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Chapitre Dix-Sept : La dure loi des plus forts


Lyvain affronta Lino qu’il l’avait provoqué.

« Approche Lino ! »

« Non toi approche ... »

Lino donna des coups de poings violents dans le vent.

Puis il visa le ventre de Lyvain, qui lui esquiva.

« Il en a fallu qu’on arrive à ce point. » Dit Lyvain épuisé

Puis des gars de Sociétés se cachèrent derrière des les arbres avec des armes à feux et arcs.

Il y en un qui se révéla et tira en plein cœur sur Lino qui tomba et pleura.

« Des Sociétés » Crièrent l’assemblée des Factions.

« On vous tient ! »

« Notre Leader était Lino ... »

« Nous avons tués le bon les gars. »

« Embarquez les. » Dit un Société assez impassible.

« Lino ! » Crièrent beaucoup de ses alliés.

« Ou vous nous amenez ? » exigea Lyvain désemparé.

« Vous le serez assez vite. »

Les Factions ne purent se défendre .

Arrivés au quartier des « Sociétés » Il prirent un souterrain secret.

« On va dans un souterrain ? » Soupira Lyvain

« Tais-toi et avance. »

Le Général Opovor les attendait dans une pièce sombre ou on pouvait accueillirent toutes les Factions.

Il se retourna et sourie.

« Vous avez osé tuer Marine ! »

« On était que des marionnettes, l’origine de tout cela. Serais-ce vous ? »

« Exactement. »

« Ce monde souterrain était cachés aux yeux de tous ! » étonné Lyvain

« Pourquoi ce souterrain ? » releva Maria.

« Pour préparer mon plan, ces factions appartenaient à monsieur Dilgorat, c’est lui qui a fondé cette société et ses secrets. Les devoirs gardaient les outils électroniques pour tout contrôler ... »

« Dilgorat ? »

« Il vivait bien avant nous en ce bas monde et puis nous nous sommes réfugiés ici, ceux qui entraient là étaient sous peines de morts. »

Une Vérité parla.

« On nous a fait que mentir sur cet immense lieu ... »

« C’est vrai »

« Vous savez ce qu’il y a à l’extérieur ... »

« Vous le saurez bien assez rapidement. »

« Général ? »

« Oui »

« Peloton exécutions ? »

« Tuez les tous ! »

Puis les Factions paniquèrent et essayèrent de s’enfuir et de se détachés des cordes bien ficelés.

Arianne se projeta vers une arme, mais un Société la tua.

« Non ! » Cria violemment Lyvain

« Partez ! Ils sont en minorités ! Éparpillez-vous ! » Lança Valadia.

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