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Chapitre Quinze : Le sort de Marine Stern


La Faction « Morale » se rejoignirent dans leur beau quartier détruit.

Lino, une personne âgé et pleine de sagesse se mit en valeur.

« Lors de ce conflit, nous avons perdu beaucoup. Retenez bien ceci les amis, on ne peut faire confiance en personne seulement à soi-même. »

« L’âge ne fait pas tout. »

Marine se taisait, elle resta inerte.

« Lino, voilà une révélation du moment, on est pas ami, si tu devais mourir, meurs ! »

« écoute petit, j’affronterais tous ceux qui me défieront, je suis un leader, mon père était un travailleur ... »

« Mon gars, les factions c’est mort. Nous sommes une communauté ! »

« Je décide du sort de Marine Stern ! »

Lino provoqua des émeutes dans sa propre faction.

Il prit Marine par l’épaule et lui brisa sa main.

« Espèce de sauvage arrêtez ! »

Il embrassa de force Marine dans un petit coin.

Il lui arracha ses vêtements et la mise à nue.

Il prit un poignard bien aiguisé et lui trancha ses parties intimes et sa poitrines.

Elle perdit conscience et mourut sur le coup.

Les émeutes se multiplièrent dans la faction.

Lino parla :

« Le sort de Marine est fait, je l’ai tranché là ou ça fait mal ! »

Une jeune femme de dix-huit ans l’observa.

Elle se nomma Salazaras.

Elle était discrète et penser avoir un rôle à jouer dans ces factions.

Lino rassembla de nombreux adeptes et fidèles.

Son charisme était incroyable et magistrale !

Pendant ce temps, Lyvain et Arianne discutèrent.

« J’espère qu’ils n’ont pas tué Marine. »

« L’Humain … Je préférai ne pas vivre. »

« Faut pas dire ça Arianne. »

« Regarde, depuis le début qui a créée ce désordre ? »

« Nous et alors ? »

« Ces factions c’est juste pour ... »

« On saura la vérité Arianne. »

Lino mena sa fronde contre ceux qui furent contre lui.

Il représentait une menace pour l’avenir.

La nuit tomba.

Lyvain repensait à Marine. Il eut des visions.

« On va la tuer. »

« Dors » Ajouta Arianne.

« Lève toi ! »

« Non laisse moi. »

« On verra demain. » Continua Arianne qui avait du mal à dormir.

« Tu es chiante tu le sais. »

« Dors ! Dernière fois ou je te frappe ! »

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