Chapitre 3 : Trahison et suicide

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Par Erizu.

- Bien *d'une voix étrangler* et vous ?

- Je crois bien que j'ai fait mon temps, Ariane, j'ai entendu que tu étais tombé dans le lac d'argent, y a tu découvert quelque chose ?

- Père, connaissez-vous une tribu appeler la tribu d'argent ?

- Je me doutais qu'un jour tu apprendrais, que les trois tribus étaient en fait quatre donc la plus puis-sant la tribu d'argent, on dit qu'il restaurait des descendant devenue des créature marine dans le lac d'argent, mais si tu me pose cette question c'est que à du rencontrez l'une d'elle ? Comment t'étais telle ?

- Elle avait de long cheveux couleur argent, des yeux pâles oscillant entre le bleu et le gris, et un as-pect si jeune et un teint pâle Et de très grand pouvoir magique, je l'ai sentie au plus profond de moi sa magie dépasse toute les formes que je connais, elle n'utilise aucun artefact, aucun mot. Et... en fait elle portait un collier en argent avec une pierre de topaze rayon de lune tu crois que c'est de la quelle tenais c'est pouvoir ?

- Non, les Argent sont les initiateurs de la magie tel que nous la connaissons, ce sont eux qui ont créé la magie et c'est grâce aux artefacts que nos tribus leurs ont dérober que nous somme capable d'utili-ser la magie et de produire de nouveau artefact, tu comprends pourquoi les artefacts sont de moins en moins puissants.

- Tu veux dire quelle est en danger si on découvre qu'une argent vie au fond du lac argent ?

- Oui, n'en parle pas, et surtout pas à Lydus. Il sent servirais pour tuer les Or.

Mais derrière la porte une oreille indiscrète n'en ratait pas une miette. C'était le valet de Lydus, qui allait tout lui raconter.

Par Enea.

Moins d'une demi-heure après Ariane fut avertie de la mort de son père et pleura tous les larmes que son corps pouvait produit à la minute. Lydus viens et lorsque le médecin légiste arriva avec l'heure exact du décès Lydus ravala sa salive, de plus qu'il s'agissais de la remarque de trop pour Ariane qui se jeta dans les bras de son frère décomposé par l'heure de la mort. Il n'avait non plus jamais pris Ariane dans ses bras pour la consoler lorsqu'il la voyait tomber de quatre-sabot-gauche, ou quand elle essuyait des ruptures amoureuses. Il lui frappa alors que si Ariane était la préférer de son père c'est car elle était son opposée, elle était douce bonne et gentille, au contraire de lui qui ne ressentais que l'avidité du pouvoir. Ariane était comme leur père et lui comme leur mère, ne voyant que les possibilités d'obtenir le pouvoir ou non, deux facteurs qui dirigeais leurs vies. Ariane la belle est douce Ariane et le grand et froid Lydus. Le cœur de celui-ci fit un bond lors de l'annonce public du décès de leurs père et à la lecture public de ses vœux :

" Je souhaite à mon peuple de prospérité et gloire, mais avant tout d'être généreux et équitable de ce fait je nomme ma fille Ariane reine, ou du moins c'est mon vœu le plus cher. Elle saura gouverner avec justice et bonté le royaume d'Or.

Roi Gontran."

Lydus fulminais son propre père, lui plantais un couteau dans le cœur, et le regard choquée et terri-fier d'Ariane se portais sur lui, cette pauvre fille, encore une gamine incapable de tuer un cheval dangereusement incompétent, pour sa propre sécurité. Reine ! Il ne pouvait tolérer que sa sœur soit reine. Il avait pour lui qu’il fallait qu'elle soit mariée, mais sa proximité de l'autre jour avec le prince d'or serait-elle préméditée, était-elle au courant du projet de leur père. Sans n'était trop. Il lui lança un sourire qui se voulait chaleureux mais qui eut un effet glaciale, Ariane tomba en larmes aux vu de tous. Lydus la regarda et pour faire bonne figure lui saisit, un peu brutalement le bras, et la pris dans ses bras. Une étreinte froide et glacer, dépourvu de compassion. Toutefois Ariane su sans contenter, elle s'y sentait plus à l'abris de ce qui lui arrivait, deuxième fois en moins d'une journée elle ne savait plus quoi penser. Les ministres prirent les choses en main pendant une semaine, le temps pour les héritiers de faire leur deuil, mais il fallut désigner un successeur au plus vite pour ne pas affaiblir le royaume.

Lydus décida de vérifier si la conversation d'Ariane et leur père était vérifier. Il prétendit aller à la chasse et plongea dans le lac d'argent. Yezu lui vient en aide, il fut subjugué par sa beauté, lui qui ne ressentais jamais rien. C'est yeux traversaient son âme de part en part, en n'en explorant chaque re-coin.

"- Prince Lydus, pourquoi êtes-vous ici ? En si peu de temps je n'ai pas l'habitude de recevoir autant de visite, surtout royale. Une envie de suicide, dans ce cas je suis navré de vous avoir interrompu mais voulez-vous bien aller vous suicider ailleurs que dans mon étang, s'il vous plaît. Puis qu'il ne répondit pas elle enchaîna, vous pouvez parler le sort comment la parole, c'est légèrement désa-gréable mais on s'y fait.

- Je... Je ... Euh... Vous... Entama celui-ci.

- Vous n'avez pas à me craindre, oubliez mes écailles et mes nageoires.

- C'est vous qui avez sauver ma sœur.

Par Erizu.

-Vous avez voulu vous suicider parce que j'ai sauvé votre sœur ??

-Non ! Je n'ai jamais voulu me suicider. A ce qu'il parait, vous avez sauvé ma sœur, et je voulais en savoir davantage sur vous. Vous êtes la dernière représentante d'un peuple disparu, c'est bien cela ?

-Oui.

-Et c'est grâce à votre peuple déchu que la magie existe ? Ceci m'intéresse. J'aimerais terrasser le royaume d'Or, afin que le royaume de Jais puisse s'étendre, et que cette race nuisible disparaisse. Mais les ressources magiques s'amenuisent sans cesse davantage. Je pensais que vous pourriez m'ai-der.

-Vous aider à terrasser tout un peuple ? Vous êtes bien le fils d'Ezellga...

Le cœur de Lydus bondit dans sa poitrine.

-Vous connaissez ma mère ??

-Bien sûr. Avant qu'elle n'épouse votre père, c'était une redoutable reine guerrière, qui cherchait constamment querelle avec les royaumes voisins. Je ne pouvais pas ne pas la connaître. D'autant plus que...

Yezu marqua un silence, et un sentiment de douleur se lut dans ses yeux.

-Il y a quatorze années de cela, elle a pénétré magiquement dans ce lac, et m'a torturée avec sa magie noire. Elle m'a volée énormément de magie, et s'est retrouvée tout comme moi avec des écailles et des nageoires. Elle s'est ensuite enfuie en direction de rivières voisines et je ne l'ai jamais revue.

-Quatorze ans ?? Cela correspond avec la période où elle a brutalement disparu. Personne n'a jamais su ce qu'il lui était arrivé. Beaucoup pensaient qu'elle s'était noyée dans le lac. Mais mon père et moi avions toujours été convaincus du contraire...

Lydus se sentit alors plus heureux que jamais.

-C'est donc de cette manière qu'elle a décidé de fuir mon père ? Elle a fui vers les eaux, en devenant une créature de ton espèce ? J'ai une idée de comment la retrouver, à présent ! Je pense qu'il est temps que je m'en aille, merci pour ton aide.

-C'est aujourd'hui que vous vous mariez, c'est ça ? J'ai entendu dire qu'à cause du décès de votre père, les festivités avaient été retardées.

-Ah mais... c'est exact."

Il avait tant tenu à voir Yezu, s'était tellement aveuglé dans l'envie de découvrir ce peuple qu'il avait oublié qu'aujourd'hui était un grand jour. Il salue Yezu et par son aide, regagna la surface.

Alors qu'il se tenait entièrement trempé sur le bord du lac, son sang ne fit qu'un tour en voyant une calèche royale du royaume d'Or faire son apparition sur la route.

"-Oh, mais qui vois-je ? fit une voix qui sortait de la calèche. Le prince Lydus en personne !

La calèche s'arrêta et le prince de Jais put nettement voir que la personne qui se tenait à l'intérieur du véhicule était le jeune prince Thésée d'Or.

-C'est drôle ! La dernière fois que j'ai rencontré votre sœur, elle se tenait au même endroit, et était toute aussi trempée ! Vous aimez la noyade dans votre famille ?

-Que faîtes-vous par ici ? questionna Lydus d'un air menaçant, coléreux de se faire ainsi humilier par ce petit fanfaron.

Cette réaction sembla surprendre le prince du royaume voisin.

-Et bien... Je suis invité à vos épousailles, figurez-vous.

Lydus se rappela alors qu'il n'était pas encore le roi. Il n'avait pas officiellement déclaré de guerre avec le royaume d'Or, qui n'avait donc aucune raison de ne pas venir se représenter à son mariage. De plus, seul le roi Gontran s'était occupé des invitations, et n'avait jamais demandé à son fils son avis.

-Souhaitez-vous que nous vous emmenions jusqu'à votre palais ? l'interpella le cocher.

-Non... On se rejoint au palais. Je vais rentrer autrement."

Et il disparut magiquement, se téléportant jusqu'à son château.

"-Bon, et bien... Continuons notre route jusqu'au palais de Jais. Proposa Thésée.

-Je n'aime vraiment pas ce prince, décidément... marmonna Rudolphe. J'espère qu'il ne deviendra jamais le roi de Jais.

-Peu m'importe en ce qui me concerne... J'ai hâte de revoir sa sœur, en tout cas. Je me demande si elle aime toujours autant les plongeons."

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