement. Ma tête part en arrière et je m’agrippe à ses bras pour ne pas tomber trop vite. Il attend, tendu avant de commencer un va-et-vient délibérément lent et lascif. Sa bouche continue d’harceler mes seins mais libère mes jambes que j’enroule sans tarder autour de sa taille, l’attirant encore plus loin en moi, jusqu’à ce que je le sente jusqu’au fond. Je veux accélérer le rythme mais il s’esquinte à rester sa vitesse d’escargot. Bouger ne sert à rien et il continue à me narguer. Je bous de désir. Puis, d’un seul coup, il perd le contrôle, empoigne mes hanches et accélère le mouvement. Ses yeux ne lâchent pas les miens et nos bassins se rencontrent dans un grand bruit de claquement, gémissants de concert, violents tout en restant tendres l’un envers l’autre. On y est presque. Encore en peu. Juste un petit peu. Oui ! Nous hurlons notre plaisir dans la bouche de l’autre avant de nous effondrer. Je suis épuisée et écrasée mais comblée et totalement amoureuse.

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