la punition de Brice (vo remaniée)(-16)

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À peine le temps de me remettre dans les draps que :

« Zlough »

Je fus encore secoué par le pouvoir. Je me retrouvais maintenant avec la maman de Brice.

Pauline avala son dernier verre de la soirée et paya le tenancier. Elle lui laissa un beau pourboire et se dirigea vers sa maison.

Elle aimait déambuler la nuit, seule dans le village, pour regagner son havre de paix.

Cette nuit, elle marchait un peu plus vite qu'à l'accoutumée, pressée de connaître l'étendue des blessures que Brice avait infligées au petit nouveau !

« C’est pas gentil ça, mais c’est tellement réconfortant… On ne tient pas tête à mon fils sans risque… Moi seule peux me permettre ce luxe », ricana-t-elle.

Elle est aussi barge que son gamin celle-là ; ça ne m’étonne pas qu’il soit devenu dingo.

Elle entra dans sa demeure et perçut un calme inquiétant.

Elle monta aussitôt dans la chambre de son fils qui semblait dormir et le secoua sans ménagement.

Doucement mémère. Tu vas le réveiller et il n'est pas content de sa soirée.

« Alors mon petit Brissou ? On n’a pas attendu maman pour tout lui raconter ? commença-t-elle d’une voix faussement douce.

– Il n’y a pas grand-chose à raconter, et comme j’étais claqué… », répondit Brice.

C’est pas bien de mentir. Tu as perdu ton duel mon petit. J’ai gagné la partie.

Une sirène s’enclencha dans le crâne de Pauline ; plusieurs choses clochaient : d’une part, son fils ne l’avait pas rabrouée quand elle l’avait appelé Brissou, alors qu’il détestait ce surnom, et d’autre part, il était beaucoup trop calme.

Elle perd pas le Nord la vieille.

Elle en déduisit que son plan avait échoué et que le petit nouveau avait contré son attaque. Dieu seul sait comment.

« Sors de tes draps, j’ai besoin de vérifier quelque chose.

Elle fait quoi là ?

– Mais maman, il est tard là ; ça ne peut pas attendre demain ? se plaignit Brice.

– Non, c’est urgent. Dépêche-toi, on n’a pas toute la nuit. »

D’un coup d’un seul, Pauline était complètement dégrisée et elle devait corriger Brice pour son échec. Ensuite, elle s’occuperait du petit nouveau… Mais chaque chose en son temps. D’abord, place à la punition de Brice.

La punition de Brice ? Qu’est-ce qu’elle va lui faire ?! m’inquiétai-je.

*

Je sens le glauque arriver. Le regard – mélange de rage et de tristesse– de la mère de Brice traverse mes ondes cérébrales, comme des marteaux piqueurs transperçant le bitume. Ma gorge s’assèche, la sueur coule sur mes vêtements, et j’entends au loin des mots dont j’ai du mal à comprendre la signification…

« It’s too ea… »

La fin de la phrase disparaît dans la pièce. Mon corps n’est plus qu’un spasme géant. Le lit trésaille comme lors d’un tremblement de terre. J’ai chaud et pourtant je frissonne. Mes yeux roulent dans leurs orbites…

Un docteur s’approche de moi et tente de me rassurer :

« Keep your calm.

– Pourquoi me parle-t-il en anglais ce con ? Où suis-je ? Que me veulent-ils à la fin ? Je veux hurler ces questions, mais à la place, mes tremblements s’accélèrent de plus en plus… Tout comme mon rythme cardiaque ! »

Un de ses congénères me saisit la jambe pour la contrôler. Celui près de moi m'incite à me calmer. Après ce que j’ai vu, ça ne va pas être aussi simple. Des images provenant de la suite de la vision se sont enchaînées avant de se superposer, de s’entremêler…

Elles étaient insupportables. Elles sont arrivées sans prévenir dans mon cerveau et se sont succédées à un rythme effréné. Je n’ai pas eu le temps de les analyser vu leur rapidité, mais elles sont parvenues à me glacer le sang. Je ne peux continuer plus longtemps leur petit jeu qui n’en est pas un d’ailleurs. Ils se rendent compte qu’ils sont allés trop loin, et que ni mon esprit ni mon corps n'en supporteront davantage.

Le médecin tenant ma jambe m’injecte un sédatif pour me calmer. Au bout d’un certain temps, je sombre dans un sommeil profond.

À mon réveil, le docteur Amigo me tend un verre. Sa présence me réconforte ; avec l’infirmière, c’est la seule personne amicale avec moi.

« Buvez ceci lentement. Je vais vous aider. Nous pensions que vous étiez prêt, mais nous vous avions surestimé. Ce n’est pas grave, car vous réagissez bien pour le moment. Nous avons voulu griller les étapes, mais maintenant nous connaissons vos limites. Ce n’était donc pas inutile. Doucement, c’est bien, prenez de petites gorgées.

Je m’exécute, j'avale un peu d'eau, elle me procure un léger bien-être.

– Vous voyez tout va bien. Je vous avais dit que je ne vous laisserais pas tomber. C’est bien. Continuez à vous détendre.

Il pose le verre sur la table puis revient me voir.

– Nous allons pouvoir reprendre l’expérience. Vous allez redécouvrir les images précédentes, mais dans un rythme plus adapté, ces dernières ne vont pas s’entrechoquer, elles vont se dérouler avec le reste du souvenir. Vous êtes prêt désormais. Votre cerveau analysera plus facilement que tout à l’heure, ce sera moins douloureux pour vous.

Il me sourit tristement.

– Cependant, ne vous attendez pas à une partie de plaisir, ce n’est pas le but. Les visions ne seront pas édulcorées ; mais tentez de résister. Je sais que vous en êtes capable. J’ai confiance en vous. »

C’est alors qu’un de ses collègues entre dans la salle, essoufflé. Il répète sans cesse « Schnell, schnell. »

Le docteur Amigo me donne d'ultimes conseils et m’injecte le produit. Avant de sombrer, j’ai le temps de penser à cette organisation qui doit être importante, car on y trouve notamment des Français, des Anglais et des Allemands. Ce n’est pas pour me rassurer…

*

Pendant que sa mère réfléchissait – à quoi pensait-elle cette vieille ivrogne ? –, Brice se plaça au-dessus des couvertures et patienta.

Je reculai d’un bond et me cognai une nouvelle fois contre le lit. Décidément, j’allais choper plein de bleus avec ce pouvoir. Les images qui suivirent me donnèrent la nausée.

Pauline sourit à son fils avant de lui masser les testicules, puis stoppa net ; elle paraissait en colère.

« Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Brice inquiet.

– Rien. Tu peux te recoucher, déclara froidement Pauline.

– Tu es sûre que ça va ?

Au lieu de répondre, Pauline se dirigea vers la table de nuit... et en sortit quatre épaisses cordes !

– Maman, qu'est-ce que tu fais avec ça ?

Une nouvelle fois, la mère de Brice garda le silence, revint vers son fils et lui caressa sensuellement le front avec les liens.

– D'habitude ça te plait d'attacher tes victimes, hein mon petit Brissou ?

– Arrête ça tout de suite » , ordonna Brice en tentant de se redresser.

Hélas, l'ensemble de son corps semblait paralysé, notamment ses jambes ainsi que ses bras. L'adolescent poussa un juron et son regard croisa celui de sa mère. Ce dernier brillait d'une lueur de folie qui hérissa les cheveux du jeune homme.

Pauline continua son manège en frottant doucement les ficelles sur le crâne de son fils qui ferma les yeux pour tenter de s'extraire de la scène.

Elle changea brusquement d'attitude et balança le cordage sur le sol avant de gifler son gamin.

« Pour qui tu te prends morveux ?! C'est toi qui dois m'obéir, pas l'inverse ! Ce soir, j'ai envie de jouer avec toi !

– Il est tard maman. Tu ne sais plus ce que tu fais. L'alcool t'est monté à la tête, geignit Brice.

– Je sais parfaitement ce que je fais ! Laisse-toi aller, susurra Pauline.

– Que comptes-tu me faire ? s'indigna Brice.

– Prendre du plaisir avec toi ! Maintenant que tu as ruiné ton avenir et détruit le seul don qui te rendait utile...

– Que veux-tu dire ? répliqua l'adolescent en foudroyant sa mère du regard.

– Je ne fais que constater. Vérifie toi-même. Elles sont parties.

– Je ne peux plus bouger, que m'as-tu fait ? se plaignit Brice.

– Ne joue pas à ça avec moi. Tu veux peut-être que je t'aide ?

Finalement, Brice réussit à se pencher, – elle a dû baisser son emprise, juste assez pour que je me masse mes testicules, pensa l'adolescent – et, en effet, il ne décela plus la sensation de son essaim.

– Pourtant, tout à l’heure elles sont rentrées. Je te jure que c’est vrai, pleurnicha l'ado.

– Oui je sais. Je les ai senties revenir, mais elles se sont évaporées, car elles n’ont pas atteint leur but. J’ai oublié de te prévenir : tu perds tes pouvoirs si ton objectif n’est pas atteint. Tu es redevenu comme les autres, un sale mioche !

– Mais maman, c’est pas possible ?!

– Arrête de pleurnicher, ça ne sert à rien. Tu crois que ça me fait plaisir de traîner un boulet maintenant. Tu as été battu ! Par un nain de jardin qui plus est ! s'emporta-t-elle.

– Comment peux-tu dire ça ? Tu ne l’as jamais vu !

– Tu crois quoi ? Tu penses que je ne le surveille pas ce sale petit morveux. Dès qu’il est arrivé ici, j’ai su qu’il nous poserait problème, s’énerva Pauline.

– C’est pas de ma faute. Je ne pouvais pas prévoir qu’il aurait autant de pouvoirs, bredouilla Brice.

– Tu aurais dû me le laisser. Tu aurais dû savoir que tu ne pouvais pas le battre. Ainsi tu aurais gardé tes pouvoirs et on aurait pu faire de grandes choses ensemble. Assez parlé, il est temps de te corriger, dit Pauline.

– Mais maman, supplia Brice.

– Chut mon petit, laisse-moi terminer. Mais avant, déshabille-toi, je t’autorise à garder ton slip pour l’instant.

« Elle va lui faire quoi cette folle », m’inquiétai-je.

– Ce n’est pas un slip mais un caleçon, se rebiffa Brice.

– Ouais bon, c’est pareil. Arrête de discuter, tu me fatigues, gronda Pauline. »

Brice obéit à sa mère en rechignant, il ôta son sweat, son t-shirt ainsi que son pantalon. Il ne garda que son sous-vêtement.

« C’est mieux mon chéri, je ne voudrais pas souiller tes habits. »

C’est à ce moment précis que la peur afflua chez Brice et chez moi. Je me recroquevillai dans mon lit.

Elle va quand même pas violer son fils ?

« Tout va bien se passer. Tu me connais, je ne ferais pas de mal à une mouche », déclara Pauline d’un ton doucereux.

Là-dessus, elle se mit à rire hystériquement avant de reprendre :

« Tu te rappelles lorsque tu étais petit, le plaisir que tu me procurais ? La chaleur de ton corps serré contre le mien ?

– Non, mais, ça va pas la tête ? T'es devenue folle ?

– À l’époque, j'aurais aimé plus, mais rien ne sortait. Plus tard, je ne sais comment l'expliquer, j'ai vu des abeilles sortir de tes couilles. Maintenant qu’elles sont parties, je suppose que tes spermatozoïdes les remplacent…

– Maman, tu n’y penses pas ? questionna Brice affolé.

– Au contraire mon petit. J’ai envie de vérifier ma théorie. Tu es un grand garçon désormais, tu vas pouvoir me faire jouir…

– Non, mais ça va pas la tête, dit Brice en se redressant subitement, tu es complètement ivre ce soir.

– Non mon chéri, et c’est justement là le problème. Je suis sobre et c’est pour ça que j’ai envie de te prendre, comme lorsque tu étais petit, mais désormais...

– Trouve-toi un amant pour ça, coupa Brice en repoussant sa mère.

– Tu commences à me chauffer, toi ! Fais attention ou ça va mal finir, menaça Pauline.

– Ah ouais, et que comptes-tu me faire ? s’énerva Brice en retrouvant un peu d'assurance.

– Ne fais pas ton malin avec moi, pas ce soir en tout cas ; tu sais qu’il est tard et que je suis furieuse contre toi. »

Il n’a qu’à lui filer une droite et on n’en parle plus. Il est bien plus costaud qu’elle, pensai-je.

Pauline lança un regard noir à son fils. Déstabilisé, Brice comprit à cet instant, qu’il était trop tard pour reculer.

Il fait quoi lui ? Il va pas se laisser faire ?

Zlough

Je changeais d'interlocuteur et me retrouvais avec les réflexions de Brice qui était effrayé. Il connaissait les talents de sa mère et qu'elle n'hésiterait pas à s'en servir si elle se sentait menacée.

Il savait que sa mère puisait sa force dans la peur et la douleur des autres, et ce soir, il lui en avait montré plus que de raison.

Zlough

De nouveau, j'étais focalisé sur Pauline ! Ce va-et-vient me fatiguait nerveusement. Mon cerveau était sur le point d'imploser, tels des milliers d'aiguilles s'enfonçant simultanément dans mon crâne. J'aurais aimé pouvoir agir sur ce pouvoir et non pas en subir les conséquences.

Je passais ma colère sur Brice qui abandonnait trop facilement.

C’est quoi ces conneries ? Je comprends pas trop le délire là. Allez affronte ta mère !

Les craintes de Brice ne tardèrent pas à se concrétiser lorsqu’elle lui tordit le bras.

« Heureusement que le jump-look concerne la mère de Brice tout compte fait. C’est pas de l’amour ça », commentai-je.

*

Pendant que je lutte de toutes mes forces contre ces images d’inceste qui vont arriver, mon double se permet des réflexions stupides. Comment peut-il être autant détaché en voyant ces horreurs ?

*

« Ecoute-moi bien mon garçon, on a fini de jouer. »

Tout en prononçant ces paroles, Pauline lia les bras et les jambes de son fils aux barreaux du lit et s'allongea sur lui.

« Tu vois quand tu veux. C'est plus simple quand tu es gentil. »

Brice ne releva pas, ce qui agaça Pauline.

« Tu ne veux pas parler, tant pis. Tu vas bientôt grogner de plaisir. »

Elle s’adressa ensuite au phallus de son fils.

« Et toi, tu as intérêt à bander, car je veux prendre mon pied ce soir », termina-t-elle dans un grand éclat de rire.

Mais quelle horreur. Je ne veux pas voir ça.

Je tentais de fermer les yeux mais le jump-look exerçait une attraction qui me les écarquillait contre mon gré.

Brice était dégoûté, cependant il ne pouvait plus faire grand-chose ; sa mère l’avait fortement saucissonné. Il était étendu, jambes écartées.

Pour l’instant, son sexe était mou, mais sa mère se montra persuasive.

Elle commença à se déhancher langoureusement, puis elle dégrafa son soutien-gorge, ses seins se ballottèrent doucement dans un rythme singulier.

Pauline ferma les yeux et entra en transe. Brice, à son tour, se détendit et ferma les yeux.

Soudain, les silhouettes se modifièrent, un blondinet remplaça l'adolescent. Le nouveau transpirait à grosses gouttes, ses battements cardiaques résonnaient en moi. Un véritable supplice. Qui était-il ? Pourquoi avait-il si peur ? Il me transmettait sa frayeur. Il criait, mais aucun son ne sortait de sa gorge. Ses yeux implorait la pitié. Je ressentis une impression de déjà vu comme si...

Quelle horreur !

Je ne pus m’empêcher de vomir. J’eus juste le temps de tourner la tête pour ne pas salir mon lit.

Zlough

Je me retrouvais propulsé dans le corps de Brice, Pauline avait changé à son tour : plus fine et ses cheveux désormais roux lui descendaient jusqu'au creux des reins. Parfois la mère de Brice reprennait son allure précédente. Je n'y comprenais plus rien. Les images se juxtaposèrent, leurs déhanchements se rapprochaient de plus en plus de Brice, de moi... Je ne pouvais pas voir cela, cela devait s'arrêter. Pourtant, elles continuaient, le corps de l'adolescent tressautait, s'entaillait et saignait. Stop ! Trop tard. Pauline engloutit le sexe de Brice ! Sans se rendre compte que des centaines de vers sortaient du nombril de son fils. Ce dernier, aussi cinglé que sa mère, souriait. Les animaux se promenaient de son torse jusqu’à ses jambes…

Zlough

Puis une sensation désagréable envahit Pauline, tout le corps de son fils semblait poisseux…

Elle décida de rouvrir ses paupières et sursauta en voyant le résultat.

« Qu’est-ce que c’est que cette connerie ? cria Pauline avant de s’adresser à son fils. Arrête ça tout de suite.

– Je n’ai rien fait moi, lança malicieusement Brice.

– Si tu te crois drôle, je vais t’enlever ce sourire niais de ton visage.

– Alors ma petite maman chérie, tu ne te trémousses plus au-dessus de moi ?

– Tu vas me le payer mon fils. Je te le jure. Si tu n’es même pas capable de donner du plaisir à ta mère, tu ne sers plus à grand-chose, mon petit », s’énerva Pauline.

Brice ne put réprimer un frisson.

Un court instant plus tard, Pauline baissa énergiquement le caleçon de son fils.

Des lombrics grouillaient entre les poils…

« Si tu veux jouer à ça. Pas de problème ! »

Pauline prit une poignée de vers et s'amusa à les contempler. Elle narguait son fils en les caressant. Brusquement, elle lécha l'un des annélides avant de l'enfourner dans la bouche de l'adolescent !

« Comment c'était ? »

En guise de réponse, Brice se contenta de recracher l'animal, ce qui provoqua le rire dément de sa mère.

« Voyons mon Brissou, je ne t'ai pas élevé ainsi. Il ne faut pas gaspiller. Rouvre la bouche. Et un petit pour maman, un petit pour papa... »

Pauline continuait de s'amuser avec les vers, elle les prenait un par un pour les placer ensuite dans la cavité buccale de son fils.

Zlough

De nouveau, j'adoptais le point de vue de Brice et entrais littéralement dans son corps !

Les animaux fluctuaient de taille, ils s'allongeaient en descendant dans sa trachée et se collait quelquefois à la paroi, provoquant parfois des chatouillis, d'autres se dirigeaient vers les narines de l'adolescent...

Brice se débattait, mais il était solidement attaché. Inexorablement les vers envahissaient tous ses organes respiratoires...

De nouveau, je vomis sur le plancher et continuai d’assister à ce sordide spectacle. Celui-ci semblait sans fin jusqu'à ces ultimes paroles de Pauline.

« C’est bientôt fini chéri, c’est ton dernier repas. Tu sais, je t'ai quand même aimé. »

Brice ne bronchait plus, la douleur commençait à s’estomper ; il était proche de la mort, l’asphyxie le gagnait ; ses derniers instants de vie furent interminables.

Je n’aimais pas Brice, mais sur le coup j’eus pitié de lui. Sa mère était complètement tarée. Elle avait voulu le violer et comme il avait refusé, elle l’avait torturé. Qui pouvait être aussi cruel avec son enfant ?

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