J'attendis avec impatience les premières lueurs du matin, pianotant d'une main nerveuse et avalant par gorgée le café brûlant.

Je devais partir au travail, mais auparavant, il fallait passer un coup de fil pour planifier la soirée. Il me fallait revoir Édelyne.

Et le plus rapidement serait le mieux.

J'attrapai les clés et avant de partir, je l'appelai.

La sonnerie retentissait mais personne ne décrochait.

Frustré, je partis en décidant de la recontacter à la pause-déjeuner.